INTRODUCTION 

Notre quotidien se déroule, avec ses hauts et ses bas. Notre monde s’écroule et beaucoup ne le voient pas. En prenant du recul, une fois cela comprit, s’ouvre pour chacun de nous, les perspectives d’une nouvelle vie. Loin du tourbillon médiatico-politique, retrouvons qui nous sommes vraiment.

Comprenons le sens de notre vie. Ici et maintenant, exploitons-le pleinement. Rayonnons notre puissance d’amour, pour surmonter cette période difficile. Nous pourrons ainsi aider, tous ceux qui doutent et s’interrogent encore. C’est la somme de nos actions individuelles, qui fera le bonheur collectif.

« Sois le changement que tu veux voir dans ce monde »
(Gandhi)

 

L’ORIGINE DE CE QUE NOUS MANGEONS

La formule 1 automobile (F1) est considérée comme la discipline reine du sport automobile. Qu’en est-il de la F1 agricole ?

Pour l’animal, comme pour le végétal, le croisement de deux lignées parentales distinctes s’appelle F1. Il en est de même, que ce croisement soit spontané, c’est-à-dire, naturel, ou bien provoqué et contrôlé par l’homme.

Pour le végétal, l’utilisation du terme « Hybride F1 » est surtout commerciale. Il est vrai que c’est beaucoup plus flatteur qu’« hybride industriel » !!!

La nature, dont nous sommes un des éléments, ce que nous avons trop tendance à oublier, est génétiquement instable. Elle a aussi la caractéristique de se reproduire… gratuitement.

Dans la vision du monde basée sur l’hyperprofit, qui caractérise certains humains, l’instabilité et surtout, la gratuité, constituent des anomalies à corriger. De ce constat est né le contrôle génétique des espèces cultivées.

Le principe est élémentaire… mon cher Watson… pardon de m’égarer, c’est la faute de Sherlock. Je reprends : élémentaire, chers lecteurs, il faut et il suffit de séparer la production, de la reproduction des plantes.

Il était un temps que les moins de vingt ans… ou les agriculteurs étaient des paysans. Ils géraient eux-mêmes la sélection et la multiplication des variétés traditionnelles des semences.

Cela nous permettait de manger des fruits et des légumes, certes, parfois un peu difformes, mais tellement bons (au goût et pour notre santé).

Pour les fleurs, c’est itou pareil. Avant, elles étaient belles et sentaient bon. Aujourd’hui, elles ne sentent plus rien. Bref, l’agro-industrie, pour son bon développement, a travaillé dans deux directions : les producteurs et les consommateurs. Ils ont pris grand soin de les éloigner l’un de l’autre, j’y reviendrais.

Côté paysans, elle n’a de cesse :

  • D’homogénéiser les caractéristiques des semences, afin de pouvoir industrialiser la production;
  • De réduire les capacités génétiques des espèces et créer une dépendance aux produits chimiques de synthèse (engrais, traitements divers…) les fameux produits phytosanitaires;
  • De créer un marché captif, pour empêcher toute reproduction gratuite des semences, non contrôlée par elle.

C’est aussi valable, à quelques nuances près, au « Bio de masse ». Du côté des con sommateurs, c’est un véritable processus de « déconstruction » intellectuel qui a été entrepris. L’objectif de séparer les citadins des paysans a été savamment et continuellement effectué.

Aujourd’hui, combien d’enfants n’ont jamais eu dans leur assiette, de poisson autrement qu’un parallélépipède de chair pannée ? Pour privilégier des vacances à la mer, ou bien à la montagne, la visite de nos campagnes est délaissée. Les animaux de la ferme ? On peut toujours aller les voir… lors du salon de l’agriculture !

Bref, petit à petit, une partie d’entre nous a oublié ses racines paysannes. Nous ne connaissons plus que les supermarchés. Nous voyons le travail des caissières (remplacé par « l’auto service », pour aller toujours plus vite).

Nous ignorons presque tout de l’importance du travail qu’effectuent les paysans, pour produire ce que nous mangeons. Nous gagnerions tellement à nous souvenir du bon sens paysan qu’avaient nos grands-parents ou arrières grands-parents… qui venaient de la terre.

Chers lecteurs, prenons conscience que notre monde actuel marche de plus en plus sur la tête. Les véritables valeurs, notamment de la terre et de son exploitation, ne sont, hélas, plus de mise. Il ne tient qu’à nous de changer ces mauvaises habitudes.

Certes cela nécessite un peut de temps et d’argent, mais notre désaliénation au système vaut bien quelques efforts, non ? C’est à chacun de nous d’en juger… et d’agir ! Je vous invite à visionner cette courte vidéo qui illustre ce que je viens de vous exposer.

Vous pouvez adhérer à l’association KOKOPELLI. Cela vous permettra de bénéficier de semences non issues des manipulations de l’agro-industrie. Chacun de nous peut avoir un coin potager, dans son appartement, sur son balcon, dans son jardin. Il suffit de le décider, pour notre plus grand bien et celui de tous.

« En toute chose, l’on ne reçoit qu’en raison de ce que l’on donne »
(Honoré de Balzac)

Chers lecteurs, apprentis paysan, ou pas, je vous aime et vous salue.

 

POUR ALLER PLUS LOIN ET AGIR

Vous avez pris conscience de la gravité de la situation et vous tenez à préserver votre patrimoine matériel et spirituel, du chao qui arrive.
Les rendez-vous d’Hubert vous permettent de bénéficier de mon expérience, pour anticiper et exploiter au mieux, l’évolution de la situation.
Véritables guides pratiques, les rendez-vous d’Hubert vous permettent de comprendre ce qui se passe réellement et de prendre les meilleures décisions.