REVENONS À NOTRE SOURCE, POUR NOTRE PLUS GRAND BIEN
À vouloir nous prendre pour Dieu, nous sommes en train de perdre notre âme. Dans la série du grand n’importe quoi…. je demande un violoncelle !
Figurez-vous qu’un concert a récemment eu lieu à Malmö en Suède. Jusque-là, rien de particulier, si ce n’est que la partition de violoncelle était « jouée »… par un robot !!!
C’est une première mondiale. Une œuvre musicale intitulée «Veer», spécialement composée par un dénommé Jacob Benjamin MÜHLRAD. Elle aurait été « bien accueillie » par le public.
Ce compositeur suédois est né le 9 avril 1991 à Stockholm. Il a travaillé avec des chœurs et des orchestres de renom dans le monde entier. Il a également collaboré avec des groupes de musique pop et produit de la musique de film.
J’assume de passer, à nouveau, pour un affreux rétrograde, d’extrême droite, antisémite, homophobe… j’allais oublier : de surcroit, complotiste et anti LGBTQI+.
J’écris que tout ce « progressisme » n’a pour objet, au prétexte d’être en accord avec son temps … que de nier la partie divine de l’Être que chacun de nous Est vraiment.
Pour ce qui est de la musique, elle est la symbiose de l’inspiration du compositeur, transcendée par l’accord divin entre l’interprète et son instrument, pour procurer aux auditeurs, un grand bien-être et une totale sérénité.
Prenons l’exemple d’une œuvre bien connue : Le canon de PACHELBEL. Ce cher « ami Johann » est né en 1653 à Nuremberg, dans une famille de classe moyenne. Si sa date de naissance exacte est inconnue, nous savons qu’il fut baptisé le 1er septembre 1653.
Après des études musicales, il occupe successivement des postes d’organiste et de professeur en Autriche et dans plusieurs villes d’Allemagne centrale et méridionale. Il a été marié à deux reprises. Il meurt à Nuremberg le 3 mars 1706.
Il est connu pour ses nombreuses pièces d’orgue et, surtout, pour ce fameux « canon et gigue en ré majeur pour 3 violons et basse continue ». L’œuvre entière est concentrée dans ces deux mesures jouées 28 fois :
En voici une première version, originale, jouée sur des instruments d’époque, par Katherine KYME, Carla MOORE et Cynthia FREIVOGEL au violon baroque. Tanya TOMKINS au violoncelle baroque, Hanneke van PROOSDIJ à l’orgue baroque et David TAYLER au théorbe.
Quoi que l’on en dise et pense, la pseudo intelligence artificielle, de même que les robots, ne pourra pas égaler le moment de grâce entre un compositeur et la source de son inspiration, quel que soit le nom que chacun lui donne : Dieu, le grand tout, l’univers…
Preuve que cette composition supporte d’autres interprétations, tout aussi émouvantes. En voici une, réalisée à la gare de Busan, en Corée du sud, par le « Tagbonee Band ».
Voici une autre version, avec des voix, dans un arrangement de Angel FIGUEROA. Elle est interprétée par l’orchestre et les chœurs de « Voces para la Paz », dirigés par chef Enrique GARCÍA ASENSIO.
Ce fameux Canon a la particularité d’avoir huit notes correspondant exactement aux fréquences d’activité des huit acides aminés primordiaux chez l’homme. Rassurez-vous mesdames et demoiselles… chez la femme aussi 😉.
C’est le miracle de la connexion entre la musique et le corps humain. Chaque note de musique correspond à un organe spécifique et à sa propre fréquence, affectant directement notre bien-être.
Ces huit notes essentielles font partie de notre chaîne polypeptidique. Son écoute pénètre notre corps et va stimuler dans la protéine d’activation de la GTPase.
Attention à ne pas la confondre avec Chat GPT 😂. Bref, si beaucoup de personnes pensent qu’un bon canon, ça fait du bien 🤣, le canon de « l’ami Johann » nous est très bénéfique. Surtout si le La est accordé en 432 Hertz (Hz).
Comme vous le savez, avant de nous réjouir de son interprétation, un orchestre accorde tous ses instruments sur une même note : le La. Et là, une question fait débat : quel La ? Car il y a le La et le La. Oh la la 😥.
En effet, la fréquence du La n’a pas toujours été la même : 432 Hz ou 440 Hz. La plus ancienne référence provient de l’accord du La à 505,8 Hz de l’orgue de Halberstadt en Allemagne… en 1361 !
Loin des polémiques historiques, quelle que soit la fréquence du La, acceptons ce cadeau de la musique qui nous fait grandir et retrouver qui nous sommes vraiment : un être spirituel d’amour et de lumière dans un corps humain.
« La musique est l’aliment de l’amour »
(William Shakespeare)
Chers lecteurs, prenez soin de vous et de votre âme. Je vous aime et vous salue.
Merci pour cet article ! Et que dire de “In Paradisum” du Requiem de Fauré …..