Introduction

Théorie du complot, complotismes, conspirationnismes… Dès que l’on aborde le sujet des « néocons », de la « gouvernance mondiale », ou de « l’état profond », l’accusation de souscrire à la théorie du complot sonne la fin de la discussion, avant même que des échanges instructifs autant que constructifs, n’aient pu débuter. Pour clarifier les choses, commençons par ces quelques définitions du centre national de ressources textuelles et lexicales (CNRTL).

 Complot : « Dessein secret, concerté entre plusieurs personnes, avec l’intention de nuire à l’autorité d’un personnage public ou d’une institution, éventuellement d’attenter à sa vie ou à sa sûreté ».

Conspiration : « Entente secrète entre plusieurs personnes ou choses personnifiées, contre quelqu’un ou quelque chose ».

Dans ces deux définitions, la notion de secret est prééminente. Or, pour ce qui est de la gouvernance mondiale, de l’état profond et des néocons, il n’y a que peu ou pas de secret… à qui prends la peine de chercher, rechercher, recouper. Bref, d’être curieux et persévérant.

Le plus « Z’amusant » dans cette histoire, c’est que : l’état profond, les mondialistes et les néocons, autrement dit les véritables complotistes qui conspirent contre les peuples, ont réussi à faire passer ceux qui cherchent à dévoiler leurs réels desseins, pour… des « complotistes » !!!

Je vous propose chers lecteurs, de partager une analyse quelque peu différente de celle des grands médias qui ne sont que le porte-voix de la pensée unique et du politiquement correct. Vous allez voir comme c’est « rafraichissant » et grandement instructif.

Prenons quelques éléments d’actualité et essayons de les relier entre eux pour voir si, « comme par hasard », une ligne directrice émerge. De plus, cela nous permet de « comprendre » et, poire belle Hélène sur le gâteau… ??? Pardon. Seuls les anciens lecteurs de mes billets savent parfaitement que je préfère la poire belle Hélène à la cerise. ☺☺☺.

Maintenant que vous êtes tous au même niveau de connaissance de mes gouts en matière de pâtisserie, je reprends. Poire belle Hélène sur le gâteau, cette compréhension va nous permettre de réaliser des anticipations réalistes de ce qui nous attend et donc, avoir la possibilité de « passer à travers les plus grosses gouttes ». Que du bonheur.

Et si tout ce qui nous arrive en ce moment n’était pas le fruit du hasard ? Se pourrait-il que tout cela ait un sens, une explication ?

Un dernier point avant de nous lancer dans cette aventure :

 

 

 

« N’écoutez pas la personne qui a les réponses. Écoutez la personne qui a les questions ». (Albert Einstein)

 

Point d’étape : 17e semaine de 2020

Au cours des derniers jours, j’ai relevé pour vous quelques informations. C’est l’occasion d’ouvrir les yeux, d’être « curieux » et sans parti pris.

Il est temps de nous interroger en faisant abstraction de « nos filtres habituels » et de vérifier ensemble si tous ces faits, reliés entre eux, n’auraient pas une certaine forme de cohérence, au-delà d’une incohérence apparente.

Cela nous amènera, peut-être, à une autre qualification de cette « information » : manipulation des foules, mensonge pour « raison d’État », relation objective des faits, information claire et non biaisée…

 

Sur le plan sanitaire :

Dès le 1er février dernier, je vous recommande de ne pas focaliser votre attention sur le nombre de personnes touchées par le coronavirus et encore moins sur le nombre de morts que celui-ci provoquerait. Ceux qui me lisent depuis longtemps comprennent parfaitement mon choix assumé du conditionnel.

En effet, comme je vous en ai informé le 8 avril dernier : « Un exemple permettant de « calmer ses angoisses » nous est donné par cette étude de l’institut supérieur de la santé (ISS). Sur 100 morts attribués au virus, moins d’une personne est décédée directement du Corona. Les autres présentaient une, deux ou trois pathologies antérieures. Cela explique pourquoi majoritairement les personnes âgées sont touchées, sans exclure des plus jeunes, fragilisés par d’autres pathologies ».

Nous sommes en cette époque « Coronavirusienne », très trop largement « gavé » de chiffres à tendance alarmiste. Même notre chaine nationale France 2, prends quelques libertés avec la « rigueur journalistique » pour ce qui est du nombre de personnes contaminées.

Autre point mis en avant par tous les médias : la parole des « Z’experts ». Il est éclairant de s’intéresser à qui ils sont et aussi d’où proviennent leurs revenus.

Prenons l’exemple de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui ne nous explique pas pourquoi une épidémie d’une « souche de grippe commune » est plus dangereuse que 300 autres souches de virus similaires ni pourquoi nous devons en 2020, compter les décès en temps réel. Chaque année il y a entre 250.000 et 650.000 décès dus à la grippe saisonnière dans le monde, un chiffre dont la pandémie actuelle n’atteint pas, à ce jour 5%.

La « bible Wikipédia » nous précise : « Le budget de l’OMS est critiqué pour sa dépendance aux fonds privés via, notamment le trust de la fondation Bill et Mélina Gates ». Voilà une information qui relève du « minimum syndical » !!!

En investiguant un peu plus, nous apprenons que l’OMS aurait « géré bizarrement » la pandémie de la grippe porcine (virus H1N1) en 2009 et pour laquelle des reproches identiques lui sont faits pour de qui est du COVID-19. Laissons les polémiques aux « médias de grand chemin » et posons-nous la question essentielle : qui paye ? Et là, c’est beaucoup plus intéressant.

Cet organisme mondial est financé par des cotisations statutaires qui sont versées par les états membres, à hauteur de 21% de son budget. Les 79% restant (plus de 2 milliards de dollars !!!) proviennent de « contributions volontaires » qui sont effectuées :

  • Par des états (USA, Grande-Bretagne, Europe… et même la métropole du grand Lyon !!!)
  • Par la banque mondiale,
  • Une myriade de fondations dont celle de Bill & Mélinda Gates avec son satellite « l’alliance GAVI ». Elle représente la plus importante contributrice volontaire de l’OMS (plus de 324 millions de dollars).
  • Les plus grands fabricants de vaccins et de médicaments au monde ( Gilead Science, GlaxoSmithKline, Hoffmann-LaRoche, Sanofi Pasteur, Merck Sharp et Dohme Chibret, Bayer AG).

Bill Gates est TRÈS attaché à la promotion des vaccins et plus largement aux « technologies d’identification par effraction corporelle ». Gardez bien cela en mémoire.

C’est principalement l’OMS qui alimente en données la carte de l’évolution de la pandémie établie par l’université Johns Hopkins. Celle-ci reçoit plus d’un million de visites chaque jour. C’est peu dire que cette carte influence un nombre considérable de personnes dans le monde. Mais qui est donc cette université Johns Hopkins ?

Créée en 1876, c’est une université privée américaine parmi les plus prestigieuses des États-Unis. Située à Baltimore, dans le Maryland, elle doit son nom à Johns Hopkins, un entrepreneur fortuné qui a légué à sa mort 7 millions de dollars à l’université. Parmi les célébrités qui ont été formées dans cette prestigieuse école, figure un certain Woodrow Wilson.

Voilà un nom qui rappelle aux fidèles lecteurs de ce blog, l’histoire de la banque fédérale américaine (FED) puisqu’il a activement contribué à sa création et qu’il en a été  « récompensé » avec les moyens nécessaires, pour être « élu » 28 è président des États-Unis de 1913 à 1921.

« Accessoirement », je vous rappelle que la FED appartient en réalité à 12 banques privées qui se sont arrogé le pouvoir d’émettre et de fournir moyennant finance, la « monnaie du monde » autrement dit le dollar, à l’état américain !!!

Vous n’allez pas le croire… Le 4 janvier 2019, un juge fédéral américain a autorisé une plainte contre la firme pharmaceutique Bristol-Myers Squibb, l’université Johns-Hopkins et la fondation Rockefeller, pour leur participation dans les années 1940 à un programme expérimental mené par les États-Unis au Guatemala. Il consistait à inoculer la syphilis pour vérifier l’efficacité de la pénicilline sur les maladies sexuellement transmissibles. Des centaines de personnes ont été contaminées.

Seul un horrrrible complotiste aurait l’idée de faire un « osé rapprochement » avec le projet de Bill Gates de tester prochainement sur les populations du Kenya, du Malawi et du Bangladesh, son invention de nanoparticules injectables sous la peau. Celles-ci émettent une lumière fluorescente invisible à l’œil nu, mais visible par un smartphone. Dispositif qui pourrait… « peut être… un jour prochain »… servir à confirmer que vous, ou moi, avons bien été vacciné contre les effets du Covid-19 !!! Complotiste, je vous dis, complotiste ☹ ☹ ☹.

C’est le moment où il m’apparait judicieux de nous souvenir de cette célèbre phrase de Napoléon Bonaparte : « La main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit ».

Puisque nous en sommes à de « très improbables » conflits d’intérêts, c’est le moment de parler de la professeure Karine Lacombe (KL pour les intimes ☺), cheffe de service des maladies infectieuses à l’hôpital Saint -Antoine à Paris.

Il n’est pas question ici de juger l’efficacité ou non du traitement appliqué par le professeur RAOULT, mais juste de rappeler que sa détractrice médiatique a perçu de nombreux « Z’avantages » de l’industrie pharmaceutique. Ce n’est pas la seule et elle les a d’ailleurs déclarés en toute transparence.

Restons dans le traitement médiatique des faits. Je vous propose de lire attentivement la démonstration particulièrement étayée d’un « cousin du Québec » : Serge Charbonneau. Cet article est titré « Comment construire un reportage de démolition ». L’auteur connait bien le sujet vu qu’il a été monteur-réalisateur de reportages télé pendant 19 années au service de l’Information de Radio-Canada.

Fort de ces explications, nous pouvons avec le recul qui se doit, visionner cette brève de « France info » relatant « des traces de virus dans le réseau d’eau parisien ».

Plus que jamais, je vous recommande d’ignorer ce type « d’informations » dont l’objectif n’est pas de nous « Z’informer », mais bien de créer un sentiment d’angoisse et de peur à l’ensemble de la population.

Pour essayer de comprendre quel est le véritable enjeu de tout cela, je vous propose de concentrer notre attention sur les aspects économiques et financiers, sociétaux et géopolitiques de cette crise. Dans cette première partie, nous allons aborder les plans économiques et financiers.

 

Sur les plans économiques et financiers :

Comme si l’endettement le surendettement des états n’était pas suffisant, la banque d’Angleterre se prépare « à financer les mesures extraordinaires de soutien à l’économie dans le cadre de la pandémie ». Ces nouvelles dettes souveraines seront remboursées par … de nouveaux impôts !!!

Notre président 2.0 cherche à imposer à l’Europe la création d’un emprunt européen (encore une dette de plus) destiné « à aider les pays les plus touchés par la crise du coronavirus ».

Devant le refus de l’Allemagne, il espère fédérer les « pays du club Med » autrement dit la France, l’Espagne, l’Italie et la Grèce.

Europe ? Vous avez dit Europe ? Quand des citoyens de la 3è puissance économique de la zone euro, pour remercier l’institution pour « son aide » dans la lutte « anti coronarienne », brûlent le drapeau de l’Europe ?

Même les dirigeants de ma chère Espagne sont de la partie. Sa ministre « de l’économie » Nadia Calviño prévoit la mise en place du « revenu de base universel » au cours de la présente législature !!! Ne pensez-vous pas que « quelque chose cloche » dans le fait de percevoir un « revenu » sans contrepartie ? Il n’est pas besoin de connaissances approfondies en économie, mais de simple bon sens, pour imaginer qui va payer.

Pour aider le groupe FNAC-DARTY à « surmonter l’effet Corona », l’état français accorde sa garantie à un emprunt bancaire de 500 millions d’Euros. Voilà pour ce qui est de l’annonce.

Notre « gros bon sens » comme l’appellent nos cousins québécois, nous met tout de suite en alerte. « Imaginons » que le groupe Fnac-Darty aie quelques difficultés pour rembourser les banques prêteuses… N’avez-vous pas compris que la « garantie de l’état », cet état qui est déjà largement surendetté… Ce sont nos impôts ? ☹ ☹ ☹.

 

Passons à des préoccupations plus personnelles et quotidiennes. Quelques faits, « en vrac » :

  • Le plafond des paiements « sans contact» sur lesquels vous connaissez ma position, passe de 30 à 50 euros. Mesure pour simplifier notre soif de consommation ou diminution de notre liberté avec la suppression du cash ?
  • Annonce de gestionnaires de fonds pour qui « la baisse des marchés n’est pas excessive» alors que leurs revenus proviennent des frais ponctionnés sur les performances de l’argent que nous leur confions. Vous avez dit objectivité ?
  • La banque Edmond de Rothschild dans son « flash marchés» de cette semaine voit dans « la reprise des indices mondiaux, la perspective d’une reprise de la vie économique ». À quel stade sommes-nous de l’effondrement du système financier ?

  • Réflexe classique en période de crise et d’incertitude, l’encours de l’épargne réglementée (Livret A, livret de développement durable et solidaire) continue de progresser. La collecte nette du livret A qui était de 1,17 milliard d’Euros en février dernier a bondi à 2,71 milliards en mars (+ 131% en 1 mois). C’est son niveau le plus élevé depuis 2009. Le livret de développement durable et solidaire (LDDS) est passé pour la même période de 0,37 milliard d’Euros à 1,12 milliard (+ 202% en un mois). Êtes-vous certain que c’est l’endroit le plus sécurisé pour vos liquidités dans cette époque où le gouvernement «dépense sans limites » ?
  • Tout va bien puisque la presse spécialisée nous rassure ainsi : « contrairement à 2008, la crise liée au coronavirus touche davantage l’économie que les établissements financiers». Voyez vous-même l’indice des 600 plus importantes banques d’Europe. Toujours aussi rassuré ?

  • Est-ce qu’avec l’âge, je deviendrais étourdi ?… J’ai « oublié»  de mentionner les mécanismes de protection de votre épargne que sont : le fonds de garantie des dépôts et de résolution (FGDR) pour les produits bancaires et le fonds de garantie des assurances de personnes (FGAP) pour l’assurance vie. Que nenni chers amis, je n’ai pas oublié. Les plus fidèles lecteurs de ce blog savent depuis longtemps  et pourquoi la garantie du FGDR est TO TA LE MENT illusoire. Pour ce qui est du FGAP, les abonnés aux « Rendez-vous d’Hubert » ont bénéficié de la démonstration détaillée de la réalité de sa « pseudo sécurité ».
  • Pour ce qui est de l’assurance vie, profitant des bons résultats boursiers de 2019, les conseils ne manquent pas pour vous inciter à investir aussi bien sur les fonds euro que ceux en unité de compte. Dans ce domaine aussi, je ne cesse de vous expliquer pourquoi il faut fuir ce type de produit financier. C’est déjà « compliqué» et cela va devenir impossible de sortir de vos contrats. Avez-vous pris connaissance du dernier « bulletin de santé » de l’assurance vie ?
  • En matière de bourse, la spéculation va bon train et l’effet de levier est très souvent utilisé. Pour faire simple et schématique, c’est la possibilité avec une mise de fonds limitée de « jouer » sur des montants bôôôcoup plus importants. Mais… lorsque les marchés se retournent (nous sommes en plein dans cette configuration), la banque qui a accepté cette pratique (tout à fait légale et habituelle) procède à des « appels de marge »… l’investisseur peut être ruiné, ce qui entraine dans ce cas, de sérieuses pertes pour la banque en question. C’est ce qui vient d’arriver à la banque ABM AMRO la semaine dernière… Une bagatelle… la perte de 200 millions de dollars.

 

Je persiste, il est vrai, à l’inverse du consensus, à vous mettre en garde contre « une très prochaine baisse, très significative » des bourses dans leur ensemble : (entre 70 % et la disparition de certains titres d’ici la fin du 2è trimestre de cette année). Je sais bien que la bourse de Paris a enregistré un gain supérieur à 26% en 2019, mais… gardez bien en mémoire la recommandation du régulateur des marchés financier qu’est l’AMF : « Les performances passées ne préjugent pas des performances futures ».

J’invite ceux d’entre vous qui souhaitent comprendre « le dessous des cartes » et connaitre les moyens de « passer à travers les gouttes » à me rejoindre dans le cadre des « Rendez-vous d’Hubert ».

À très bientôt pour la deuxième partie de mon analyse de « l’effet Corona ».

 

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Chers amis lecteurs, restez optimistes en cette période compliquée. Il y a de réelles raisons de l’être.

Prenez bien soin de vous. Je vous aime et vous salue.