L’augmentation des taxes sur le prix du carburant des véhicules automobiles, s’il a été un des déclencheurs du mouvement citoyen en cours, n’a curieusement pas à mes yeux, provoqué la mise en avant de solutions de substitution au gazole et à l’essence.

Si la voiture électrique est le cheval de bataille du monde politique en place actuellement, il ne faut pas oublier le moteur « à hydrogène », au sujet duquel je vous ai longuement informé dans mon billet du 7 octobre 2017 puis celui du 8 janvier 2018, complété par celui du 27 octobre 2018.

Quel grand merdia nous parle du « moteur à eau » ? Est-ce le fantasme de certains « Z’écologistes » ou une réelle « solution » qui aurait été « enterrée » par le lobby des industriels du pétrole ?

Une chose est sure, l’eau n’est pas un carburant. Cependant, depuis longtemps, elle permet, lorsqu’elle est ajoutée aux carburants classiques (gazole, essence), de « doper » le rendement de ceux-ci et donc d’abaisser leur consommation.

Cette « solution transitoire », en attendant que la technologie de l’hydrogène se développe, peut générer des économies substantielles. En cette période de restriction budgétaire, c’est peut-être une idée à prendre en compte, ne croyez-vous pas ?