Médias de grand chemin : vous avez dit prostitués ?

21 Mai, 2025 | 0 commentaires

Rappel

Ne croyez pas un mot de ce que j’écris dans ce document : VÉRIFIEZ ! C’est pourquoi je vous donne l’accès à mes sources. Vous êtes ainsi en mesure de bâtir VOTRE analyse, éventuellement différente de la mienne.

 Parmi les sources que j’utilise, beaucoup ne sont pas en français. Hélas, pour certaines, Google refuse de les traduire. Vous pouvez le faire avec la version gratuite de Deepl, accessible ici.

 

 Introduction

Chantegrives est un charmant village d’irréductibles Gaulois. Depuis toujours, on y développe la joie de vivre et la curiosité de tout.

Certains chantegrivois aiment à se retrouver à la terrasse du Bar des amis, pour échanger et commenter divers évènements du monde actuel. C’est alors, l’expression, sans filtre, d’une autre vision des choses, loin du microcosme parisien.

Puissent ces avis, pleins de bon sens et souvent fort éloignés du consensus de la pensée officielle, enrichir votre appréciation de notre monde d’illusions.

 

La parole est à Jean NAIMARE

Connu pour ses colères noires, bien qu’il ne soit pas raciste, Jean NAIMARE est un chantegrivois qui n’hésite jamais à manifester son mécontentement.

Il est bien conscient que le monde d’aujourd’hui marche sur la tête. Il est impatient et voudrait tellement que cela change rapidement. C’est pourquoi, très fréquemment, « il monte au filet avant que la balle arrive ». Tous les chantegrivois saluent cette réelle performance, car… il n’a jamais joué au tennis !

Ce sont eux qui le disent

Connaissez-vous John SWINTON ? Cet écossais né en 1829 a une carrière atypique. Immigré en Amérique, il commence à travailler à treize ans, comme apprenti typographe.

Après avoir été éditorialiste au journal américain New York Sun, il écrit un article sur la médecine, pour le New York Times. Il est si bien accueilli que « l’ami John » se voit offrir un poste d’éditorialiste pour ce déjà prestigieux journal.

Il gravit tous les échelons en interne, pour en devenir le rédacteur en chef. Comme je l’ai dit, ce Monsieur était atypique, ou plutôt réaliste. Jugez-en.

Le 25 septembre 1880, un banquet est donné en son honneur, à l’occasion de son départ du journal. On lui demande de trinquer à la liberté de la presse… il prononce alors ce discours :

  • « Quelle folie que de porter un toast à la presse indépendante ! Chacun, ici présent ce soir, sait que la presse indépendante n’existe pas. Vous le savez et je le sais :
  • Il n’y a personne parmi vous qui oserait publier ses vraies opinions, et, s’il le faisait, vous savez d’avance qu’elles ne seraient jamais imprimées. Je suis payé 250 dollars par semaine pour garder mes vraies opinions en dehors du journal pour lequel je travaille.
  • D’autres, parmi nous, reçoivent la même somme pour un travail semblable. Si j’autorisais la publication d’une opinion sincère dans un numéro quelconque de mon journal, je perdrais mon emploi en moins de 24 heures, comme Othello. L’homme suffisamment fou pour publier une opinion sincère se retrouverait aussitôt sur une route à la recherche d’un nouvel emploi.
  • La fonction d’un journaliste est de détruire la Vérité, de mentir radicalement, de pervertir, d’avilir, de ramper devant Mammon et de se vendre lui-même, de vendre son pays et les siens pour son pain quotidien ou, mais c’est la même chose, pour son salaire.
  • Cela, vous le savez et moi aussi : quelle folie alors que de porter un toast à la presse indépendante ! Nous sommes les ustensiles et les valets d’hommes riches qui commandent derrière les coulisses.
  • Nous sommes leurs marionnettes, ils tirent les ficelles et nous dansons. Notre temps, nos talents, nos possibilités et nos vies sont la propriété de ces hommes. Nous sommes des prostituées intellectuelles ».

Vous avez bien lu : « la presse indépendante n’existe pas […] La fonction d’un journaliste est de détruire la Vérité, de mentir radicalement, de pervertir, d’avilir, de ramper devant Mammon et de se vendre lui-même, de vendre son pays et les siens pour son pain quotidien […] Nous sommes les ustensiles et les valets d’hommes riches qui commandent derrière les coulisses. Nous sommes leurs marionnettes, ils tirent les ficelles et nous dansons ».

Le meilleur est pour la fin : « Nous sommes des prostituées intellectuelles ».

Conclusion

Rien n’a changé à ce jour et la grande majorité des « journalistes » le sait parfaitement… mais elle ne le dit pas. Il revient à chacun de nous de le savoir et d’agir en conséquence.

Cela signifie : fuir la « prestituée » que sont tous les médias de grand chemin, aux ordres des tireurs de ficelles. Cesser de s’écharper, sur la foi de ce qui est écrit dans cette véritable propagande gouvernementale.

Ami John, réveille-toi. Ces pleutres font toujours mine de ne pas savoir ce qu’ils sont réellement !

 

À bientôt pour de nouvelles analyses chantegrivoises

D’ici là, prenez bien soin de vous. Je vous aime et vous salue.

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