Introduction
Si nous sommes pris par les « élites » pour les « idiots » que nous sommes devenus, c’est à nous seuls qu’il appartient de ne pas le rester.
Chers nouveaux lecteurs, permettez-moi, en quelques lignes, de « planter le décor ». Pour les plus anciens, vous pouvez passer directement au sujet du jour.
Les évènements que nous subissons et que nous allons encore subir sont annoncés sur ce blog, depuis 2012. Je n’utilise pas de boule de cristal, mais je collecte et recoupe énormément d’informations. Cela me permet d’extraire les plus pertinentes. Ce recul m’amène à formuler des anticipations cohérentes.
Accéder à une masse d’informations souvent payantes, les vérifier, les trier, prends beaucoup de temps. Dans la vie, il n’y a pas de repas gratuit. Mon travail de lanceur d’alertes à un coût et donc un prix. J’offre gratuitement à un large public, un grand nombre de billets qui traitent de l’écume des choses. Pour m’aider à poursuivre ce travail, je ne demande pas de dons et n’ouvre pas de « cagnotte ».
Si vous êtes prêts à regarder en face une réalité, parfois dérangeante, mais toujours porteuse d’espoir, abonnez-vous aux « Rendez-vous d’Hubert ». En plus de bénéficier de solutions pratiques pour affronter sereinement la période compliquée qui est devant nous, ce sera votre manière de m’aider concrètement à améliorer la qualité de mon travail.
Sujet du jour : Platon avait raison, nous sommes au fond de la caverne.
µ Je ne cesse de répéter que je suis totalement optimiste pour de qui est des temps futurs, mais avant… il va bien falloir « clôturer les comptes » et le bilan ne s’annonce pas bon du tout. C’est une réalité et ne pas vouloir l’affronter ne fait qu’empirer l’ampleur de « la note à payer ».
Je ne suis pas là pour vous faire peur, mais pour vous préparer. Ma longue expérience de sapeur-pompier de Paris me l’a maintes fois montré : quand on a bien étudié les difficultés, on peut les gérer avec succès.
Soyez conscients que les médias nous préparent à nous habituer aux mots qui sont aussi des maux, tels que : inflation, pénuries, augmentation des prix, fin du « quoi qu’il en coute ». Remarquez comme ces mots sont en train de nous être distillés, par petite touche, sans que soit réellement perçu ce qu’ils représentent… pour les rendre « acceptable », car dénués de signification concrète pour chacun.
Cette pénurie « de tout » et surtout sur le plan alimentaire est devant nous. Le sachant, vous pouvez encore aujourd’hui faire quelques provisions « en double » ( pas par dizaine) et vous préparer psychologiquement à une vie en mode dégradé. Attendez-vous à des coupures « inexpliquées » d’Internet et des réseaux sociaux qui vont se multiplier, affolant les populations beaucoup trop dépendantes à ces médias. Idem dans les mois qui viennent, notamment en ce qui concerne le chauffage, car nous sommes les « dindons de la farce » pour ce qui est de la guerre du gaz qui fait rage, comme je l’ai démontré dans le numéro 31 des « Rendez-vous d’Hubert » en date du 14 octobre 2021.
Nous allons entamer un hiver qui se présente sous la double conjonction dissonante des « pénuries organisées » et…des mesures restrictives de libertés (évidemment pour des raisons « sanitaires »). Comprenez que l’épidémie de grippe saisonnière est « une aubaine » pour justifier des mesures restrictives de liberté (pour sauver des vies), dès que les foules voudront manifester leur mécontentement dans la rue.
Cette « guerre » va durer encore longtemps (je confirme mon anticipation de 2025 pour entrevoir « le bout du tunnel »). il faut nous y préparer pratiquement et psychologiquement, car, comme l’a dit Nelson Mandela : « J’ai compris que le courage n’est pas absent de peur, mais la capacité de la vaincre ».
N’attendez pas « la fête des voisins » pour créer du lien autour de vous. Les élites avancent « leurs pions » en nous divisant (les « vaccinées » contre les « non vaccinés »…). Vous pouvez agir simplement et efficacement, par exemple en rejoignant les comités de salut public (explications dans le même article).
Vous l’avez parfaitement compris, je vous encourage à sortir de « La caverne de Platon » en cessant d’avoir peur et à vous regrouper. À plusieurs, c’est plus facile d’avancer.
« L’avenir n’est pas ce qui va arriver, mais ce que nous allons faire »
Chers lecteurs, encore au fond du puits ou en étant déjà sorti, résistants ou pas, vaccinés ou pas, « moutruches » ou pas, je vous aime et vous salue.