INTRODUCTION

Cette série de billets « Cinq minutes de bon sens », rappellera aux plus anciens d’entre vous, l’émission de radio « La minute de Saint Granier » et aux moins  anciens, l’émission de télévision « La minute nécessaire de monsieur Cyclopède » qu’animait le regretté Pierre Desproges.

Mon but est de vous aider à prendre du recul et donc le temps nécessaire pour réfléchir ensemble et comprendre ce qui se passe « réellement ». S’agissant « du temps nécessaire », il est aujourd’hui de bon ton « de faire court », ou bien « d’aller à l’essentiel ». Nous savons tous parfaitement que « le diable se cache dans les détails ». C’est pourquoi je revendique et assume pleinement le fait de développer mes différents arguments.

Je souhaite ici, vous apporter une pluralité de sources d’information pour sortir enfin de la sclérosante « pensée unique ». Je m’autorise donc à citer des auteurs dont je ne partage pas forcément toutes les thèses ou les points de vue. Cette approche nous permet de découvrir les « règles du jeu » qui nous sont habituellement si soigneusement cachées. Nous sommes alors en mesure de comprendre les mutations de notre société et pouvons dès lors, en tirer tout le positif et aider ceux qui poursuive les mêmes recherches.

Étant parfaitement conscient que les avis et positions que j’exprime sont l’expression de « ma vérité » au moment de leur rédaction, je vous donne l’accès à mes propres sources, afin que vous soyez en mesure d’avoir une appréciation éventuellement différente de la mienne et ainsi construire VOTRE vérité. La seule qui vaille à mes yeux. Comme je le répète inlassablement : « Ne croyez pas un mot de ce que j’écris ici sans le vérifier vous-même ».

Bonne lecture.

 

CE QU’ON VOIT

Comme nous le savons… de Marseille !!! Pardonnez-moi, j’ai beau essayer de m’exprimer le plus correctement possible, mais… Je suis encore parfois assailli par des « remontées d’humour pompier ». C’est d’autant plus regrettable, que le sujet de ce billet est « sérieux ». Je dirais même plus, très sérieux. Je reprends :

Selon la légende, le célèbre sage chinois Lao Tseu a dit en son temps (milieu du IVe siècle av. J.-C.) : « Quand le sage montre la lune, l’imbécile regarde le doigt ». Nous sommes actuellement au début du XXIe siècle et avons, tout du moins nos « Z’élites », la curieuse manie de considérer : les anciens, la sagesse populaire, les traditions, le bon sens… Comme des valeurs totalement dépassées… « le vieux monde », quoi !!!

 

Pour rester en Chine et dans l’actualité du COVID-19, il me vient une « curieuse envie ». Celle d’adapter la pensée de Lao Tseu à la situation présente : « Quand les merdias focalisent notre attention sur le nombre de morts, les personnes avisées scrutent l’évolution de l’économie ». Puisque nous sommes, chers lecteurs, des personnes « Z’avisées », nous allons ensemble nous intéresser à ce qui se passe sous nos yeux en matière économique, bien que les élites et leurs serviles merdias cherchent à nous en dissuader. Mais pourquoi donc, me diront certains ? Simplement pour avoir le temps de prendre les dispositions qui les mettront à l’abri… Quand les peuples comprendront la réalité de la situation et deviendront alors « agressivement incontrôlables » voire « furieusement déterminés ».

 

L’heure est à se poser des questions du genre : pourquoi ce virus est-il apparu maintenant et à cet endroit précis ? Est-il de fabrication humaine ou pas ? Qui aurait intérêt à son existence et à sa prolifération ? Il est temps de comprendre et d’agir, car je pense que « la mécanique » actuellement lancée va se poursuivre jusqu’à l’anéantissement du système financier mondial actuel. En combien de temps ? « je ne sôrais dire » comme l’expriment mes chers amis bruxellois !!! Un mois ? Un an ? Peut-être plus. À mon sens, nous devons prendre du recul et analyser toutes les informations qui nous sont rabâchées. Il nous faut réfléchir avec notre « gros bon sens » comme le disent mes amis québécois. Eh oui, bien que ne fréquentant pas les réseaux sociaux, j’ai beaucoup d’amis 😊 😊 😊.

 

Pour ce qui est de l’économie, je livre à votre réflexion ces quelques éléments factuels :

  • Nous sommes depuis longtemps, mais maintenant plus ouvertement, en état de guerre économique entre deux grands blocs : « l’empire » américain et la Chine. Vous savez, ce pays qui était il y a peu, traité « d’émergeant». Comme l’a écrit en 1973 Alain PEYREFITTE, dans son ouvrage : « Quand la Chine s’éveillera… Le monde tremblera ».
  • Une autre guerre a lieu. Celle-là plus discrète, mais tout aussi violente, car une guerre à mort. Celle que livre l’oligarchie mondialiste anglo-saxonne, à celle qui a osé vouloir « être le calife à la place du calife »… Autrement dit, l’oligarchie mondialiste américaine. Sujet que je vous ai depuis longtemps largement documenté et dont je vous ai prédit l’issue dès le 17 février 2018.

 

Dans ce type de guerre, tous les coups sont permis. Dans le numéro 8 de janvier 2020 des « Rendez-vous d’Hubert », j’évoquais clairement une « Guerre hybride bactériologique ». En effet, les guerres hybrides sont beaucoup « plus efficaces et moins coûteuses » que les guerres traditionnelles dans lesquelles sont alignées des divisions de militaires et de matériels techniques destinés à faire le plus de morts possible. Qu’est-ce qu’une guerre hybride ? C’est une guerre « indirecte » qui va mettre en œuvre des moyens d’action non strictement militaires. Par exemple désorganiser l’économie, l’industrie, la technologie, la finance… du ou des pays visé(s), mais aussi, possiblement « perturber » la santé de ses habitants !!! Cela ne vous évoque rien ?

 

Pour vous mettre sur la voie, imaginons, je dis bien I MA GI NONS, que les dirigeants du « Ploutokistant », jaloux de la montée en puissance de l’économie de la « Ziatique », souhaitent mettre un coup d’arrêt à ces « trop brillants » résultats commerciaux.

STOP, « pépère » a dit STOP !!! J’allais oublier de vous préciser que toute ressemblance avec des situations ou des personnages existants ou ayant existé ne pourrait résulter QUE de la plus pure des coïncidences.

Je reprends. Des « Z’espions ploutokistaniens » déguisés en « Ziatiquois ordinaire », arrivent à introduire une substance quasi indétectable dans l’eau des quatre réservoirs qui alimentent la capitale « Hanwou ». La particularité de cette « potion magique » est de donner une diarrhée persistante aux personnes qui ont absorbé l’eau contaminée. Selon le type de population touchée, il en résulte une incapacité de travail de quelques jours, mais peut aussi mener jusqu’à la mort, dans le cas de personne déjà en mauvaise santé. C’est exactement la situation décrite dans la fable « Les animaux malades de la peste » de notre cher Jean de La Fontaine : « Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés ». Qu’elle était belle cette époque ou nous comptions davantage de fabulistes que d’affabulateurs, ne pensez-vous pas ?

 

Chers amis, « cessons sans cesse de ressasser » toutes ces références à « l’Ancien Monde » et voyons ce qui se passe dans cet actuel et merveilleux « monde 2.0 ». Arrêtons de participer à la morosité ambiante. Nous vivons une époque formidable. Messie, Messie … Pardonnez-moi. Je ne sais pourquoi, mais sans raison apparentes, je suis parfois submergé par des crises de mysticisme !!! Je reprends. Mais si, ce monde actuel est bien formidable. Une des preuves ?

 

Commençons par la santé de notre économie.

Notre dette nationale se porte de mieux en mieux : prenons la dette publique de la France. Uniquement la dette publique. Elle augmente de 2 665 € chaque seconde !!! Nous en sommes actuellement à 2, 4 milliards d’Euros. Une croissance pareille, c’est un signe de bonne santé, non ? Notre « docteur es analyses inutiles », j’ai nommé la Cour des comptes, ne vient-elle pas de « sermonner » le gouvernement dans son dernier rapport annuel, car elle estime « préoccupante » la situation de nos finances publiques.

Soyez pleinement rassssuré, pour ce qui est des USA, la dette est… à l’échelle du pays, mais ce n’est pas l’objet de ce billet… Quoi que !!!

Restons dans la santé et poursuivons avec le monde de l’assurance qui se porte, comme chacun sait, à merveille. Ces magnifiques « fonds garantis » en Euro ont procuré un rendement moyen en 2019 de 1,4%… Avant nos chers prélèvements sociaux (17,2%), soit 1,16% net en poche. L’inflation officielle étant de 1,1%, il reste « officiellement », en moyenne, 0,06%. Je vous épargne… Non, ce n’est pas un jeu de mots… l’inflation « ressentie » (comme en matière de température) et nous voilà en territoire négatif. Autrement dit : VOUS PERDEZ DE L’ARGENT sur votre contrat d’assurance vie en Euros.

 

À mon sens, la chute des assureurs a commencé. En effet, comme je vous l’ai relaté le 21 décembre 2019, quand l’état de leurs bilans conduit certains d’entre eux à recapitaliser (540 millions d’Euros) ou à émettre une obligation (500 millions d’Euros) pour renforcer la marge de solvabilité … ça sent mauvais. Et ce n’est qu’un début. En effet, le 14 janvier 2020, je vous ai informé qu’en pleine « trêve des confiseurs », les sociétés d’assurances ont obtenu du gouvernement l’autorisation d’utiliser des fonds appartenant aux assurés pour enjoliver leur bilan. Pour vous, je ne sais pas, mais pour moi ce « vol caractérisé »… sent le sapin… Pas Michel SAPIN, quoi que… Je vous ai largement informé sur le fait que du temps où il était ministre de l’Économie et des Finances, il a fait en sorte que TOUS les contrats d’assurance vie puissent être immédiatement « gelés », ou pour être plus direct « CON FIS QUÉS ».

 

Mais me direz-vous : « J’ai des contrats en unités de comptes dans lesquels il y a de nombreuses actions et vous savez bien que la bourse a fait des résultats extraordinaires en 2019 ». C’est vrai, le CAC 40 a réalisé sa meilleure performance depuis 20 ans : + 26,37%. C’est tant mieux, mais… gardez en permanence à l’esprit les recommandations de l’autorité des marchés financiers (AMF) : « Les performances passées ne préjugent pas des performances futures ». De plus, il faut être parfaitement conscient du fait que beaucoup d’entreprises sont endettées, très endettées comme le souligne l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

Les bons résultats de 2019, c’était l’année dernière, avant l’entrée en scène d’un certain « Coronavirus ». Qu’en est-il en ce début d’année de grâce 2020 ? Voici les « performances » de quelques indices boursiers, représentatifs au niveau mondial. Quand j’écris performance, c’est pour respecter les règles de la novlangue qui consistent, dans cette occurrence, à dénommer une perte, « rendement négatif » !!!

À tout seigneur, tout honneur, commençons par les USA :

L’indice S&P 500. Il est géré par la société Standard & Poor’s. Il couvre environ 80% du marché boursier américain. Entre le 2 janvier 2020 et le 6 mars 2020, il baisse de 9% :

Passons à l’indice Dow Jones Industrial Average, plus souvent appelé Dow Jones, c’est le plus ancien indice boursier du monde. Entre le 2 janvier 2020 et le 6 mars 2020, il baisse de 10% :

Voyons ce qu’il en est de notre indice national, le célèbre CAC 40, déterminé par la valeur boursière de 40 sociétés représentatives du marché. Entre le 2 janvier 2020 et le 6 mars 2020, il baisse de 15% :

Intéressons-nous maintenant à un indice moins connu du grand public et pourtant tellement « instructif » pour les « Z’épargnants » : le Stoxx 600 Banks qui regroupe la valorisation des principales banques européennes. Entre le 2 janvier 2020 et le 6 mars 2020 il baisse de 22% :

Au point où nous en sommes de nos investigations, allons voir ensemble « l’état boursier » de nos principales banques françaises. Pour ne froisser personne, je les cite par ordre alphabétique. La BNP « réussi » entre le 2 janvier 2020 et le 6 mars 2020 à réaliser une performance négative !!! Pardon, une baisse de 28% :

Notre Crédit Agricole fait « mieux »… Novlangue oblige !!!, avec une baisse de 30% entre le 2 janvier 2020 et le 6 mars 2020 :

Suivit de près pas la Société Générale qui réalise « l’exploit », entre le 2 janvier 2020 et le 6 mars 2020, de progresser négativement, où si vous préférez, baisser de 32%.

Ces chiffres me semblent suffisamment éloquents pour ne pas ajouter de commentaires, qui ne pourraient être que déplaisants pour les « Z’intéressés » !!!

 

Abordons maintenant NOTRE santé

Pour ceux d’entre vous qui se demandent que signifie COVID-19 dans le titre de ce billet, c’est depuis le 11 février 2019, l’appellation offffficielle du « Corona virus » donnée par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Cette nouvelle dénomination se décompose comme suit: CO (Corona) VI (Virus) D (Disease = maladie en bon français) en plus de 19 pour l’année de sa découverte, puisqu’il a été identifié le 31 décembre 2019.

Continuons à prendre du recul et analyser « froidement », c’est-à-dire, sans fièvre ni éternuements suspects, la situation sanitaire actuelle. Je vais donc me passer de citer des chiffres, car, en cette occurrence, nous savons parfaitement qu’ils sont manipulés par les « Z’autiorités », toutes les autorités… Il ne faut pas inquiéter les populations. Nous pouvons observer que c’est curieusement l’inverse qui se produit.

 

Comme chaque année, la grippe va faire des morts, tout comme les accidents de la route ou bien les catastrophes naturelles ou plus simplement, la vieillesse. « c’est la vie » et personne ne s’en préoccupe spécialement sauf, bien sûr, les proches des personnes concernées. Mais… « Vlatipas » qu’en Chine, survient une quantité anormale de personnes touchées par une affection nouvelle qui serait due à un virus pour le moment inconnu. Des personnes en décèdent et l’affection semble s’étendre de façon plus importante, d’abord dans le pays, puis rapidement dans plusieurs régions du monde. Les autorités gouvernementales réagissent différemment pour faire face, au mieux, à ce problème sanitaire inattendu qualifié « à reculons » d’épidémie, mais surtout pas (enfin… pas encore) de pandémie.

 

La « machine merdiatique » s’emballe et la peur de l’inconnu envahit les populations. C’est alors un continuel défilé de « spécialistes cathodiques » de tous poils qui vont se relayer pour « en rajouter »… beaucoup plus qu’il n’en faut et qui plus est, de façon contradictoire. Que ne dirait-on pas pour tenir en haleine les millions d’auditeurs et de téléspectateurs, ce qui fait « exploser» les recettes publicitaires ? Il faut des images choc, du sensationnel, de l’inédit. Du coup, les sages paroles des quelques médecins qui « savent de quoi ils parlent » (coucou l’ami Gérald) sont noyées et quasi inaudibles. D’autant plus que le monde politique qui n’entend pas être absent du débat « en rajoute une couche ». La panique saisit aussi bien les populations que leurs dirigeants et les chiffres les plus fous faux circulent à grande vitesse. Des frontières se ferment et des manifestations culturelles et commerciales s’annulent. Mieux, ou pire, des élections sont reportées, d’autres sont projetées de l’être. Des écoles ferment, des rayons se vident, bref, l’hystérie mondiale s’installe et progresse.

Source

 

CE QU’ON NE VOIT PAS

Tout le monde le disait. Loin de moi la pensée de soutenir que ce que dit tout le monde, doit être vraie.

(Charles DICKENS)

 

Dans mon billet du 1er février dernier et dans celui du 2 mars, je vous faisais part de mon analyse selon laquelle, ce n’est nullement cynique, le nombre de morts n’était pas la donnée la plus « importante ». En effet à mon sens, l’objectif principal de cette guerre hybride bactériologique est la paralysie économique du monde. Il ne s’agit nullement de passer par « pertes et profits » le nombre de personnes qui finalement succomberont à cette maladie, mais de bien comprendre que ce qui est en jeu actuellement. C’est tout simplement une déstabilisation économique, sociale et géopolitique mondiale majeure qui est voulue et planifiée de longue date, même si, à mon sens, elle risque finalement d’échapper à ses instigateurs.

 

Je pense en effet que le nombre de morts sera, au regard de la population mondiale, extrêmement faible, même si ce sera toujours trop. Plus le temps passe et plus le « grippage » (ce n’est pas un jeu de mots… Quoique) de l’économie va se faire sentir. Le COVID-19 va utilement servir « de prétexte et de justification » à la remise en cause de la mondialisation dans sa pratique actuelle et la disparition de notre système financier issu des accords de Bretton Woods. Cela n’est pas une surprise pour les plus anciens lecteurs de ce blog.

Le dollar US sera la « grande victime » de cette guerre qui va accélérer la fin de l’hégémonie du dollar en tant que monnaie mondiale, comme je ne cesse de vous en informer. Parallèlement, l’or physique sera le « grand vainqueur » et perdra sa réputation de « relique barbare » pour être enfin reconnu pour ce qu’il est vraiment : une monnaie. Au fait, l’or a progressé de 8% entre le 2 janvier 2020 et le 6 mars 2020 et ce n’est pas fini :

Bien que cette crise actuelle soit inédite dans son ampleur, si l’on prend comme modèle la chute de 42,8% en un mois de l’indice boursier Down Jones en 1929, ou se situerait-on aujourd’hui ? les prochains jours nous le dirons.

Source Wikipédia

 

Les banques centrales sont déjà « à la manœuvre » pour injecter des centaines de milliards de « fausse monnaie » dans le système financier afin d’essayer de « contrôler la purge » en cours. La guerre du pétrole entre maintenant dans une phase «mortelle » pour les « aventuriers schisteux ».  Nous allons vivre des semaines, et des mois très « agités » pendant lesquels il nous faudra garder espoir, car, je vous le répète, le « monde de demain » sera plus altruiste et tourné vers l’humain. Il est nécessaire pour cela de passer par « une remise à zéro » de ce monde actuel comme je vous l’écris depuis fort longtemps.

 

PRATIQUEMENT, JE FAIS QUOI ?

Chers lecteurs, je pense que vous avez compris que sur le plan strictement médical, bien qu’existant, le risque de « succomber » au COVID-19 est extrêmement faible. D’autant plus faible que vous aurez pris quelques précautions « de bon sens ».

Gardez la « tête froide ». Ne cédez pas à la panique qui s’installe autour de nous. Relisez attentivement ce que j’ai écrit concernant les accords toltèques, dans le numéro deux des « rendez-vous d’Hubert ». Pratiquez plus particulièrement les deuxièmes et troisièmes accords et vous pourrez constater tous les bienfaits qu’ils vous apporteront, notamment en matière de sérénité.

Prenez pleinement conscience que nous ne sommes pas immortels et qu’il n’appartient qu’à nous de « bien entretenir » la merveilleuse machine qu’est notre corps. « Mens sana in corpore sano » nous a dit le poète romain Juvénal  dans sa dixième satire. En bon français, cela signifie « un esprit sain dans un corps sain ».

Je suis toujours convaincu que c’est le « choc psychologique » de se retrouver face à la réalité qui sera le plus dur à « encaisser » par ceux d’entre nous qui auront refusé, par paresse intellectuelle ou par manque de « curiosité », de voir les choses telles quelles sont vraiment. Je reconnais volontiers que « c’est compliqué », tellement le monde politique et ses serviles merdias s’emploient à nous dissuader de le faire. C’est en partie ce constat qui m’a incité à créer ce blog depuis, voilà déjà huit années.

Souvenons-nous que notre vie est ce que nous voulons qu’elle soit et il n’appartient qu’à nous de « fabriquer » une réalité différente de celle qui nous est aujourd’hui proposée. C’est le but de la partie « Je m’éveille à qui je suis vraiment » présente dans chacun des « rendez-vous d’Hubert ».

 

Ce long billet (3419 mots) vous aura, je l’espère, permis de mieux appréhender une réalité « différente » que celle merdiatiquement la plus répandue. Pour ceux d’entre vous qui désirent dépasser le simple constat et qui veulent AGIR efficacement, je les informe que le numéro 10 des « rendez-vous d’Hubert » qui sera accessible en ligne le 16 courant sera largement consacré à des solutions matérielles et spirituelles concrètes permettant de passer cette période « compliquée », le plus sereinement possible.

 

Chers amis lecteurs, prenez bien soin de vous. Je vous aime et vous salue.