Introduction : 

Les dirigeants des principaux pays « occidentaux » gouvernent par la peur et la manipulation des peuples. Cette entreprise de démolition est parfaitement planifiée et organisée. Ce sont des faits.

Une fois cela comprit, s’ouvrent pour chacun de nous, des perspectives enthousiasmantes : retrouver l’Être que nous sommes vraiment. Comprendre quel est le sens de notre vie, ici et maintenant.

Dès lors, nous rayonnons pleinement toute notre puissance d’amour et de lumière, pour surmonter cette période difficile. Nous pouvons alors aider, tous ceux qui doutent et s’interrogent encore.

C’est la somme de nos actions individuelles, qui fera le bonheur collectif.

« Sois le changement que tu veux voir dans ce monde »
(Gandhi)

 

L’honneur n’attend pas le nombre des années :

Connaissez-vous l’association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB) ? La réponse est oui, pour les fidèles lecteurs de ce blog et les abonnés aux Rendez-vous d’Hubert. Pour les nouveaux lecteurs, voici, en quelques mots, l’objet social de cette association :

  • C’est un collectif de bonnes volontés issues de la société civile, des patients déçus, blessés ou en colère et des professionnels de la santé du monde entier. Nos objectifs sont de fournir une information critique, indépendante, scientifique et exempte de conflits d’intérêts sur les médicaments, traitements et dispositifs médicaux ; informer les professionnels de santé et les citoyens vis-à-vis de la publicité et du bruit médiatique sur les thérapeutiques en général ; et mobiliser toutes les ressources y compris juridiques, pour que les agences nationales et internationales des médicaments, des produits de santé et de l’alimentation soient à l’abri de la pression des lobbies et des conflits d’intérêts.

Vous comprenez tout l’intérêt de l’existence d’une telle association, après ce que les « Z’élites », politiques et médicales de ce pays nous ont fait vivre depuis trois années.

Parmi les actions de l’AIMSIB, il y a la recherche de la vérité, loin des pressions du monde politique et des lobbys pharmaceutiques. L’excellent site Réseau International nous rapporte un récent article de l’AIMSIB ou elle nous dévoile les tripatouillages politiques au sein du ministère de la santé, bien sûr, au détriment du public, pourtant le premier concerné.

Rien que pour vous, chers lecteurs, voici résumé un épisode de vie d’un jeune, qui n’avait pas dix-huit ans comme le héros de la chanson de DALIDA. Thomas DIETRICH est diplômé de Science-Po. Il a vingt-cinq ans quand il se trouve nommé : secrétaire général de la conférence nationale santé (CNS) en mars 2015.

Onze mois plus tard, le 19 février 2016, il adresse sa lettre de démission à son supérieur hiérarchique, Benoît VALLET, directeur général de la santé. Ses termes sont suffisamment rares pour être mentionnés. Elle se termine par cette phrase :

  • « Permettez-moi, Monsieur le Directeur général, l’ultime honneur de ne pas vous saluer».

Elle est accompagnée d’un rapport de vingt-huit pages, destiné à l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS). Dans celui-ci « l’ami Thomas » révèle, de manière parfaitement précise, comment le ministère de la Santé ne porte que très peu d’intérêt à l’avis du public. Ce, particulièrement sur deux sujets de santé, que sont la vaccination et la fin de vie.

Morceaux choisis :

  • « J’en suis désormais convaincu : la démocratie en santé n’est qu’une vaste mascarade montée par les hommes et les femmes politiques pour faire croire à une certaine horizontalité de la décision publique en santé – alors qu’elle n’a jamais été aussi verticale. Et tout ceci au détriment des citoyens, dont on utilise les deniers pour mettre sur pied des instances consultatives qui, comble du cynisme, ne doivent à aucun prix remplir le rôle qui leur a été assigné par la loi ».

À défaut de mourir pour des idées, comme le chantait si justement « l’ami Georges », ce cher Thomas fait incontestablement partie de la multitude de belles personnes qui combattent le système qui nous opprime continuellement.

Un jour, « Tom » décide de s‘emparer d’un sujet qui relève de sa compétence : l’organisation d’un débat démocratique sur la vaccination. Hélas pour lui, son chef de service, Christian POIRET, n’est pas de cet avis. La page 13 du rapport mentionne les échanges d’alors :

  • Thomas, vous n’êtes pas un homme ici, vous n’êtes pas un citoyen, vous êtes un subordonné embauché pour obéir ! Rappelez-vous qui vous paye!

Ce à quoi je rétorquais du tac au tac : « Les citoyens ». Ma réponse, étrangement, ne lui plut pas.

  • Quand on a un cas de conscience comme le vôtre, on démissionne. Je vous encourage d’ailleurs à le faire si votre cas de conscience persiste ».

Même si cela ne se voit pas ou très peu, soyez assuré que beaucoup, mais vraiment beaucoup de personnes dans notre pays, chacune à sa place et à sa manière, font acte de résistance, passive et/ou active. Le système actuellement en place s’effondre, c’est juste une question de temps pour qu’il disparaisse, grâce à notre résistance.

Comment chacun de nous peut-il changer les choses à son niveau ?  Une forme parmi tant d’autres est d’aider l’AIMSIB dans sa démarche de rassemblement des professionnels de santé, des usagers, des patients et des victimes, pour le plus grand bien de la collectivité.

De plus, s’agissant d’une association d’intérêt général, cotisations et dons donnent droit à une réduction d’impôts égale à 66% du montant versé.

« Ce que tu donnes est à toi pour toujours. Ce que tu gardes est perdu à jamais»
(Proverbe Soufi)

Chers lecteurs, agissez et prenez soin de vous. Je vous aime et vous salue.

 

Pour aller plus loin

Vous souhaitez bénéficier des opportunités présentes lors de toutes les crises. Les rendez-vous d’Hubert vous permettent de comprendre le dessous des cartes, identifier les occasions à saisir et les exploiter à votre profit. Les rendez-vous d’Hubert sont un guide pratique, pour agrandir votre patrimoine spirituel et matériel.