Les sociétés d’assurance se portent bien… quoi que.

14 Jan, 2022 | 0 commentaires

Introduction

Chers lecteurs, le temps de « philosopher » est révolu. Nous vivons actuellement et c’est tant mieux, le temps de l’apocalypse, c’est-à-dire, celui du dévoilement. Dans cette confusion apparente, les masques tombent, la vérité apparait au grand jour. Cette excellente nouvelle est la révélation que notre destin NOUS appartient. Il est temps, pour chacun de nous, de contribuer activement au futur de l’humanité.

Par « confort intellectuel », certains d’entre nous s’enfoncent dans leur avilissement et deviennent totalement soumis à ceux qui s’autorisent à manipuler la nature, les animaux et maintenant nos propres gènes. Il est temps de reprendre confiance en l’Être que nous sommes vraiment et d’agir individuellement, pour construire collectivement le merveilleux monde de demain.

L’objectif de ce blog, qui traite de « l’écume des choses », est de vous y aider. Si vous désirez être pleinement acteur de « l’ardente obligation » de changer vraiment ce monde, abonnez-vous aux « Rendez-vous d’Hubert ». En plus de bénéficier de solutions pratiques pour traverser avec profit la période actuelle, ce sera votre manière de m’aider très concrètement, à poursuivre mon travail et améliorer sa qualité.

 

µ CE QUE L’ON VOIT :

Le dernier numéro de « Stat Info », édité par la banque de France, est paru le 10 courant. Il est consacré aux placements financiers des sociétés d’assurance. Il est plutôt rassurant :

« 16 milliards d’euros de placements nets au troisième trimestre 2021. À fin septembre 2021, l’encours de placements financiers des assureurs s’établit à 2 785 Mds €, en hausse de
+ 19 milliards d’euros. Cette augmentation marquée provient principalement de placements nets positifs (+ 16 Mds) et plus marginalement d’une hausse de valorisation de leurs placements (+ 3 Mds)
 ».

Chers détenteurs du « placement préféré des français », vous pouvez dormir tranquille (entre deux doses de « piquouses »), tout va bien pour vos contrats d’assurance vie. Vous allez percevoir de plantureux compléments de retraite. Est-ce si sûr ?

 

CE QUE L’ON NE VOIT PAS :

Les publications de la banque de France sont toujours remplies de précieux renseignements. Je compte sur votre discrétion pour ne surtout pas répéter que j’éprouve un malin plaisir à les rapprocher (ils occupent alors moins de place ☺). Prenons, par exemple, le document de travail n° 857 du 5 courant. Il est consacré aux « interconnexions croissantes du secteur de l’assurance ». pas moins de 43 pages pour nous expliquer que :

« L’interconnexion du secteur de l’assurance représente les liens avec d’autres acteurs du système financier et de l’économie réelle, qui peuvent servir de canal de propagation et d’amplification des chocs […] L’analyse empirique est menée de 1973 à 2018, pour 16 pays développés, à la fois au niveau sectoriel et au niveau des institutions […] nos résultats suggèrent que l’évolution actuelle vers une réglementation qui cible l’ensemble du secteur plutôt qu’un petit nombre de grands assureurs est justifiée ».

Résumons : La banque de France considère que l’économie réelle (ce que nous produisons avec notre travail) a des liens avec le secteur économique de l’assurance et de la finance. Qu’elle découverte !!! En opposition à l’économie réelle, le secteur finance/assurance peut donc être qualifié de virtuel ou mieux, de « Monopoly ».

Voilà un point qui est de nature à transformer les « assurancophiles » en « assurancophobes ». Avis aux amateurs de bonnes affaires, je n’ai pas, encore, protégé la propriété intellectuelle de ces deux nouveaux mots de la langue française ☺☺☺.

Une autre publication de notre chère banque de France, datée de décembre 2021, est consacrée à « L’évaluation des risques du système financier français ». Elle est plus conséquente (59 pages) car le sujet est d’importance.

Résumé à votre unique intention… quand j’écris que je vous aime ☺ :

« La poursuite de la reprise économique a atténué les risques de court terme pour le secteur financier, notamment au vu de la stabilisation de la situation des entreprises. Néanmoins les vulnérabilités de moyen terme s’accentuent avec le dynamisme du cycle financier, dans un contexte d’incertitude persistante […] En France, l’augmentation de la dette souveraine a été continue depuis plus de quarante ans, ce qui diminue les marges de manœuvre des finances publiques, et rend l’émetteur souverain plus vulnérable à une dégradation des conditions de financement […] La couverture des exigences en capital pourrait être affectée par le contexte de taux durablement bas ».

Traduction (je vous aime vraiment beaucoup) :

L’assurance vie est un placement de moyen long terme. Les assureurs, sous les assauts continuels des bancassureurs, ont perdu leur expertise de gestion des risques pour devenir des « sicaviers » (vendeurs de produits financiers). Un long article du 21 octobre 2021 des « Rendez-vous d’Hubert » vous explique en détail pourquoi il faut « sortir » de vos contrats d’assurance vie.

Rappelez-vous que le 14 janvier 2020, je vous ai informé dans quelles conditions les assureurs avaient « confisqué » la provision pour participation aux bénéfices (PPB), pourtant, juridiquement propriété des assurés. Chaque jour, le piège se referme un peu plus. Agissez avant que cela ne soit plus possible. C’est de « vos sous » qu’il s’agit.

 

CE QUE VOIT ALEX ANDRIN :

L’assurance vie est devenue peu sûre.
Méfiez-vous de ces propos qui vous rassurent.
Il n’ont qu’un objectif : c’est de vous endormir.
Et par ce biais, vos économies obtenir.
Je vous en supplie chers lecteurs, ouvrez les yeux.
Reprenez le contrôle, soyez audacieux.
Gardez confiance, je vous aime et vous salue.

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