Chers lecteurs, vous connaissez depuis longtemps mon profond attachement à notre belle langue française et l’importance que j’accorde au choix des mots employés dans mes différents écrits. Dans mon alerte relative au Corona virus du 1er février dernier, j’ai employé les mots : « pandémie », « guerre hybride bactériologique », « émotion des marchés financiers ».

Un mois après cette alerte, je reprends la plume le clavier pour faire « un point d’étape » relatif à notre cher « COVID-19 », puisque c’est maintenant son nom officiel.

Le mot « pandémie ». Nous sommes bien en situation de pandémie, puisque c’est « la propagation rapide d’une maladie infectieuse à un grand nombre de personnes, le plus souvent par contagion». Bien sûr, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) reste « prudente » sur l’utilisation de ce mot, pour ne pas davantage effrayer les populations.

 

En ce qui concerne la « guerre hybride bactériologique », je persiste à penser que le COVID-19 fait partie intégrante de la guerre hybride que livre l’oligarchie mondialiste anglaise, en premier lieu à son homologue américaine et aussi au reste du monde.

Comme une voiture hybride utilise plusieurs sources d’énergie pour se mouvoir, une guerre hybride utilise plusieurs moyens, autres que la « guerre armée classique », pour arriver à ses objectifs. Énoncée de manière militaire, une guerre hybride « est une stratégie qui vise à la conjugaison de tous les moyens contre un pays donné – et sans se résumer à la simple force militaire – en faisant porter ses efforts sur la déstabilisation d’un gouvernement et/ou d’une société en se gardant toutefois de toute action qui verrait l’introduction de partenaires extérieurs (alliés, forces d’interposition…) ».

La guerre bactériologique s’insère parfaitement dans le cadre d’une guerre hybride. Quelle meilleure définition des effets de cette guerre bactériologique, que celle de notre cher Jean de La Fontaine dans sa fable, les animaux malades de la peste : « Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés ».

 

Pour ce qui est de « l’émotion des marchés financiers », nous touchons là au cœur de la stratégie mondialiste : désorganiser les marchés tout autant que propager la peur parmi les humains. En effet, ce sont des conditions propices pour « prendre la main » et imposer au monde entier leur vision, à commencer par LEUR future monnaie mondiale, comme je vous l’ai déjà largement documenté.

Le moins que l’on puisse dire est que les marchés boursiers ont « commencé à souffrir ». Je pense que nous n’en sommes qu’au début.

Bien que les causes de l’effondrement boursier ne soient pas totalement les mêmes, l’observation de « la dégringolade » de la bourse américaine lors de la crise de 1929 est à garder en mémoire (source Wikipédia) :

Ou en somme nous aujourd’hui ? je ne la sais pas exactement, mais je pense que nous sommes dans le premier quart de cette « courbe infernale ». Autrement dit « le pire est à venir ».

Voyez l’évolution de l’indice de la bourse américaine (Dow Jones) qui a perdu 9,06% depuis le 1er février 2020 :

Et celui de la bourse parisienne (CAC 40) qui a perdu 10,43% depuis le 1er février 2020 :

Quant à la psychose, elle ne fait que progresser. Annulation du salon automobile de Genève, annulation du Salon du livre à Paris… Préparez-vous à voir la liste s’allonger chaque jour… Il semblerait qu’en « haut lieu », soit déjà évoqué le report des prochaines élections municipales !!! Après vouloir utiliser l’article 49-3 pour faire passer la réforme des retraites… Pourquoi pas une « désignation » des Maires, sans élections. Nous vivons une curieuse époque, ne trouvez-vous pas ?

 

Pour paraphraser la devise de Paris Match : « le poids des mots, le choc des photos », je m’en tiens à mon alerte du 1er février, « au choc de son graphique et au poids de mes explications » :

« Une pandémie se développe jusqu’à atteindre « un plateau » qui marque le commencement de la mise en œuvre des moyens de lutte efficace pour faire « descendre » le nombre de personnes affectées. Si la ou les solutions sont trouvées « rapidement » (courbe rouge), l’économie mondiale pourra « encaisser le choc. Si les chercheurs « mettent du temps » à trouver la parade au virus (courbe bleue), l’économie mondiale n’y résistera pas… surendettée qu’elle est déjà !!!

J’insiste sur le fait que ce raisonnement s’applique, quel que soit le nombre de morts qui va survenir. Ce qui compte, c’est « la pente de la courbe ». Plus elle est « verticale », et plus nous avons des chances d’échapper au crack général. Les « grands merdias » vont focaliser notre attention sur le nombre de morts alors que c’est le temps nécessaire pour arriver « au plateau » qui doit être l’objet de toute votre attention, tellement les conséquences en sont dommageables.

Plus la pente va être « faible », plus je vous conseille de vous débancariser rapidement ».

Pour le moment, seule « l’usine du monde » autrement dit la Chine est à l’arrêt. Avec la politique commerciale des « flux tendus », le blocage de l’économie mondiale est devant nous et plus rapidement qu’on veut nous le faire croire.

Dans ces conditions, arbitrer vos comptes bancaires, en utilisant l’argent non affecté au remboursement des crédits en cours, à l’acquisition d’or physique, me semble être actuellement une « idée TRÈS judicieuse ». Gardez en mémoire que le lingot a franchi la semaine dernière 50 000 €.

C’est le moment « idéal » pour monter dans le canot de sauvetage, avant que le Titanic ne sombre, corps et biens.