Pass vaccinal ou bien contrôle numérique généralisé ?

Comme je le mentionnais hier à propos de la dédollarisation du monde, la guerre en Ukraine est « le paravent » idéal pour nous cacher des enjeux bien plus importants. Au rang de ceux-ci, figure notre liberté de circulation ainsi que notre liberté d’accepter ou pas un traitement médical.

En effet, la Commission européenne (UE) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) viennent de conclure le 5 juin dernier, un « partenariat historique en matière de santé numérique » afin de promouvoir un passeport vaccinal numérique interopérable à l’échelle mondiale.

Le directeur général de l’OMS se félicite ainsi de promouvoir « l’outil » inventé par l’UE, au niveau mondial :

  • « En s’appuyant sur le réseau de certification numérique très performant de l’UE, l’OMS vise à offrir à tous les États membres de l’OMS l’accès à un outil de santé numérique open source, fondé sur les principes d’équité, d’innovation, de transparence, de protection des données et de respect de la vie privée ».

Sachez que les modifications, en cours d’élaboration, du règlement sanitaire international (RSI), ainsi que l’avant-projet d’un nouveau « traité mondial sur la pandémie », permettront à l’OMS de se substituer aux états pour toutes décisions en rapport avec une pandémie à venir. C’est un véritable « coup d’État ».

Le compte rendu de la réunion du 5 mai dernier du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international est éloquent. Extraits choisis :

  • « Intégrer la vaccination contre la COVID-19 dans les programmes de vaccination tout au long de la vie. Les États Parties devraient poursuivre leurs efforts pour accroître la couverture vaccinale contre la COVID-19 de toutes les personnes appartenant aux groupes hautement prioritaires.
  • le risque évalué à l’échelle mondiale demeure élevé, les données montrent une réduction des risques pour la santé humaine principalement due à une immunité élevée de la population induite par l’infection, la vaccination ou les deux.
  • Les États Parties devraient renforcer leurs autorités réglementaires pour soutenir l’autorisation et l’utilisation à long terme des vaccins, des produits de diagnostic et des traitements».

Ces textes seront soumis aux votes des membres de l’OMS en 2024 et prendront effet à ce moment-là… s’ils sont adoptés !!! Il nous reste à faire pression sur notre monde politique, si nous voulons :

  • Conserver la possibilité de voyager librement dans le monde entier.
  • Ne pas être obligé de subir une injection de produit dont l’efficacité n’est toujours pas prouvée alors que de nombreux effets secondaires, dont la mort, sont avérés.

À force de tout voir, l’on finit par tout supporter…
À force de tout supporter, l’on finit par tout tolérer…
À force de tout tolérer, l’on finit par tout accepter…
À force de tout accepter, l’on finit par tout approuver.

(Saint Augustin)

Chers lecteurs, prenez soin de vous. Je vous aime et vous salue.