INTRODUCTION

Si nous sommes pris par les « élites » pour les imbéciles que nous sommes devenus, c’est à nous seuls qu’il appartient de ne pas le rester. Plus largement informés, nous pouvons tirer le meilleur des évènements, devenir plus forts et ainsi être en mesure d’aider ceux qui veulent progresser dans ce sens. Je m’efforce de contribuer à la prise de conscience du fait que si « tout va mal » autour de nous, c’est individuellement qu’il nous appartient de faire ce qu’il faut, pour que « tout aille mieux » collectivement.

Le but de mes écrits n’est pas de vous faire peur, mais de vous préparer, car c’est en sachant les choses qu’on peut mieux les gérer. Je m’attache à avoir une réflexion factuelle, sur « un temps long » et à ne pas donner dans le catastrophisme, sans pour autant éluder les réalités « dérangeantes ».

Les analyses que je vous propose étant l’expression de « ma vérité » au moment de leur rédaction, je vous donne l’accès à mes sources, afin que vous soyez en mesure d’avoir VOTRE appréciation, éventuellement différente des miennes et ainsi construire VOTRE vérité, la seule qui vaille à mes yeux.

Bonne lecture.

 

Souvenez-vous, c’était dans mon billet du 9 novembre 2018 titré « Mélenchongate ; ce qu’il est important de retenir ». J’écrivais : « Alors que les élections européennes se profilent à l’horizon, il est temps pour Emmanuel MACRON de neutraliser ses adversaires et « l’ami Jean-Luc » en est un de choix. Le fait de « l’occuper » à sa défense dans cette affaire judiciaire de faux attachés parlementaires, entièrement vrais, « tombe à point ». Puis est venu le grand débat national… Pardon, « la vraie-fausse campagne » des Européennes… menée de main de maître par notre « Jupiter préféré », dont je vous relatais la totale illégalité le 14 février dernier.

Où en sommes-nous à 22 jours du scrutin ? Tous les candidats têtes de liste sont maintenant connus et nous avons déjà pu constater une « curiosité médiatique » de la part de notre chaine nationale de télévision : France 2. En effet, celle-ci décide d’organiser le 4 avril dernier, un débat relatif aux prochaines élections européennes dans « L’émission politique ». Elle omet d’inviter Benoit HAMON pour « Génération.s »,  François ASSELINEAU pour « l’UPR » et Florian PHILIPPOT pour « Les patriotes ». Ceux-ci saisissent alors la justice et le tribunal administratif de Paris tranche ainsi : « Les décisions de ne pas inviter ces trois candidats au débat du 4 avril sont susceptibles de porter une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté fondamentale que constitue le respect du principe du caractère pluraliste de l’expression des courants de pensée et d’opinion […] enjoint à France Télévisions, sous le contrôle du Conseil supérieur de l’audiovisuel, d’inviter Benoît Hamon, François Asselineau et Florian Philippot au débat organisé le 4 avril sur France 2 ou à un autre grand rendez-vous d’information et de débat avant le 23 avril 2019 ».

Le débat a donc lieu le 4 avril avec tous ces protagonistes et « Vla ti pas »… Oui je sais, c’est une très très vieille expression française assez peu employée au XXIe siècle, mais, elle me plait, Na. C’est moi qui frappe (avec douceur) sur le clavier, non ? Je reprends. Vla ti pas que ce même 4 avril, le juge des référés du Conseil d’État « a annulé les ordonnances du juge des référés du tribunal administratif de Paris et rejeté les demandes des trois intéressés » !!! Que c’est beau, un état de droit.

Pour illustrer les ravages de l’incompétence et/ou de la docilité des « grands merdias nationaux », je vais maintenant aborder avec vous, chers lecteurs, « le cas Nathalie LOISEAU ». Cette candidate tête de liste pour « La république en marche » (LREM) fait les délices de nos chers merdias avec ses « gaffes ».

Ici on l’accuse de « banaliser l’homophobie », là on lui reproche de « changer d’avis » à propos de sa candidature, ailleurs on lui remémore son appartenance à un « syndicat étudiant d’extrême droite » quand elle avait 20 ans. Effffectivements, ces « journalistes radoteurs-ragoteurs » nous alertent sur des points essentiels concernant la candidate qu’il faut absolument connaitre avant d’éventuellement voter pour elle… Ou pas.

Merci les gars (et les filles… avant que je ne sois taxé de sexisme), nous voilà bien informés sur le personnage… quoi que… Dans sa présentation sur « la bible », j’ai nommé le Wikipédia, on apprend que dans sa carrière, « l’amie  Nath » a été pendant « un certain temps » comme le disait le regretté Fernand RAYNAUD, la directrice de notre célèbre école nationale d’administration, l’ENA dont on ne sait plus trop aujourd’hui, quel sera son avenir.

Bingo. Les fidèles lecteurs du blog se rappellent que dans mon billet du 22 octobre 2018,   je vous apprenais que c’est sous la direction de Nathalie LOISEAU que l’ENA avait réussi la performance de générer un déficit de 2,8 millions d’euros sur un budget global de 40,8 millions d’euros en 2017. Près de 7 % de déficit, ce n’est pas mal pour une « grande école » qui forme les futurs gestionnaires du pays, ne trouvez-vous pas ?

Et ce n’est pas fini. Dans mon billet du 29 mars dernier titré « École nationale d’administration : la compétence récompensée », je vous confirmais que : « La directrice de l’ENA est une certaine… Nathalie LOISEAU, qui, curieusement, n’est pas issue de cette prestigieuse école, mais de l’institut politique de Paris, autre appellation de Sciences Po. Elle est directrice de l’ENA de 2012 à juin 2017 ». Je concluais ainsi ce billet : « Alors quand « le parti présidentiel » me propose comme tête de liste pour les élections européennes du 26 mai prochain… Nathalie LOISEAU, je me demande si elle est la mieux placée pour « faire le boulot » !!!».

Voilà le genre d’information qui m’éclaire beaucoup mieux sur les capacités de cette potentielle députée européenne pour défendre les intérêts de notre pays !!! Merci les grands merdias subventionnés avec nos impôts, pour vos contributions à notre information plurielle et objective. Grand merci pour vos Z’informations distrayantes autant qu’inutiles !!!

Mais à mon sens, là n’est pas la question la plus importante à se poser pour être en capacité de voter de manière éclairée le 26 courant. En effet, ce n’est pas au niveau des différents candidats que doit se faire la réflexion. Comme toujours, il est nécessaire de prendre du recul et de la hauteur dans le raisonnement. Ces députés européens que je suis susceptible d’élire dans quelques jours, sont-ils en capacité de défendre, ou pas, ma vision de l’Europe ? Vont-ils améliorer mon quotidien européen ? vont-ils faire rayonner mon pays dans cette Europe ?

Pouf pouf…revenons en arrière !!! Je ne vous incite pas chers amis, à reculer ou à régresser, mais à nous souvenir de l’histoire, de notre histoire. Nous savons bien que pour comprendre où nous en sommes et vers quoi nous allons, encore faut-il connaitre d’où nous venons. « Waouh, c’est chouette comment t’écris « pépère Hubert » ? ? ?. Allez, je reprends mon sérieux. Quoi que. Vous avez bien chers lecteurs, que j’adôôôre ne pas me prendre au sérieux tout en … la suite est aussi connue que classique.

La belle histoire de « notre Europe » telle qu’elle nous est racontée, n’est pas tout à fait la réalité. Ce n’est pas « notre » Europe, mais celle de l’oligarchie mondialiste, comme je vous en ai donné les détails de la construction dans mon billet du 3 février 2018 puis celui du 10 février 2018 et aussi celui du 17 février 2018. Ce rassemblement de pays, totalement bancal sur le plan politique aussi bien qu’économique n’a qu’un seul objectif pour ses concepteurs : accélérer la perte de pouvoir des états souverains au profit du pouvoir financier international, car, comme le dit le proverbe : « La main qui donne est toujours au-dessus de celle qui reçoit ». La triste réalité est que ce n’est pas notre Europe, mais l’Europe des « banksters », c’est-à-dire de la haute finance apatride, composante essentielle de l’oligarchie mondialiste.

Collectivement, nous trouvons « normal » que les banques centrales, dont l’européenne (BCE) soit « indépendante » du pouvoir politique, car « ON » nous a vendu le fait que les banquiers savaient mieux gérer l’argent que le monde politique. ON a juste oublié de nous dire que ces banques centrales sont la propriété… de banquiers privés. Je vous ai décrit par le menu l’histoire de la banque centrale américaine : la Federal Reserve (FED), dans mes billets du 10 puis du 17 et du 24 mars 2018. La réalité est que ses propriétaires (12 banquiers pri vés) se sont arrogé le droit d’émettre la « monnaie du monde » qu’est le dollar et de la vendre au peuple américain, moyennant rétribution.

Quand prendrons-nous pleinement conscience que « les sous » que nous gagnons dans des conditions de plus en plus dures, que nous essayons de placer au mieux possible de nos intérêts, alors que les banksters manipulent les marchés… ne nous appartiennent pas ? Je vous redis ré écrit que cet « argent » appartient juridiquement aux grandes banques qui émettent les monnaies, comme je vous l’ai expliqué, notamment dans mon billet du 31 mars 2015. Ce sont aussi eux qui fabriquent des produits financiers « toxiques », comme je vous en ai expliqué la construction dans mon billet du 13 avril 2012.

Hélas, comme le dit la légende de « la vérité sortant du puit », les gens préfèrent accepter le mensonge déguisé en vérité que la vérité nue. En matière de « vérité nue », voici un extrait de mon billet du 28 mars 2019  , titré « Coca cola tête de liste aux prochaines élections européennes » :

Coca-Cola. Vous connaissez ? C’est la boisson qui rend obèse et diabétique !!! Son service marketing a bien compris que les instances européennes avaient besoin de rafraichissant… mais aussi de poufs et autres multiples petites choses… C’est pourquoi celui-ci a signé un « partenariat platine » avec la présidence de l’Union européenne qui échoit en 2019 à la Roumanie. Quand les couloirs menant aux salles dans lesquelles « les décideurs européens » travaillent sur des projets de lutte contre la malbouffe, sont « décorés » de panneaux sur lesquels, à côté du logo de Coca-Cola est écrit « Le système Coca-Cola soutient fièrement la première présidence roumaine du Conseil de l’UE » … on est en droit de se poser des questions, ne croyez-vous pas ?

Même des partis politiques transnationaux sont « sponsorisé » par de « généreux donateurs » comme Monsanto-Bayer, mais aussi Uber, Google Belgique , Deloitte, AmCham ou Syngenta. L’année dernière, par exemple, le montant total s’élevait à 122 000 euros, a calculé le journal français Le Monde. Cet argent provenait de 8 multinationales et lobbies différents. Ils ont tous payé un droit d’entrée de 7 000 à 18 000 euros pour participer au congrès annuel du parti qui s’est tenu à Madrid.

Une autre « vérité » dont on ne sait comment elle est habillée. Elle  émane du journal d’investigation en ligne indépendant EU observer,  ainsi présenté par Wikipédia : « plus grand quotidien en ligne concernant l’Union européenne, et deuxième source d’information la plus utilisée par les journalistes à la recherche de nouvelles sur l’Union, après le Financial Times ». Dans son billet du 24 avril dernier, EU observer nous révèle que la Commission européenne aurait volontairement occulté, en partie, le contenu d’une rencontre ayant eu lieu lors du 49e Forum économique mondial qui s’est tenu du 22 au 25 janvier dernier à Davos, entre le milliardaire George Soros, l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair et le commissaire européen Pierre Moscovici. Les trois protagonistes se seraient rencontrés au sujet « d’un second référendum sur le Brexit ».

Après avoir demandé, fin janvier 2019, l’accès au contenu de cette discussion, le site EU observer explique en effet s’être heurté à un refus partiel de la Commission européenne, celle-ci ayant répondu par courriel deux mois et demi plus tard. Citant dans un tweet la réponse de l’exécutif européen, le site d’information a ainsi écrit le 25 avril : « La nécessité de protéger le processus de décision de l’UE est plus importante que tout intérêt public, dans ce qui a été discuté à propos du Brexit. ». Vous avez dit « démocratie européenne » ?

Passons à un regard différent sur les affaires européennes, qui a une importance certaine, celui du nombre et « du poids » de nos représentants français. Un fin connaisseur des arcanes parlementaires européennes, Alain LAMASSOURE, député européen depuis 1989 sous l’étiquette « groupe du parti populaire européen » (PPE), nous précise que : « L’influence, ça dépend aussi du nombre. Le Parlement européen aime les gros bataillons […] On était 30 en 2009 et là, on risque d’être moins de 20. Les socialistes français, on ne sait même pas s’il y en aura ».

Entre des « lobbystes-sponsorts » pour le moins incongru et les « magouilles politiciennes », comment s’étonner que lors d’un récent sondage, 42 % des Français interrogés par l’institut de sondage BVA expriment un  désintérêt pour ces élections. Il faut aussi anticiper le phénomène de l’abstention qui atteignait 42,6 % en 2014. Il est fort probable qu’il soit supérieur cette année, fragilisant encore plus « l’édifice Europe » aux bases déjà incertaines.

Aspect différent, la politique monétaire suivie par la BCE, sur ordre de l’oligarchie mondialiste anglo-américaine, par le biais de la banque des règlements internationaux (BRI). Celle-ci est plus connue du public sous l’appellation de « banque des banques centrales ». Elle est un des principaux bras agissants des « tireurs de ficelles », comme je vous en informe régulièrement. Cette fameuse BRI annonce par sa politique, une désintégration de l’Europe telle quelle est actuellement constituée. La seule question est, quand ?  En retenant ce scénario comme plausible, ne serait-il pas judicieux, pour que la France retrouve une part de sa souveraineté, qu’elle quitte l’Union européenne avant sa désintégration inscrite dans ses gènes ? Le « Frexit » ? Mais « l’ami Hubert » est devenu complètement fou !!!

Et pourquoi pas complotiste, pendant que vous y êtes !!! Doucement les jugements à l’emporte-pièce, doucement. On inspire un grand coup et on se calme. On applique la méthode mo no syl la bi que, dont j’ai fait récemment bénéficier les souscripteurs au « Coaching Premium d’Hubert » (Le CPH).

Avant d’émettre des positions aussi tranchées, documentez-vous comme je le fais. Activez les liens de mes sources auxquelles je vous donne systématiquement accès et lisez, relisez, croisez les informations comme je le fais et après, seulement après, vous pourrez émettre une opinion éventuellement contraire à celle que j’exprime dans mes billets, mais au moins, elle sera construite et donc recevable. J’adôôôre la contradiction, car elle fait « grandir » les protagonistes, mais je refuse la condamnation ex abrupto, sans arguments étayés, simplement pour être en accord avec « la pensée dominante » du moment.

Dis donc, « pépère Hubert », qu’est c’qui t’prends ? Pourquoi cette violence épistolaire envers les personnes qui prennent la peine de te lire ? C’est ton trop long manque de soleil andalou qui te met dans cet état ?

Que nenni, chers amis, que nenni. Il est vrai que l’obligation, pour raison médicale, d’un séjour de près de six mois à Paris ne me place pas au mieux de « ma zénitude », mais là n’est pas l’origine de ce « coup de gueule ». Les liens que nous avons patiemment tissés au cours des semaines et des mois passés m’autorisent à vous en dire plus sur ce comportement… Volontaire, vous vous en doutiez.

Effectivement, nous sommes « parisiens » mon épouse et moi, depuis fin novembre 2018. Celle qui fait toujours battre mon cœur (après 48 ans de mariage) ? ? ?, a été contraint, pour remédier à une arthrose ankylosante du genou gauche, à la pose d’une prothèse totale. Tout s’est merveilleusement passé (merci de vous être inquiété pour sa santé, je lui transmettrais cette délicate attention). Il est particulièrement réconfortant de constater « de visu » que nous avons toujours des personnels soignants de première qualité en France (du chirurgien à l’aide-soignante), aussi bien sur le plan technique que sur le plan humain. De plus, « la mémère Momo » (mon épouse se prénomme Monique) a été très forte, c’est dans sa nature. Pensez donc, une Sarthoise, ça résiste à tous… Même à moi, c’est peu dire. Le ré apprentissage à « marcher droit » est en bonne voie et « le retour au soleil andalou » se profile pour la fin de ce mois de mai… Joli mois de mai.

Pour ce qui est de mes propos, ils ont été guidés par le fait que nous sommes tous, plus ou moins « perturbés » par la peur de l’inconnu. Cela étant, cette peur nous amène parfois, j’ai bien écrit NOUS, amène à des crispations, des refus de remise en question pourtant salutaires, des blocages qui nous paralysent et nous empêchent de voir la réalité en face, telle qu’elle est et pas telle que nous voudrions qu’elle soit. Plus globalement, notre peur de l’inconnu risque de nous faire passer à côté du meilleur de notre vie.

Cette Europe imparfaite, nous y sommes habitués, elle est quand même « rassurante », alors pourquoi l’abandonner ? Et si cette peur de l’inconnu, nous empêchait de construire ensemble, non seulement l’Europe de demain, mais surtout, LE MONDE de demain… Il ne tient qu’à nous de dépasser nos peurs. Souvenons-nous en le 26 de ce merveilleux mois de mai 2019.

Pour vous encourager à dépasser vos peurs, je vous encourage vivement à visionner cette courte vidéo. Vous serez surpris à quel point ces 11 minutes et 12 secondes, vont vous faire « grandir ». Un immense merci à Harold PARIS, fondateur du site POSITIVR, auquel je vous invite à vous abonner, car c’est lui qui m’a fait découvrir cette vidéo dont il nous raconte la genèse.

Chers amis lecteurs, ayez confiance en vous, car vous méritez le meilleur et il ne tient qu’à votre persévérance pour l’obtenir. Prenez bien soin de vous. Je vous aime et vous salue.