Introduction

Si nous sommes pris par les « élites » pour les « idiots » que nous sommes devenus, c’est à nous seuls qu’il appartient de ne pas le rester.

Chers nouveaux lecteurs, permettez-moi, en quelques lignes, de « planter le décor ». Pour les plus anciens, vous pouvez passer directement au sujet du jour.

Les évènements que nous subissons et que nous allons encore subir sont annoncés sur ce blog, depuis 2012. Je n’utilise pas de boule de cristal, mais je collecte et recoupe énormément d’informations. Cela me permet d’extraire les plus pertinentes. Ce recul m’amène à formuler des anticipations cohérentes.

Accéder à une masse d’informations souvent payantes, les vérifier, les trier, prends beaucoup de temps. Dans la vie, il n’y a pas de repas gratuit. Mon travail de lanceur d’alertes à un coût et donc un prix. J’offre gratuitement à un large public, un grand nombre de billets qui traitent de l’écume des choses. Pour m’aider à poursuivre ce travail, je ne demande pas de dons et n’ouvre pas de « cagnotte ».

Si vous êtes prêts à regarder en face une réalité, parfois dérangeante, mais toujours porteuse d’espoir, abonnez-vous aux « Rendez-vous d’Hubert ». En plus de bénéficier de solutions pratiques pour affronter sereinement la période compliquée qui est devant nous, ce sera votre manière de m’aider concrètement à améliorer la qualité de mon travail.

 

Sujet du jour : Vive l’accordéon.

Vous vous souvenez certainement que mercredi dernier nous avons constaté que « le piano du pauvre », autrement dit, l’accordéon était parfaitement adapté pour exprimer ce qu’il y a de plus beau dans la musique. Quel que soit l’instrument, la divine harmonie née dans l’esprit inspiré du compositeur de l’œuvre, touche les auditeurs.

Nous allons ensemble aujourd’hui en avoir un autre exemple, toujours avec l’accordéon, dans une première œuvre. Et quelle œuvre, puisqu’il s’agit de la célébrissime toccata et fugue en ré mineur du « Cantor de Leipzig », Johann Sebastian Bach. Le soliste n’est autre que Sergei Teleshev. Régalez-vous pendant 10 minutes et 9 secondes.

Voici maintenant une transcription pour accordéon et orchestre de chambre, les deux premiers mouvements (allegro et largo) du concerto no 1 en mi majeur, op. 8 d’Antonio Vivaldi. Comment ? Vous ne connaissez pas ce concerto ? Messie, Messi, mais si… vous le connaissez… sous le nom du « printemps », faisant lui-même partie des fameuses « quatre saisons ». ☺☺☺. Je vous l’avais bien dit !!!

Ces 3 minutes et 11 secondes « concertantes » sont interprétées par Martynas LEVICKIS et l’orchestre de chambre Mikroorkestra. Elles sont extraites de l’enregistrement réalisé au Korean Arts Centre IBK Chamber Hall à Séoul en Corée du Sud, le 24 octobre 2017.

Cette interprétation est aussi envoutante que la version sans accordéon. Preuve que « quand la musique est bonne »…

« La musique met l’âme en harmonie avec tout ce qui existe »

(Oscar Wilde)

Chers lecteurs-auditeurs, je vous aime et vous salue.