Introduction :

Les dirigeants des principaux pays « occidentaux » gouvernent par la peur et la manipulation des peuples. C’est un fait. Cette entreprise de démolition est parfaitement planifiée et organisée. Il revient à chacun de s’informer et se réinformer, afin de comprendre ce qui se passe réellement.

Seules l’observation et la compréhension de l’évolution de la géopolitique mondiale, permet d’anticiper notre devenir, y compris son aspect économique et in fine, notre patrimoine, spirituel et matériel.

La crise majeure, qui se développe sous nos yeux, va engendrer de nombreux et irrémédiables dégâts (ruines personnelles,  professionnelles, faillites d’états …). Elle est également porteuse d’opportunités .

Faut-il encore les percevoir, les comprendre et les exploiter. Grâce aux « Rendez-vous d’Hubert », bénéficiez de l’accès exclusif à des solutions pratiques, qui peuvent changer le cours de votre vie. Rejoignez, dès maintenant, les personnes qui en profitent déjà.

« Mieux vaut prendre le changement par la main, avant qu’il ne nous prenne par la gorge »
(Winston Churchill)

 

Surprises de l’assurance et des assureurs:

Loin des guerres en Ukraine et en Palestine, un sujet est en train de revenir dans l’actualité, au moins aux États-Unis d’Amérique, le positionnement des assureurs, face à la « surmortalité ».

En 2022, alors que le « Corona-malicius » partait voir ailleurs, si nous y étions, une surmortalité était constatée, chez nous, mais aussi en Suisse, au Luxembourg, en Belgique et même chez nos cousins du Québec.

Bien évidemment, les « merdias de grand chemin » nous expliquent qu’elle n’a aucun rapport avec les « piquouses ». Il faut dire que notre célèbre INSEE attribue diversement cette surmortalité.

Une fois, c’est : « les deux épidémies de grippe en mars-avril et en décembre 2022, et aussi les fortes chaleurs pendant l’été 2022 ».

Une autre fois, c’est encore plus amusant : « Il peut y avoir aussi une interruption ou une pause dans la tendance à la baisse de la mortalité, mais sans qu’il soit encore possible de l’identifier ». !!!

Pourtant, comme je vous en ai informé le 7 courant , rien qu’en compulsant les chiffres officiels, il apparait clairement une relation entre les « Z’injections salvatrices » et la surmortalité : « Pour toutes les tranches d’âge, la baisse du nombre de doses injectées correspond à une baisse significative de la mortalité en Europe ».

Aux USA :

  • Edward DOWD, ancien gestionnaire de fonds chez BlackRock, explore de façon convaincante la crise de la surmortalité dans son livre : « Cause inconnue : l’épidémie de morts subites en 2021 et 2022 ».
  • Mathew CRAWFORD, un statisticien spécialiste financier a passé des années à analyser les données COVID-19. Il dénonce que le secteur des assurances nie depuis plus d’un an, les preuves croissantes d’un excès de décès induits par les vaccins. En février 2022, un cadre du géant allemand de l’assurance maladie BKK PROVITA, a présenté des preuves que les vaccins avaient déjà tué des dizaines de milliers d’Allemands. Il a été licencié le lendemain.

Nous comprenons bien que, le temps passant, se posera de façon plus prégnante, la question de l’éventuelle couverture de ces occurrences de décès, mais aussi d’autres incapacités… par les assureurs.

C’est notamment le cas de tous les contrats d’assurance de prêts souscrits pour l’acquisition de biens immobiliers, quelle que soit leur destination : résidence principale, secondaire ou de rapport (autrement dit, locative).

En exclusivité pour les abonnés aux Rendez-vous d’Hubert, j’ai déjà consacré deux numéros à cette importante question patrimoniale.

Dans celui du 21 octobre 2021, j’ai expliqué pourquoi et comment le cout des effets secondaires des « Z’injections » serait écarté par les sociétés d’assurance.

Celui du 21 février 2022, montre que ma précédente anticipation était juste et comment il est possible de « bien s’en sortir ».

« Plus les hommes seront éclairés, plus ils seront libres ».
(François-Marie AROUET di Voltaire)

Chers lecteurs, injectés ou pas, assurés ou pas, prenez soin de vous. Je vous aime et vous salue.