Introduction :

Chers lecteurs, nous vivons une époque formidable ☺. En effet, depuis l’épisode « Corona manipulus », nous sommes à même de voir et de comprendre ce qui se passe réellement, au niveau mondial, pour ce qui est du projet de société des mondialistes apatrides.

Faut-il, pour cela, avoir le courage de remettre en cause nos « certitudes » et notre « confort », façonnés par des décennies de manipulations. L’humanité, dans son ensemble, est victime du « syndrome de la grenouille ». Le sachant, il est plus facile de prendre conscience de l’Être que nous sommes vraiment et de nos réels pouvoirs, afin d’agir pour notre bien et celui de l’humanité. C’est l’ambition de mes différents écrits, de vous y aider.

 

CE QUE L’ON VOIT 

Lorsque nous circulons sur une chaussée ou même un trottoir, nous sommes susceptibles d’être contrôlés ou arrêtés par les forces de l’ordre. Ne pas nous arrêter malgré qu’un gendarme ou un policier nous en ait intimé l’ordre, caractérise un refus d’obtempérer. Le I de l‘article L 233-1 du Code de la route, dispose :

  • « Le fait, pour tout conducteur, d’omettre d’obtempérer à une sommation de s’arrêter émanant d’un fonctionnaire ou d’un agent chargé de constater les infractions et muni des insignes extérieurs et apparents de sa qualité est puni de deux ans d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende».

L’article L 233-2 du Code de la route, dispose :

  • « Le fait pour tout conducteur de refuser de se soumettre à toutes vérifications prescrites concernant son véhicule ou sa personne est puni de trois mois d’emprisonnement et de 3 750 euros d’amende».

De son côté, l’article L 435-1 du code de la sécurité intérieure, dispose :

  • « Dans l’exercice de leurs fonctions et revêtus de leur uniforme ou des insignes extérieurs et apparents de leur qualité, les agents de la police nationale et les militaires de la gendarmerie nationale peuvent, outre les cas mentionnés à l’article 211-9, faire usage de leurs armes en cas d’absolue nécessité et de manière strictement proportionnée ».

Sur la chaine de télévision Public Sénat, la porte-parole de la police nationale nous dit : « En 2022, c’est 138 tirs sur des véhicules en mouvement, donc on a une tendance légèrement baissière ».

Puis elle précise, concernant l’usage des armes des forces de l’ordre de manière générale : « En 2019, nous étions à plus de 300 usages de l’arme par an et après 2019 nous sommes descendus à moins de 300, 290 en 2021 et 285 en 2022 ».

Le 14 juin dernier à Saint-Yrieix, près d’Angoulême, lors d’une intervention pour un refus d’obtempérer, un policier ouvre le feu, entraînant la mort d’un conducteur de 19 ans.

Le 27 juin dernier à Nanterre, en banlieue parisienne, à la suite d’un refus d’obtempérer à la sommation de s’arrêter, faite par deux policiers, un conducteur de 17 ans est tué par l’un des policiers. S’en suivent quelques nuits d’émeutes et de pillages, dans plusieurs grandes villes de France.

Chers lecteurs, fuyons les discussions de comptoir et des polémiques entretenues à l’envi par « les merdias de grand chemin ». Fuyons aussi les déchainements de colère, voire de haine, sur les réseaux dits « sociaux ».

Essayons ensemble de comprendre ce que cache tout cela, car, comme l’a dit en son temps, le trente-deuxième président des États-Unis d’Amérique, Franklin Delano Roosevelt : « En politique, rien n’arrive jamais par hasard ».

 

CE QUE L’ON NE VOIT PAS 

Sur son blog « Vu du droit », l’ancien avocat Régis de CASTELNAU fait une analyse au scalpel, de cette affaire. Pointant une fois de plus, l’inculture juridique et judiciaire de notre classe politique et journalistique, il dissèque : « toutes les manipulations et toutes les démagogies » qui ont été pratiquées et continuent de l’être. Il conclut ainsi son article :

  • « La tragédie de Nanterre, étincelle qui a mis le feu à la plaine, se rattache à la crise que les dirigeants et les élites ont contribué à installer depuis 40 ans, et dans tous ses aspects agit comme un symptôme. Celui d’une France, dirigée par un narcisse incompétent, marchant résolument vers sa catastrophe».

Le directeur de l’école de géopolitique « ORBIS », Jean-Baptiste NOÉ, dresse un tableau particulièrement argumenté du déplacement des violences et des razzias, dans des territoires inhabituels. De même, les moyens et la tactique, aussi bien des émeutiers que des forces de l’ordre, montrent que tout cela est guerre « spontané ». Sa conclusion porte en germe une nouvelle source de manifestation :

  • « Il est manifeste que l’État n’est plus capable d’assurer la sécurité des populations, en dépit des taux d’imposition exorbitants. Il n’y a pas eu d’usage des flashballs, l’Intérieur ayant préféré contenir les razzias plutôt que les empêcher.  Est-ce que cela va générer un refus de payer l’impôt ou une grève type « révolte d’Atlas » ? Il est encore trop tôt pour le dire».

Pour ma part, je pense que cette « émeute » en annonce d’autres qui nous précipiteront, comme je l’ai déjà anticipé, vers une guerre civile. Le gouvernement s’y prépare depuis longtemps.

C’était il y a quatre ans. Je vous informais d’un marché du ministère de l’Intérieur portant sur « une quantité « estimée », sur 4 ans de… 25 millions de cartouches de calibre 5,56 x 45 ». Je concluais :

  • « Mais au fait, pourquoi acheter tant de munitions destinées à des armes de guerre? Pourquoi nos braves « gardiens de la paix » auraient-ils besoin d’utiliser des armes de guerre ? Comment ? Risque de guerre civile ? Vous avez dit, GUER RE CI VI LE ??? Si señor. Si señor. Si señor ».

Le 30 mars 2021, j’écrivais : « Que retenir de tout cela ? Que notre gouvernement se prépare à faire face à un soulèvement populaire qu’il prévoit de mater dans le sang. Soyez bien conscient que cela ne manquera pas d’avoir lieu ».

La police judiciaire (PJ) doit être réformée, c’est le vœu de « l’ami Manu » !!! Pourtant, les intéressés, et même un haut magistrat, critiquent ce projet de « politisation » de la PJ.

La loi n° 2023-22 du 24 janvier 2023 d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur (LOPMI), pour laquelle le gouvernement avait engagé la procédure accélérée, a été votée en un temps record et dans le quasi-silence des médias.

Dans son article 27, pour « faire face aux crises hybrides et relevant de plusieurs ministères », elle donne tous les pouvoirs aux préfets, qui sont les représentants du pouvoir politique :

  • « Lorsque surviennent des événements de nature à entraîner un danger grave et imminent pour la sécurité, l’ordre ou la santé publics, la préservation de l’environnement, l’approvisionnement en biens de première nécessité ou la satisfaction des besoins prioritaires de la population».

Le décor est planté. L’affaire « NAEL » était une répétition. Tout est fait pour opposer la population à SA police. Certes, de chaque côté, il y a des « jusqu’auboutistes » et ils seront politiquement exploités, n’en doutez pas. Tout cela finira mal… sauf pour le pouvoir en place.

Soyons conscients de cette grossière manœuvre. Ne confondons pas une hiérarchie politisée et donc « aux ordres », avec la majorité des personnels sur le terrain. Parlons à NOS policiers et gendarmes. La police a des choses à nous dire.

« L’individu est handicapé de se retrouver face à une conspiration si monstrueuse qu’il ne peut croire qu’elle existe »

(John Edgar Hoover)

Chers lecteurs, gardez confiance en vous, résistez. Je vous aime et vous salue.