Soyons magnanimes chers lecteurs. Adressons un grand merci à toutes nos « Z’élites » qui prennent si grand soin des populations qu’ils ont pour tâche de guider au mieux vers des jours meilleurs.

Je ne reviendrais pas ici sur les chiffres relatifs à la « pandémie Coronavidesque », sujet que j’ai abordé dans mon billet du 7 de ce mois de janvier 2021, mais sur un autre aspect, plus sournois et encore si peu évoqué par les médias dominants.

Voilà qu’il me vient l’envie de paraphraser Jean de La Fontaine dans Les animaux malades de la peste : « Un mal qui répand la terreur faisait aux animaux la guerre. Ils ne mourraient pas tous, mais tous étaient frappés ».

Revu et corrigé par un esprit malicieux qui transforme allégrement les mots de « l’ami Janot », cela donne quelque chose comme : « Cet horrible Coronaentourloupus qui nous faisait la guerre. Peu d’entre nous en mouraient, mais tous en devenaient fous ».

Vous l’avez compris, je souhaite partager avec vous un des nombreux dégâts collatéraux de ce « Coronadévastatus » : les effets psychologiques induits par toutes les incohérences des mesures prises par les dirigeants, notamment dans notre pays.

Elles vont de l’utilisation des masques (un jour qualifiés d’inutiles et un autre jour, devenus obligatoires) en passant par les confinements (à des heures et en des lieux qui évoluent sans cesse, dans une logique improbable), sans oublier les vaccins miracles qui, aussi lentement qu’inexorablement, seront rendus obligatoires, n’en doutez pas.

L’instauration d’un climat de crainte qui devient omniprésent. Peur : de l’amende pour non-port du masque, peur de contaminer les autres ou d’être contaminé par eux, peur de la restriction de circuler librement, peur de ne pouvoir exprimer publiquement des propos contraires à la doxa, sans être traité de complotiste.

Reconnaissons qu’il y a là de quoi fragiliser des personnes pourtant normalement constituées, capables de prendre du recul et dotées d’un esprit critique.

D’autant plus que « nos chers merdias » ne font que propager en continu les propos gouvernementaux en matière de peur, d’informations sujettes à caution, de culpabilisation et de totale infantilisation.

Le syndrome de la grenouille faisant pleinement effet, nous sommes alors collectivement victimes d’inhibition transmarginale comme nous l’explique très simplement le docteur Pascal sacré, médecin réanimateur belge…. licencié au motif de ses prises de position dérangeantes !!! Encore une peur supplémentaire à la liste que j’évoquais à l’instant.

Encore un effet collatéral de la bonne gestion du « Coronanulus » : les changements radicaux dans la façon dont les enfants et les adolescents apprennent, jouent et se socialisent… grâce aux différents confinements.

Les chiffres du gouvernement américain montrent que la proportion d’enfants arrivés aux urgences avec des problèmes de santé mentale a augmenté de 24 % de la mi-mars à la mi-octobre, par rapport à la même période en 2019. Chez les préadolescents et les adolescents, elle a augmenté de 31 %.

Les hôpitaux pour enfants de New York, du Colorado et du Missouri ont tous signalé une augmentation du nombre de patients qui ont pensé ou tenté de se suicider. Les cliniciens ont également mentionné des pics chez les enfants souffrant de dépression sévère et chez ceux atteints d’autisme qui se comportent mal.

En France, même pour les adultes, cette fragilisation psychologique amène tout droit au suicide comme nous le montre cette courte vidéo du site « Top Santé ».

Pour découvrir et développer nos facultés endormies, celles qui nous permettent de ne plus donner prise à ces attaques contre notre humanité, il y a de nombreux moyens.

Parmi ceux-ci, les « Rendez-vous d’Hubert », dont chaque publication comprend un chapitre intitulé : Je m’éveille à qui je suis vraiment.

Dans le prochain numéro mis en ligne le 16 courant, vous trouverez la première partie d’un sujet autant bénéfique que passionnant : « La cohérence cardiaque ».

Vous y découvrirez ses bienfaits, mais aussi et surtout, la manière de la pratiquer et ainsi de vous libérer de toutes les pressions négatives actuelles.

 

Soyez optimistes chers lecteurs, vous voyez bien qu’il est de sérieuses raisons de l’être.

Je vous aime et vous salue.