Introduction.
Chers lecteurs, nous vivons actuellement l’apocalypse, c’est-à-dire, le temps du dévoilement. En observant la confusion qui règne dans tous les domaines, nous constatons que les masques tombent et la Vérité se fait jour. Cette excellente nouvelle est la révélation que notre destin NOUS appartient pleinement.
Pour contribuer activement au futur de l’humanité, reprenons confiance en l’Être que nous sommes vraiment et agissons individuellement pour construire collectivement le merveilleux monde de demain. Ce blog, qui traite de « l’écume des choses », a pour ambition de vous y aider.
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Sujet du jour : L’or attire des convoitises.
Pour les lecteurs peu familiers avec la langue du poète Fernando PESSOA, cela signifie : « Amis portugais, merci de votre confiance ». Dis donc, Hubert, pourquoi ce titre de ton billet en portugais ? Cette langue étant d’origine latine, nous avons bien compris le sens de la phrase, mais cela n’explique pas ton intérêt pour ce pays voisin !
Il est vrai que le Portugal et ses habitants ont une place toute particulière dans mon cœur (coucou Margaret), mais la raison de ce titre est aussi… professionnelle. Explications :
Comme vous le savez, pendant et après la Seconde Guerre mondiale, beaucoup de pays ont considéré que l’or physique entreposé dans les coffres de leur banque centrale, serait plus en sécurité s’il était réparti dans les coffres d’autres banques centrales, aux rangs desquels, ceux implantés dans les sous-sols de « Fort Knox » aux États-Unis d’Amérique, faisaient figure de référence. Ceux de la banque centrale d’Angleterre (BoE) étaient aussi considérés comme intangibles , tout comme « le flegme British »☺.
Ça, c’était « avant » !!! À l’époque où la confiance régnait !!! Ce temps est, hélas à juste titre, RÉ VO LU, j’y reviendrais. La banque centrale du Portugal, avec ses 383 tonnes, se classe comme la 9è plus importante détentrice d’or physique en Europe. Un peu moins de la moitié (45%) est conservée dans des coffres près de Lisbonne. 48% sont stockés dans les coffres de la BoE, 6% le sont… à la banque des règlements internationaux (BRI), autrement dit, à la banque centrale des banques centrales, située à Bâle, en Suisse. Mais où donc sont stockés les presque 4 tonnes restantes ?
C’est là que le choix de mon titre pour ce billet prend tout son sens. En effet, ce 1% des réserves d’or portugais était stocké… aux USA. Mais, la banque centrale du Portugal l’a fait transférer… à Paris ☺. Cocorico !
Cela étant, leur or stocké en Angleterre est-il « à l’abri » ? Peut-être.
Sera-t-il rapatrié au Portugal à la première demande ? C’est une autre histoire.
Ça y est, Hubert, tu recommences à être négatif. Que nenni, chers lecteur, j’ai juste en mémoire « quelques faits curieux ».
La banque centrale autrichienne possède 280 tonnes d’or dont la majorité (82%) était stockée dans les coffres de la BoE. En 2015, elle lui fait une demande pour transférer 50 tonnes de cet or vers la Suisse. Sept années plus tard … ce n’est toujours pas fait. Vous avez dit bizarre ? Comme c’est étrange.
Un autre fait que j’ai en mémoire à propos de la BoE, est son « contentieux » avec le Venezuela. Comme vous le savez, en janvier 2019, Juan GUAIDO s’est autoproclamé président par intérim de son pays, avec l’aide bienveillante des USA et… de l’Angleterre.
La difficulté réside dans le fait que le président Nicolás MADURO, élu dans son pays, n’est pas reconnu par plusieurs « autres pays », dont celui qui « abrite » dans ses coffres près de Londres, une partie des réserves de sa banque centrale ( 1,6 Mds d’euros). Cet or du Venezuela est donc « gelé » en Angleterre. Comment ? J’ai dit « confisqué » ? Non, non, j’ai bien écrit « gelé ». Je sais encore écrire en français, non ?
Si nous transposons cela au niveau de nos patrimoines. Ne pensez-vous pas qu’il serait raisonnable, d’avoir son or physique chez soi ? Oui, je sais, les cambrioleurs n’attendent que cela pour venir vous rendre une « visite de courtoisie »☺. Les abonnés aux « Rendez-vous d’Hubert » bénéficient de conseils personnalisés pour « élargir le champ des possibles »… et pas que dans ce type de situation.
« Si l’on dit la vérité, on est certain d’être démasqué tôt ou tard »
Chers lecteurs, portugais, autrichiens et vénézuéliens… ou pas, je vous aime et vous salue.
