INTRODUCTION 

Notre quotidien se déroule, avec ses hauts et ses bas. Notre monde s’écroule et beaucoup ne le voient pas. En prenant du recul, une fois cela comprit, s’ouvre pour chacun de nous, les perspectives d’une nouvelle vie. Loin du tourbillon médiatico-politique, retrouvons qui nous sommes vraiment.

Comprenons le sens de notre vie. Ici et maintenant, exploitons-le pleinement. Rayonnons notre puissance d’amour, pour surmonter cette période difficile. Nous pourrons ainsi aider, tous ceux qui doutent et s’interrogent encore. C’est la somme de nos actions individuelles, qui fera le bonheur collectif.

« Sois le changement que tu veux voir dans ce monde »
(Gandhi)

 

NOUS TOMBONS DE CHARYBDE EN SCYLLA

Une récente décision de justice, me donne l’occasion de revenir sur un sujet, que je considère de la plus haute importance, s’agissant de la santé mentale de nos enfants.

Dans mon billet du 29 novembre 2021, je vous relatais la circulaire MENE2128373C, du 29 septembre 2021, parue dans le numéro 36 du bulletin officiel de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports, en date du 30 septembre 2021.

Ce texte concerne les « lignes directrices à l’attention de l’ensemble des personnels de l’éducation nationale ». Celles-ci ont pour objet « une meilleure prise en compte des questions relatives à l’identité de genre en milieu scolaire » !!!

Cet engagement « s’inscrit dans une dynamique interministérielle, coordonnée par la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (Dilcrah) et dont le Plan national d’actions pour l’égalité des droits, contre la haine et les discriminations anti-LGBT+ 2020-2023 ».

En marge de ce document, il est rappelé que : « L’acronyme « LGBT » désigne les personnes « lesbiennes, gays, bi, trans ». Le signe + est ajouté pour inclure l’ensemble des personnes dont l’orientation sexuelle et/ou l’identité de genre s’écartent de la norme dominante ». !!!

Cette circulaire prévoit que les élèves transgenres peuvent faire usage du prénom de leur choix dans leur établissement scolaire. Mieux pire, dans le cadre du respect de l’identité de genre des élèves, il faut : « veiller à ce que le prénom choisi soit utilisé par l’ensemble des membres de la communauté éducative ».

Le décor étant planté, passons au premier acte de cette mauvaise pièce :

Le 15 novembre 2021, Monsieur A… (vraisemblablement parents d’élèves) demande au Conseil d’État, d’annuler pour excès de pouvoir, cette circulaire ministérielle. La 1ère et 4e chambres réunies, rejettent la requête, le 28 septembre 2022 (décision n° 458403).

Second acte :

Le 3 mai 2022, l’association SOS Éducation et l’association Juristes pour l’enfance, font la même requête … à la même juridiction. C’est sans surprise qu’à nouveau, la 1ère et 4e chambres réunies, la rejettent le 29 décembre dernier (décision n° 463697).

Connaissez-vous le programme international pour le suivi des acquis des élèves ? Il est plus connu par son acronyme PISA.

Évidemment, sans aucun rapport avec tout ce que nous venons d’évoquer…l’édition 2022 du rapport PISA, rendue publique le 5 décembre dernier, fait état d’une baisse significative et inédite depuis 2000, des résultats des élèves en mathématiques et en compréhension de l’écrit, un peu moins en sciences.

Certainement, un fait du hasard, la France est dans le peloton de tête… des plus fortes baisses de niveau ! Vous avez dit bizarre ? Comme c’est étrange !

Cela fait vingt-trois années que j’enseigne en école de commerce, au niveau licence et master 1 et 2. Je constate une baisse régulière du niveau des étudiants, avec une nette accélération depuis deux ans.

Poire sur le gâteau (je vous rappelle que je n’aime pas les cerises, encore moins sur un gâteau), la note 23.49 du ministère de l’Éducation nationale, commentant les résultats du rapport PISA, se félicite ainsi :

  • « En France, les situations de violence scolaire sont aussi fréquentes que dans la moyenne de l’OCDE, mais avec de fortes inégalités selon le sexe».

Au fait, dans quelle catégorie ont-ils comptabilisé les transgenres ?

« L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit »
(Aristote)

Chers lecteurs, transgenres ou pas, prenez soin de vous. Je vous aime et vous salue.

 

ET MES SOUS DANS TOUT ÇA ?

 Vous avez pris conscience de la gravité de la situation et vous tenez à préserver votre patrimoine matériel et spirituel, du chao qui arrive.

Les rendez-vous d’Hubert vous permettent de bénéficier de mon expérience, pour anticiper et exploiter au mieux, l’évolution de la situation.

Véritables guides pratiques, les rendez-vous d’Hubert vous permettent de comprendre ce qui se passe réellement et de prendre les meilleures décisions.