C95 H146 O28 : la fin du mensonge …aux USA!

3 Avr, 2024 | 1 commentaire

INTRODUCTION 

Notre quotidien se déroule, avec ses hauts et ses bas. Notre monde s’écroule, beaucoup ne le voient pas.
Prenons du recul et une fois tout cela compris, s’ouvre pour chacun de nous, une nouvelle vie.
Retrouvons l’Être que nous sommes vraiment. Ici et maintenant, vivons-le pleinement.
Rayonnons notre puissance d’amour, elle est inépuisable.

« Ce que tu donnes est à toi pour toujours. Ce que tu gardes est perdu à jamais »
(Proverbe Soufi)

IL N’EST POINT DE SECRET QUE LE TEMPS NE RÉVÈLE 

C95 H146 O28 : Mais que signifient ces chiffres et ces lettres ? Le code de déclenchement de l’arme nucléaire française…  pour « anéantir la Russie » ? Le classement (codé) du prochain tiercé ? Le code d’accès à l’algorithme permettant d’obtenir « le bon résultat » aux élections européennes de juin prochain ? Le numéro de ma carte bancaire ?

Rien de tout cela, chers lecteurs. C’est tout simplement la formule chimique d’un produit qui fut largement décrié par des « z’autorités » scientifiques et médicales, lors de la « pseudo pandémie Coronavidesque ». Vous avez reconnu qu’il s’agit de l’Ivermectine.

Un beau dessin étant plus lisible qu’une formule, voici sa structure chimique, imagée :

Faisons un retour en arrière. En décembre 2020, l’examen des essais sur l’ivermectine, parrainé par l’OMS, indique une réduction de 83 % de la mortalité due aux différents Covids.

C’est alors le déclenchement de la guerre contre l’Ivermectine. Dans la pratique, des médecins courageux prescrivent l’Ivermectine, « sous le manteau ». La raison en est simple : le traitement est efficace pour leurs patients, mais « officiellement »… c’est un produit à ne pas prescrire !

Pire, en 2021, notre Agence du Médicament accorde une autorisation temporaire d’utilisation à un « médicament innovant » … à plus de 1 000 € le traitement, le Bamlanivimab. En même temps, elle refuse l’autorisation pour l’Ivermectine… à 8 € !!! Il semble qu’un conflit d’intérêts touchant les plus hautes sphères de l’état soit à l’origine de ces décisions !

À cette époque, une association américaine, sans but lucratif, la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) « se consacre à aider à prévenir et à traiter le COVID, et à aider les patients à prendre en charge d’autres domaines de leur santé ».

Son président et médecin-chef, Pierre KORY, publie « des preuves démontrant à la fois l’innocuité et l’efficacité de l’ivermectine dans la prévention et le traitement. du COVID-19 ».

En Inde, ce médicament est utilisé avec succès, à grande échelle. Mieux, le 25 mai 2021, l’association du barreau indien (IBA) intente un procès contre la scientifique en chef de l’OMS, le Dr Soumya SWAMINATHAN, l’accusant dans un mémoire citant 71 articles, d’avoir causé la mort de citoyens indiens en les trompant sur l’Ivermectine. Elle est :

  • « accusée pour sa malfaisance en discréditant l’Ivermectine afin de préserver l’Autorisation d’Utilisation en Urgence pour l’industrie des vaccins et des produits pharmaceutiques ».

Oui, la corruption est de mise, chez Big pharma. En janvier 2021, l’université de Liverpool, reçoit « un don » 40 millions de dollars d’UNITAID… financé en partie par la fondation de Bill et Mélinda GATES !

Le docteur Andrew HILL est chercheur principal au département de pharmacologie et de thérapeutique de cette université. Certainement par hasard, peu de temps après ce don, « l’ami Andrew »… modifie sa conclusion d’une analyse, initialement favorable à l’Ivermectine :

  • « Malgré la tendance encourageante que démontre cette base de données existante, il ne s’agit pas encore d’une base de preuves suffisamment solide pour justifier l’utilisation ou l’approbation réglementaire de l’ivermectine. ».

Il le reconnait en ces termes :

  • « Mais je veux dire que c’est très difficile parce que je suis, vous savez, j’ai ce rôle où je suis censé produire ce document et nous sommes dans un équilibre très difficile, délicat… Oui, c’est un lobby très fort… ».

Revenons à aujourd’hui. Le docteur Pierre KORY, président de la FLCCC, que j’ai cité plus haut, a déposé une plainte devant un tribunal fédéral pour savoir si l’agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (FDA) a violé son autorité en tant qu’agence fédérale de santé.

C’est une bonne nouvelle que nous rapporte France Soir. Notre « ami Pierrot » a reproché à la FDA d’avoir communiqué au public d’arrêter de prendre de l’Ivermectine.

Bien lui en a pris. La FDA a conclu un accord avec la FLCCC, au terme duquel, elle a accepté de supprimer les publications sur son site Web et les médias sociaux, des déclarations négatives… sur l’utilisation de l’Ivermectine pour le COVID-19!

À quand la même chose dans notre « État de droit » ?

« Toute vérité franchit trois étapes.
D’abord elle est ridiculisée.
Ensuite, elle subit une forte opposition.
Puis, elle est considérée
comme ayant toujours été une évidence »
(Arthur Schopenhauer)

Chers lecteurs, avides de vérité, prenez soin de vous. Je vous aime et vous salue.

 

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Mots clés : Ivermectine

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