LE MOMENT DÉTENTE DE LA SEMAINE 

Comme je vous l’ai conté le 11 mars dernier, l’organisation de Nos jeux olympiques semble rencontrer quelques difficultés. Chaque jour qui passe amène son lot de risques.

Un « pic caniculaire » est attendu pour la période ou se déroulerons les J O, mais soyez rassuré, nos autorités de santé et les acteurs de la surveillance et des soins, se préparent à toutes les éventualités.

Le climat anxiogène qui se développe avec l’accélération des « violences », a pour effet, la « mise en pause » de certaines réservations, voire leur annulation, par des étrangers qui souhaitaient venir assister à nos JO.

Le professeur de criminologie, Alain BAUER, a récemment déclaré que les homicides ont augmenté de 50% entre 2012 et 2023. Les tentatives d’homicide (homicides ratés), sont de 5 312 en 2023, le plus mauvais chiffre des 50 dernières années !

Le risque terroriste est la menace principale de nos jeux, surtout à Paris et particulièrement, lors de la cérémonie d’ouverture. Il ne serait pas surprenant qu’un « malencontreux attentat » survienne pendant les jeux… voire avant, ce qui pourrait entrainer la proclamation de l’état d’urgence !

Vous avez aimé l’état d’urgence sanitaire, vous adorerez l’état d’urgence (terroriste, ou bien olympique, ou encore, anti-russe…), surtout s’il est combiné avec les effets liberticides de la dernière loi de programmation militaire.

Au-delà de tous ces « détails d’intendance », les journalistes et commentateurs sportifs se préparent pour assurer les reportages relatifs aux exploits des athlètes. Trois d’entre eux, totalement «inconnus », sont ici réunis pour commenter une réunion d’athlétisme d’anthologie.

Retenez bien leur nom, car ils ne resteront pas longtemps inconnus du grand public : Didier BOURDON, Bernard CAMPAN et Pascal LÉGITIMUS.

« Les gens qui ne rient jamais ne sont pas des gens sérieux »
(Alphonse Allais)

Chers lecteurs, puisse ce moment de détente, être le prélude à une fin de semaine agréable. Je vous aime et vous salue.