La parole est à Olivier-Pierre TIMISTE À Chantegrives, tout le monde aime la compagnie de cet éternel positif qu’est Olivier-Pierre TIMISTE. Avec un...
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Ce que m’apporte ce document Le mot d’Hubert Avertissement Notre âme est plus grande qu’un monde Demandez et vous recevrez… suite- Nous sommes un...
Ce que m’apporte ce document Le mot d’Hubert Avertissement Et mes sous dans tout ça ? Assurance dommages : l’importance de bien lire le contrat Quoi...
La parole est à Claude PAVRAIT Autre Chantegrivois au caractère attachant, voici Monsieur Claude PAVRAIT. Ayant le sens du raccourci, ses amis...
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La parole est à Monsieur NAIMARE Connu pour ses colères noires, bien qu’il ne soit pas raciste, Jean NAIMARE est un chantegrivois qui n’hésite...
DERNIERS BILLETS MIS EN LIGNE
évolution des discours sur le changement climatique : certains dirigeants comme António Guterres appellent toujours à agir, tandis que d’autres figures – Ted Nordhaus, Bill Gates ou certains rapports scientifiques récents – nuancent ou revoient leurs positions sur l’impact du CO₂ et les scénarios catastrophistes. Le texte s’interroge enfin sur les enjeux économiques liés aux marchés du carbone et appelle à passer à l’action.
Le bonheur est présenté comme un état durable de satisfaction, de chance et de joie. L’article rend hommage à Fernand Raynaud, né en 1926, qui a percé à Paris grâce à son humour et son travail acharné — à la télévision, au cabaret et au théâtre — avant d’avoir un accident mortel en 1973. Il souligne sa capacité à être drôle et profond, notamment dans son sketch « Heureux ».
La transition électrique portée par des choix politiques dissimule des coûts réels : dépendance au lithium, extraction polluante, recyclage des batteries et enjeux géopolitiques. Le succès écologique affiché du véhicule électrique cache des externalités stratégiques et environnementales majeures.
Entre remise en question scientifique et stratégie patrimoniale : la conviction que tout change, même ce qu’on croyait immuable, exige d’actualiser nos schémas mentaux. Face au déclin d’un ordre géoéconomique établi, il devient urgent d’agir pour protéger et faire fructifier son patrimoine dans un monde en pleine transformation.
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