Sire, ce n’est pas une révolte… c’est un coup d’État !

13 Juil, 2023 | 0 commentaires

Introduction :

Chers lecteurs, nous vivons une époque formidable ☺. En effet, depuis l’épisode « Corona manipulus », nous sommes à même de voir et de comprendre ce qui se passe réellement, au niveau mondial, pour ce qui est du projet de société des mondialistes apatrides.

Faut-il, pour cela, avoir le courage de remettre en cause nos « certitudes » et notre « confort », façonnés par des décennies de manipulations. L’humanité, dans son ensemble, est victime du « syndrome de la grenouille ». Le sachant, il est plus facile de prendre conscience de l’Être que nous sommes vraiment et de nos réels pouvoirs, afin d’agir pour notre bien et celui de l’humanité. C’est l’ambition de mes différents écrits, de vous y aider.

 

Sans peur excessive, mais avec réalisme, prenons conscience des évènements qui s’enchainent :

µ Il semblerait bien que « quelque chose » soit en marche !!! Les livres d’histoires nous racontent que, dans la nuit du 14 juillet 1789, François Alexandre Frédéric, duc de LA ROCHEFOUCAULD-LIANCOURT, alors grand maître de la garde-robe du roi Louis XVI, réveille le roi pour lui annoncer la prise de la forteresse de la Bastille. Le roi s’exclame alors : « c’est une révolte ». Ce à quoi « l’ami François » lui répond : « non, Sire, c’est une révolution ! ».

Ce mardi, je vous relatais la réforme de la police judiciaire ainsi que la loi d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur (LOPMI), véritable prise de contrôle politique, de la police. Après cette institution, c’est maintenant l’armée qui est le moyen de la prise du pouvoir de « l’état macronien ». Ici aussi (comme Félicie), le moyen employé est une proposition de loi de programmation, avec la mise en œuvre de la procédure accélérée, permettant de limiter le temps des débats au parlement.

Comme le relève France Soir : « Les lois de programmation, prévues à l’article 34 de la Constitution de 1958, « déterminent les objectifs de l’action de l’État ». Contrairement aux lois ordinaires ou aux lois organiques, les lois de programmation n’ont normalement pas d’effet autre qu’indicatif. La LPM n’est donc pas prévue par la Constitution pour être une loi impérative ».

Selon le gouvernement, la loi de programmation militaire pour les années 2024-2030 (LPM), s’appuie sur :

  • « le contexte géopolitique, marqué par la pandémie de Covid-19 et la guerre en Ukraine, a confirmé la nécessité de renforcer la protection de l’indépendance nationale et de se préparer au retour des conflits de haute intensité […] Cet effort historique vise à « préparer » et « moderniser » les forces armées, en soutenant la dissuasion nucléaire et les capacités de projection et d’intervention».

Il considère clairement « qu’il y a le feu au lac » et que cette LPM doit être votée au plus vite, comme le relève « La tribune », qui nous précise :

  • « Sous l’œil vigilant du gouvernement – la Première ministre Elisabeth Borne avait même téléphoné au président de la commission des affaires étrangères et de la défense Christian Cambon pour appeler à la raison le Sénat -, sénateurs et députés se sont mis d’accord sur les marches budgétaires de la future loi de programmation militaire (LPM)».

Qu’en est-il de « la vraie réalité » ? La LPM 2024-2030 traite du budget des armées, ce qui est son rôle, mais … elle modifie de manière profonde et pérenne le Code de la défense, en s’attaquant de front aux libertés publiques.

L’avocate Virginie de ARAUJO-RECCHIA, que les abonnés aux « Rendez-vous d’Hubert » connaissent bien, relève justement des modifications liberticides du code de la défense.

Je retiens deux points essentiels dans cette LPM :

  • En cas de menace, actuelle ou prévisible, pesant sur les activités essentielles à la vie de la Nation, à la protection de la population, à l’intégrité du territoire ou à la permanence des institutions de la République ou de nature à justifier la mise en œuvre des engagements internationaux de l’État en matière de défense, la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services nécessaires pour y parer peut être décidée par décret en Conseil des ministres.
  • En cas d’urgence, si la sauvegarde des intérêts de la défense nationale le justifie, le Premier ministre peut ordonner, par décret, la réquisition de toute personne, physique ou morale, de tout bien ou de tout service».

Bref, « En cas de menace, actuelle ou prévisible »… le gouvernement peut décréter la « mobilisation générale »… à sa guise !!! Si tout cela n’est pas une tentative de « coup d’État », cela y ressemble, au moins sur le fond !!!

Nous nous enfonçons dans une situation qui ne peut que très mal finir. Raison de plus pour prendre les mesures permettant de ne pas être trop impacté sur le plan de votre patrimoine,tant spirituel que matériel.

C’est ce que vous apportent les conseils pratiques des « Rendez-vous d’Hubert ». Gardez en mémoire que mes écrits, jugés « complotistes » en 2020… se sont avérés être la réalité… en 2023 !!!

« Si seulement nous avions été solidaires contre la menace commune, nous aurions pu facilement la vaincre.
Alors, pourquoi ne l’avons-nous pas fait ?
Nous n’aimions pas assez la liberté.
De plus, nous n’avions pas conscience de la situation réelle…
Nous avons purement et simplement mérité tout ce qui s’est passé par la suite. »
(Alexandre Soljenitsyne)

Chers lecteurs, je vous aime et vous salue.

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