Que devient votre assurance vie ?

19 Mai, 2025 | 0 commentaires

Rappel

Ne croyez pas un mot de ce que j’écris dans ce document : VÉRIFIEZ ! C’est pourquoi je vous donne l’accès à mes sources. Vous êtes ainsi en mesure de bâtir VOTRE analyse, éventuellement différente de la mienne.

 Parmi les sources que j’utilise, beaucoup ne sont pas en français. Hélas, pour certaines, Google refuse de les traduire. Vous pouvez le faire avec la version gratuite de Deepl, accessible ici.

 

 Introduction

Chantegrives est un charmant village d’irréductibles Gaulois. Depuis toujours, on y développe la joie de vivre et la curiosité de tout.

Certains chantegrivois aiment à se retrouver à la terrasse du Bar des amis, pour échanger et commenter divers évènements du monde actuel. C’est alors, l’expression, sans filtre, d’une autre vision des choses, loin du microcosme parisien.

Puissent ces avis, pleins de bon sens et souvent fort éloignés du consensus de la pensée officielle, enrichir votre appréciation de notre monde d’illusions.

 

La parole est à Marie-Éléonore FIANCE

Le saviez-vous ? Nous avons une centenaire à Chantegrives ! Avec ses cent printemps qu’elle vient de fêter le mois d’avril dernier, notre chère Marie-Eléonore est notre doyenne.

Le prénom de Madame FIANCE fleure bon la France d’antan, mais il est bien long. C’est pourquoi nous la prénommons affectueusement « ». Ne vous fiez pas à son front ridé, car, derrière lui, se trouve un cerveau encore plein de ressources.

Son raisonnement est toujours imparable et son bon sens paysan fait le reste. Elle est toujours très écoutée ici… par les jeunes, autant que les anciens du village !

La bourse et l’assurance vie 

Très contente et fière d’avoir passé le cap des cent ans cette année, j’ai aussi la chance d’avoir une paire de lunettes, parfaitement adaptée à ma vue.

Cela me permet de continuer à parcourir quelques journaux. C’est mon moyen de rester informée des principales nouvelles du monde d’aujourd’hui.

Le mot « vie », présent dans le titre d’une revue financière grand public, a attiré mon attention. C’est logique, quand on est centenaire, non ?

Du coup, j’ai lu cet article, consacré à l’impact de la « crise boursière » sur les contrats d’assurance-vie. Avec le recul, je trouve amusant d’avoir été attirée par le mot « vie » du titre, plutôt que par le mot « crise » 😊.

Le journaliste examine l’impact que peut avoir l’évolution des marchés boursiers, quelque peu chahutés par les récentes décisions Trumpiennes… sur les contrats d’assurance vie.

Il considère qu’au sein d’un contrat, les fonds monétaires présentent un risque faible. Que celui-ci est faible ou nul, dans un fonds en Euros. Qu’il est élevé dans un fonds au profil équilibré et qu’il est très élevé, pour un profil dynamique ou offensif.

Cette approche relève d’un consensus du monde de la finance et du conseil patrimonial, et ce, depuis fort longtemps. Est-il toujours judicieux d’affirmer cela ? Reprenons les différentes occurrences abordées par le journaliste.

Avant cela, il me semble utile de rappeler l’objectif patrimonial d’un contrat d’assurance vie. C’est de constituer une épargne à moyen ou long terme, pour constituer ou bien améliorer une retraite, qui en aura bien besoin.

Ce raisonnement est d’autant plus pertinent, que ce type de produit financier est souscrit en début de carrière professionnelle et donc, pour une durée longue. Cela étant précisé, passons à l’analyse.

Revenons aux sources

Pour ce qui est des fonds monétaires, comme le précise le journaliste, ils sont peu présents dans les contrats d’assurance vie… du fait que leur raison d’être est un placement de court terme.

En ce qui concerne les fonds en euros, depuis longtemps, leur sécurité n’est plus ce qu’elle était. Malheureusement, assureurs, conseillers financiers et journalistes… continuent de claironner (tous en chœur) le contraire ! Explications :

Dans son principe, sa «sécurité» repose sur la mécanique financière des intérêts composés. À la fin de chaque année, tous les profits réalisés sur ce fonds… s’ajoutent au capital.

Au début de chaque nouvelle année, c’est donc une somme plus importante : capital de l’année N, plus les profits de cette même année, qui sont réinvestis par le gestionnaire du fonds.

C’est le même mécanisme financier, qui est utilisé dans le calcul des intérêts du Livret A. Cela permet d’avancer l’argument commercial : «En investissant dans un fonds en Euro, vous ne pouvez jamais perdre d’argent ».

Il faut préciser que, dans les fonds en Euro, le gestionnaire a l’obligation d’investir, environ 80% dans des obligations, très majoritairement, de l’état (OAT).

Cet investissement en dette souveraine, est considéré comme étant sûr, car reposant sur l’état. Hélas, les temps anciens où il était solvable, ne sont plus ! Notre endettement est tel que nous ne sommes déjà plus en mesure de rembourser nos emprunts.

Plus la crise avance et plus notre dette souveraine augmente. Ne répétez surtout pas cette réalité, vous passeriez aussitôt pour de dangereux complotistes !

De plus, les obligations d’état ne rapportent plus grand-chose, plutôt moins… alors que, dans ce type de fonds, l’assureur est tenu d’une garantie minimum au souscripteur du contrat.

Résumons : les obligations d’état omniprésentes dans un fonds en Euro … ne seront pas remboursées. La mécanique financière des intérêts composés s’exercera donc sur… de la dette. Votre fonds en Euro ne vaut plus grand-chose et ne vaudra bientôt plus rien.

C’est, aujourd’hui, cette triste réalité qui est cachée au grand public. Plus le temps passe et plus les fonds en Euro du «placement préféré des français» sont bien plus risqués qu’un fonds en actions !!!

Pour ce qui est des « profils de gestion » des différents fonds des contrats, leur appellation est, on ne peut plus claire. Un profil prudent exposera peu le souscripteur du contrat, aux aléas des marchés financiers.

Un profil équilibré l’exposera davantage. Dans un profil de gestion dynamique ou encore offensif, chacun peut comprendre qu’au regard d’une espérance de profits plus importants, le risque l’est tout autant.

Pour aller plus loin dans l’analyse, sachez que, depuis longtemps maintenant, le marché des obligations est devenu risqué.

Au temps de ma jeunesse, une obligation allait jusqu’à son terme. Aujourd’hui, c’est un produit devenu spéculatif ! Nous vivons une bien curieuse époque !

Conclusion

Restez à l’écart des fonds en euro et d’une manière plus générale, des contrats d’assurance vie, foi de centenaire. Gardez bien en mémoire que ce produit financier qu’est l’assurance vie, n’est qu’un « bien virtuel  ».

C’est un morceau de papier (plus précisément une ligne de code informatique) qui vous promet que, demain, vous serez riche… grâce aux dettes grandissantes de notre état !

Comme vous l’explique de façon pratique, « l’ami Hubert » dans ses précieux rendez-vous, l’or et l’argent, sous leur forme PHY SI QUE, sont des « biens réels » qui vous permettront d’augmenter votre retraite.

 

À bientôt pour de nouvelles analyses chantegrivoises

D’ici là, prenez bien soin de vous. Je vous aime et vous salue.

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Mots clés : Fonds en Euro

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