Immobilier locatif : le début de la fin ?

23 Juin, 2025 | 0 commentaires

Rappel

Ne croyez pas un mot de ce que j’écris dans ce document : VÉRIFIEZ ! C’est pourquoi je vous donne l’accès à mes sources. Vous êtes ainsi en mesure de bâtir VOTRE analyse, éventuellement différente de la mienne.

 Parmi les sources que j’utilise, beaucoup ne sont pas en français. Hélas, pour certaines, Google refuse de les traduire. Vous pouvez le faire avec la version gratuite de Deepl, accessible ici. 

Introduction

Chantegrives est un charmant village d’irréductibles Gaulois. Depuis toujours, on y développe la joie de vivre et la curiosité de tout.

Certains chantegrivois aiment à se retrouver à la terrasse du Bar des amis, pour échanger et commenter divers évènements du monde actuel. C’est alors, l’expression, sans filtre, d’une autre vision des choses, loin du microcosme parisien.

Puissent ces avis, pleins de bon sens et souvent fort éloignés du consensus de la pensée officielle, enrichir votre appréciation de notre monde d’illusions.

La parole est à Olivier-Pierre TIMISTE

À Chantegrives, tout le monde aime la compagnie de cet éternel positif qu’est Olivier-Pierre TIMISTE. Avec un prénom aussi long, il ne faut pas s’étonner s’il est familièrement appelé OP. TIMISTE.

Quelles que soient les situations, il voit toujours le verre à moitié plein. Ne vous méprenez pas, ce fameux verre n’est que très rarement empli (à moitié) … d’alcool 😊.

Deux points de vue journalistiques

La lecture d’un récent numéro d’un magazine économique grand public m’a donné l’occasion d’échanger avec mon voisin chantegrivois, Claude PAVRAIT.

En effet, « l’ami Claude » vous a, récemment, fait part de ses réflexions, à la suite de la parution dans un autre magazine grand public, d’un article ainsi titré : « Sans formation, sans apport… mais déjà multipropriétaires à moins de 35 ans : le pari fou de jeunes investisseurs ».

Pour simplifier son propos, il nuançait largement l’enthousiasme du journaliste, en précisant que s’il y a quelques années, un particulier pouvait, facilement, faire fortune dans l’immobilier locatif, ce n’était plus le cas actuellement. Il concluait sur ces judicieuses interrogations :

  • « Si aujourd’hui, être locataire était plus intéressant que d’être propriétaire de sa résidence principale ? S’il y avait des possibilités de bénéficier des règles fiscales avantageuses des BIC, sans les inconvénients du statut classique des locataires ? Si les SCPI présentaient un risque inhérent à leur nature ? ».

Le titre du magazine, que je venais de lire, fut le point de départ de nos échanges : « C’est beaucoup trop de soucis pour peu de revenus » : ces « petits » propriétaires qui font le choix de vendre tous leurs biens locatifs ».

À l’inverse de l’article précédent, celui-ci pointait les difficultés de gestions d’un parc immobilier locatif par un particulier, en ce moment.

La journaliste a recueilli des témoignages particulièrement frappants :

  • « Thierry a fait un choix radical en début d’année. Après mûre réflexion, ce Corrézien de 60 ans a décidé de se séparer de l’ensemble de son patrimoine locatif. Il a déjà vendu 5 de ses 15 logements. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Tout ce patrimoine, patiemment constitué durant 25 ans et qui représente environ «2,5 millions d’euros », sera cédé. « Je ne veux plus m’emmerder, lâche l’entrepreneur. C’est vraiment beaucoup trop de soucis pour peu de revenus ».
  • « Catherine, une Francilienne de 66 ans, fait le même constat concernant ses huit appartements, pour partie hérités de ses parents. Elle aussi a commencé à s’en débarrasser. « L’immobilier, ça ne paie plus et ce n’est pas une valeur sûre !».

Elle a parfaitement identifié les causes du changement de stratégie des investisseurs dans ce type de produit :

  • Il y a, d’un côté, les investisseurs qui ont constitué un parc immobilier de rapport et qui constatent l’augmentation des tracas de gestion, ainsi que la baisse du rendement locatif net. Ne voulant pas transmettre ce « cadeau empoisonné» à leurs enfants, ils se délestent de leur parc immobilier.
  • D’autre part, le phénomène de la mise sur le marché des biens immobiliers de la génération du proche après seconde guerre mondiale, volontairement et par le biais des successions.
  • Enfin, le peu d’appétence des jeunes investisseurs pour un placement dans l’immobilier de rapport. Soit qu’ils ont vécu les affres de leurs parents avec leur parc locatif. Soit qu’ils préfèrent s’orienter vers d’autres supports : « le refuge de la pierre est en train de partir pour s’investir vers d’autres horizons : le bois, les céréales, les cryptomonnaies, etc. ». Et, le croirez-vous ? L’assurance vie !

Conclusion

Finalement, nous sommes d’accord, « l’ami Claude » et moi, sur le fait que : « l’immobilier, ç’a eu payé, mais ça ne paie plus » ! Je ne saurais trop vous recommander de bien saisir l’importance de ce phénomène pour ajuster votre patrimoine immobilier à cette tendance lourde.

À bientôt pour de nouvelles chroniques chantegrivoises.

D’ici là, prenez bien soin de vous. Je vous aime et vous salue.

NE SOYEZ PLUS DES PIGEON… DEVENEZ SEREIN

Nous ne sommes pas dans une crise de plus, mais bien dans un changement d’époque.
Les institutions en place actuellement, appauvrissent insidieusement les épargnants :
Inflation, érosion monétaire, fiscalité prédatrice, confiscation arbitraire…
Pensez-vous pouvoir, seul, conserver ou protéger votre patrimoine ?

DES SOLUTIONS POUR SÉCURISER VOTRE PATRIMOINE 

La lettre confidentielle « Les Rendez-vous d’Hubert », vous explique, pratiquement :

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Mots clés : immobilier locatif

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