INTRODUCTION 

Notre quotidien se déroule, avec ses hauts et ses bas.
Notre monde s’écroule et beaucoup ne le voient pas.
Prenons du recul et une fois tout cela compris,
S’ouvre pour chacun de nous, une nouvelle vie.
Retrouvons l’Être que nous sommes vraiment.
Ici et maintenant, vivons-le pleinement.
Rayonnons notre puissance d’amour, elle est inépuisable.

« Ce que tu donnes est à toi pour toujours. Ce que tu gardes est perdu à jamais »
(Proverbe Soufi)

 

VIVE LE CIRCUIT COURT… JUSQU’À LA MORT !

Nous vivons vraiment une époque formidable. Dans le monde d’aujourd’hui, où l’amour de son prochain est omniprésent, surtout, actuellement, à Gaza… certains de nos parlementaires ont des préoccupations législatives… étonnantes.

Figurez-vous qu’un brave sénateur, du nom de Bernard FIALAIRE, a posé le 29 février dernier, une question orale très importante, au gouvernement. Elle est relative à l’avancement de la réflexion de celui-ci, sur le procédé « d’humusation ».

Comment ? Vous ne savez pas ce qu’est l’humusation ? C’est, tout simplement, une façon de reposer en paix… écologique ! Exprimé plus crument, c’est un processus de transformation du corps d’un défunt, en compost.

Cette méthode utilise des produits présents dans la nature. Le corps est enveloppé dans un linceul biodégradable, sans cercueil, puis déposé sur 20 cm de copeaux de bois humidifiés par de l’eau de pluie et d’un peu d’argile. Pour faciliter la décomposition du corps, aucun soin de conservation n’est pratiqué sur le défunt.

Le corps est ensuite recouvert par les mêmes copeaux de bois que précédemment, pour former « une hutte » recouverte entièrement de paille, de feuilles mortes et de tontes de pelouse. La décomposition du corps commence alors.

Au bout de 3 mois, les matières molles du corps sont décomposées. Il ne reste plus que les prothèses métalliques, qui sont retirées par des « humusateurs » agréés. Il en est de même pour les dents et les os du défunt, qui sont réduits en poudre, puis replacés dans la sépulture.

Neuf mois plus tard, le corps est totalement décomposé, laissant place à 1,5 m³ d’humus fertile… qui permettrait de fertiliser une centaine d’arbres ! Voilà une forme « d’enfantement » quelque peu différente que celle à laquelle nous sommes habitués !

La difficulté réside dans le fait qu’en application des dispositions de l’article 2213-15 du code général des collectivités territoriales, ainsi que celles de l’article 16-1-1 du Code civil … cela n’est pas possible, actuellement, en France 😥.

D’où la question de notre sénateur, pour savoir si le gouvernement, qui, pour le moment, n’a pas de préoccupations particulières, va se saisir de cette urgentissssimes question … « humusante ».

Mon intuition était la bonne. Ayant quelques temps libres, en cette période où les jours rallongent et quand, dans la nature… la sève monte, la ministre a répondu le 7 courant, qu’un groupe de travail « sera constitué avant la fin du premier semestre 2024, sous l’égide du Conseil d’État ».

La conclusion de « l’ami Nanar », à la suite de la réponse de la ministre, ne manque pas d’humour. En effet, il la remercie de faire en sorte que ce dossier « sorte de terre » ☺☺☺.

« Mon optimisme est basé sur la certitude que cette civilisation va s’effondrer.
Mon pessimisme, sur tout ce qu’elle fait pour nous entraîner dans sa chute. »
(Jean-François Brient)

Chers lecteurs, avant de devenir humusprenez bien soin de vous. Je vous aime et vous salue.

 

POUR ALLER PLUS LOIN ET AGIR

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