Si, dans mon billet du 7 janvier 2019 titré « Amazon : l’irrrrésistible ascension ? » vous relatait les différents secteurs dans lesquels « la firme » de Jeff Bezos se développait, dans celui du 22 juillet 2017 titré « Allons les amis. Ayons du courage », je vous exhortais à résister au marketing de ces grandes multi nationales que sont les GAFA : « Qu’il faut être « courageux » pour résister à toutes les formes que revêt le prôôôôgrès. Par exemple, le « courage » de ne pas se livrer « pieds et poings liés » à toutes les z’applis » de GOOGLE qui sont pourtant tellement « indispensables ».

Puis, le 11 novembre 2017, je vous rappelais que les GAFA s’appuyaient sur un élément, pour eux essentiel « celui de l’image de « convivialité » de l’entreprise. En effet, elle est grandement fondée sur « la valeur du partage ». En grandissant, ce phénomène est propre à toutes les start-ups du numérique (Google, Facebook…), elles perdent leur visage « sympathique ».

Dans celui du 19 avril 2018 titré « Google : quand les consciences se réveillent », je vous informais que « Là ou « à l’ouest, il y a du nouveau », c’est quand 3 100 des 70 000 salariés du géant de Mountain View adressent une lettre au PDG Sundar PICHAI, dans laquelle ils dénoncent le projet qui pourrait être utilisé pour optimiser les systèmes de ciblage des missiles de drones militaires ». Je notais avec satisfaction que « Même s’ils ne représentent que 4,4 % des salariés de Google, la publication de cette prise de conscience est réconfortante ».

Je confirmais cette intéressante tendance dans mon billet du 11 décembre 2018 titré « Serait-ce enfin la fin de la science sans conscience ? », en vous annonçant : « Quand on connait l’égo et la vision du monde toute personnelle de Mark Zuckerberg, patron de Facebook, comment s’étonner que les « Américains Kevin Systrom et le Brésilien Michel Mike Krieger, les fondateurs d’Instagram, préfèrent « quitter le navire Facebook »  et que «  Brian Acton, le fondateur de WhatsApp qui a été racheté par Facebook en 2014 pour 22 milliards de dollars, a lui aussi, quitté la « galaxie Facebook ».  Un an après son départ, son analyse et ses regrets sont « à méditer » : « Au final, j’ai vendu mon entreprise. J’ai vendu les données personnelles de mes utilisateurs contre un bénéfice. J’ai fait un choix, et un compromis et je vis avec ça tous les jours depuis ». Je concluais : « Y aurait-il une « prise de conscience » parmi « les anciens inventeurs » de la Silicon Valley ??? ».

J’en « rajoutais une couche » dans mon billet du 16 février 2019 titré « GAFA : attention, jeu dangereux… pour eux » que je concluais ainsi « Tout cela m’incite à persister dans mon analyse et donc d’écrire que « ces petites choses » vont entrainer une méfiance grandissante autant que justifiée, qui se retournera contre les GAFA. Affaire toujours à suivre ».

Alors quand la dernière assemblée générale d’Amazon fait l’objet de contestations de plus de 6 000 salariés en matière de lutte contre le réchauffement climatique… Même si les actionnaires ont décidé de voter contre des mesures destinées à limiter l’impact environnemental lors d’un conseil d’administration, a confirmé Amazon… je continue de penser que « quelque chose de positif est en marche ». Attendons des suites… que j’espère à nouveau prometteuses.