Quand Éric dérape… c’est nous qui payons les dégâts !

29 Jan, 2025 | 0 commentaires

INTRODUCTION

Notre monde occidental se meurt et nous ne le voyons pas. Face aux manipulations et à la censure institutionnelles, une information fiable et une juste analyse sont des sources de résilience.
L’objectif de ce blog, qui traite de « l’écume des choses », est de vous aider à comprendre les véritables règles du jeu de nos « démocraties ». Celles qui nous sont si soigneusement cachées.

 

 « L’individu est handicapé de se retrouver face à une conspiration
si monstrueuse qu’il ne peut croire qu’elle existe »
(John Edgar Hoover)

LA FRANCE ÉTAT DE DROIT ? QUEL DROIT ?

C’est l’histoire d’un mec … non, pas de Michel ! Il est mort ! Le mec dont il est question se prénomme Éric. Tout comme Michel, Éric a fait de la scène .

Vous ne voyez pas de qui il s’agit? Comme Michel, il manie le verbe avec aisance. Comme Michel, il a fait plein de petits boulots. Toujours pas ? Je vous donne un indice.

Vous avez en mémoire que Michel a été pompiste de nuit dans une station-service ? Eh bien, Éric a été gardien de seaux, jour et nuit ! Alors, qui est-ce?

Ah, je comprends pourquoi vous ne trouvez pas. Éric n’était pas gardien de seaux et encore moins, garde de sots, mais… garde des Sceaux 😃.

Mais oui, il s’agit bien d’Éric DUPOND-MORETTI EDM pour les intimes, ministre de la Justice et, à temps perdu, garde des Sceaux. C’est que « l’ami Éric » est un homme qui ne laisse pas indifférent.

Plus de trente-huit années passées comme avocat pénaliste ont laissé des traces dans le monde judiciaire. Il est souvent appelé « acquittator », en raison du nombre conséquent d’acquittements qu’il a obtenu pour ses clients.

C’est également un personnage de spectacle. En 2019, il décide de se produire, seul en scène, pour raconter sa vie d’avocat : « Éric Dupond-Moretti à la barre ». Bis repetita placent, après son expérience ministérielle, c’est un second spectacle : « J’ai dit oui ». Il est toujours à l’affiche.

Ses prises de position, ainsi que sa manière de travailler, lui procurent quelques solides inimitiés…  y compris du côté de la magistrature. Il faut vous dire, Monsieur, que chez ces gens-là, on n’oublie pas, Monsieur, on n’oublie pas !

Figurez-vous que, dans le cadre d’une enquête le concernant, alors qu’il était avocat, le parquet national financier (PNF) a investigué sur ses communications téléphoniques, relative à une affaire.

Une fois nommé garde des Sceaux, EDM a ouvert une enquête administrative contre trois magistrats du PNF. Dans ce cadre, il tient publiquement des propos mettant en cause leur éthique professionnelle. Deux de ces magistrats ont saisi le juge administratif.

Le tribunal administratif de Paris, dans sa décision n° 2022217/5-1, du 16 janvier 2025, leur donne droit et condamne l’état à verser, en réparation de leur préjudice : la somme de 15 000 € à la magistrate et de 20 000 € au magistrat, plaignants. Chacune de ces sommes est :

  • « assortie des intérêts au taux légal à compter du 23 décembre 2020. Les intérêts échus à la date du 23 décembre 2021, puis à chaque échéance annuelle à compter de cette date seront capitalisés à chacune de ces dates pour produire eux-mêmes intérêts ».

De plus, l’état versera à chacun d’eux : « une somme de 3 000 euros au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative ».

Cela fait donc une somme de 41 000 €, majorée des intérêts légaux, capitalisés 😡.

Mais au fait… l’état qui va payer, ne serait-ce point nous, à travers les différents impôts et taxes qui nous sont si aimablement prélevés ? Si Señor, claro que si 😡🤬. Il n’est pas besoin de traduction pour comprendre, n’est-ce pas ?

Est-ce normal que la condamnation pécuniaire d’une personne, fût-elle un ministre, soit acquittée par la collectivité des citoyens ?

Avec un salaire brut mensuel de 10 700 €, hors frais de représentation et éventuellement de logement, Môsieur Éric, ne peut-il pas payer le coût judiciaire de ses dérapages, de ses propres deniers ?

Un chef d’entreprise, logiquement, paye sur son argent personnel, une amende infligée pour excès de vitesse, commis à bord du véhicule de sa société.

Tout cela est une question de responsabilité non assumée, en cette occurrence, par « pépère Éric ». De surcroit, nous sommes, en France,  habitués au classique : « responsable, mais pas coupable » 😰.

Il suffit, cela doit changer. Chacun de nous doit agir, sans violence. À ce sujet, je vous propose, vous aussi, de participer à une initiative promus par Valérie BUGAULT, que les lecteurs de mes écrits connaissent depuis longtemps.

Elle a créé « Révoludroit ». C’est une plateforme sur laquelle, chacun de nous peut apporter SA pierre à un monde de demain, de bien meilleures factures 👍.

Il s’agit de devenir acteur de notre destin et de celui de nos enfants, en reprenant notre souveraineté de citoyen. Vous pouvez participer en confiance, « l’amie Valérie » détient son brevet de conspirationniste 😂.

« Face au monde qui change, il vaut mieux penser le changement que changer le pansement »
(Francis Blanche)

Chers lecteurs, prenez soin de vous et d’un plus grand sens de la justice. Je vous aime et vous salue.

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Mots clés : Justice

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