Introduction :
Chers lecteurs, nous vivons une époque formidable ☺. En effet, depuis l’épisode « Corona manipulus », nous sommes à même de voir et de comprendre ce qui se passe réellement, au niveau mondial, pour ce qui est du projet de société des mondialistes apatrides.
Faut-il, pour cela, avoir le courage de remettre en cause nos « certitudes » et notre « confort », façonnés par des décennies de manipulations. L’humanité, dans son ensemble, est victime du « syndrome de la grenouille ». Le sachant, il est plus facile de prendre conscience de l’Être que nous sommes vraiment et de nos réels pouvoirs, afin d’agir pour notre bien et celui de l’humanité. C’est l’ambition de mes différents écrits, de vous y aider.
Un chef s’impose, naturellement, par son exemple et par ses actes :
µ Les plus anciens d’entre vous se souviennent certainement, d’un film du réalisateur Yves ROBERT, qui fit une sortie triomphale en 1962 : « La guerre des boutons ». Adapté du roman éponyme de Louis PERGAUD, paru en 1912, c’est une histoire « d’écoliers à l’ancienne ».
Avant les années 60, les cours de sexualité… n’avaient pas cours ! Nous connaissions encore les départements de la France. Nous savions qu’une phrase se compose d’un verbe, d’un sujet et d’un complément d’objet, direct ou indirect !!! Rendez-vous compte, quand le professeur entrait dans la classe… nous nous levions, en signe de respect. Il faut dire qu’il le méritait, ce respect. Nostalgie, quand tu nous tiens ☺.
Revenons à cette pittoresque histoire. Les gamins de deux villages voisins, à peine l’école terminée, filent à mi-chemin des deux villages, dans une sablière et se font la guerre « dans les traditions ». L’une d’elles consiste à couper les bretelles et les boutons des vêtements des vaincus.
Les gamins qui interprètent les rôles principaux, comme LEBRAC ou « petit Gibus », nous régalent de quelques répliques cultes : « Si j’aurais su, j’aurais pas v’nu » et le fameux « Le chef, c’est celui qu’a le plus grand zizi. Pis c’est tout ».
Aujourd’hui, c’est une tout autre guerre, en Ukraine. Le monde en général et notre pays en particulier a besoin de chefs, de véritables chefs. La taille de leur zizi n’a que peu d’importance. Ce conflit n’est pas le nôtre. Nous n’avons rien à gagner à y participer, qui plus est, sans mandat international.
L’empressement de notre « chef de bande » à nous entrainer dans ce conflit, sans mandat national, a encore franchi une étape, lors du dernier sommet de l’OTAN à Vilnius :
- « Nous avons décidé de livrer de nouveaux missiles permettant des frappes dans la profondeur à l’Ukraine. Je pense qu’aujourd’hui ce qui est important pour nous c’est d’envoyer un message de soutien à l’Ukraine, d’unité de l’OTAN ».
Évidemment, le porte-parole de la Fédération de Russie, Dmitri PESKOV, a immédiatement réagi à cette déclaration :
- « Bien sûr, il reste à clarifier et à préciser exactement de quel type de portée nous parlons. De notre point de vue, il s’agit d’une mauvaise décision lourde de conséquences pour la partie ukrainienne, car, naturellement, elle nous obligera à prendre des contre-mesures ».
Dans ma carrière, au sein de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris, j’ai eu l’immense bonheur d’avoir été dirigé et formé par des chefs, avant d’en devenir un. Fort de cette expérience, j’affirme que depuis le Général de Gaulle, la France n’a, hélas, pas eu de chef digne de ce nom, pour développer et faire rayonner la grandeur de notre pays.
Bien que ne lisant pas (encore ☺) dans le marc de café… il me vient en tête une explication dans la volonté de « l’ami Manu » de nous entrainer dans une guerre contre la Russie.
Il a probablement été influencé par la déclaration de l’ex-ambassadeur et diplomate américain Chas Freeman : « l’Amérique fera la guerre aux Russes, jusqu’au dernier des Ukrainiens ».
Du coup, il semble décidé à vouloir faire la guerre contre la Russie… jusqu’au dernier des gilets jaunes et plus globalement, jusqu’au dernier de ceux qui contestent sa manière de conduire le pays !
Comment, vous n’y croyez pas ? Je vous ai informé, dans mes billets du 11 et du 13 courant, que la loi de programmation militaire (LPM 2024-2030) permet au « mari de Brigitte » de nous mobiliser, ainsi que tous nos biens personnels… évidemment, pour une noble cause !!!
« Jamais l’esclavage n’est aussi bien réussi que quand l’esclave est persuadé que c’est pour son bien »
(Aristote)
Chers lecteurs, en quête de chef, ou pas, je vous aime et vous salue.