INTRODUCTION

Si nous sommes pris par les « élites » pour les imbéciles que nous sommes devenus, c’est à nous seuls qu’il appartient de ne pas le rester. Plus largement informés, nous pouvons tirer le meilleur des évènements, devenir plus forts et ainsi être en mesure d’aider ceux qui veulent progresser dans ce sens. Je m’efforce de contribuer à la prise de conscience du fait que si « tout va mal » autour de nous, c’est individuellement qu’il nous appartient de faire ce qu’il faut, pour que « tout aille mieux » collectivement.

Le but de mes écrits n’est pas de vous faire peur, mais de vous préparer, car c’est en sachant les choses qu’on peut mieux les gérer. Je m’attache à avoir une réflexion factuelle, sur « un temps long » et à ne pas donner dans le catastrophisme, sans pour autant éluder les réalités « dérangeantes ».

Les analyses que je vous propose étant l’expression de « ma vérité » au moment de leur rédaction, je vous donne l’accès à mes sources, afin que vous soyez en mesure d’avoir VOTRE appréciation, éventuellement différente des miennes et ainsi construire VOTRE vérité, la seule qui vaille à mes yeux.

Bonne lecture.

 

Dans la première partie de cette série de billets consacrés au Bancor, nous avons vu que la conférence de Bretton Woods institue le « roi dollar » qui est la seule monnaie indexée sur l’or. C’est le système monétaire mondial du « Gold exchange Standard », autrement dit, une organisation du système international des changes, qui limite la conversion en or uniquement au dollar.

Dans les années 1960, le déficit des États-Unis d’Amérique ne cesse de s’accroitre, notamment en raison des dépenses entrainées par la guerre du Viêt Nam. C’est toujours le même phénomène qui se produit. L’oligarchie mondialiste en place (banquiers, grands industriels, fabricants d’armes…) incite les gouvernements à créer puis faire durer les guerres pour multiplier ses profits. Cela nécessite beaucoup plus d’argent que les états n’en possèdent, d’où « l’idée » de s’affranchir de la limite qui résulte de la convertibilité de la monnaie en vigueur, avec l’or. Je vous l’ai expliqué dans mon billet du 13 avril 2012 à propos de la Première Guerre mondiale et le passage des billets de banque du « cours légal » au « cours forcé ».

Bis repetita placent le 15 août 1971 ou, comme je vous l’ai indiqué dans mon billet du 14 juillet 2013 : « Le président Nixon suspend toute convertibilité du dollar en or. Son secrétaire du trésor, John Connally déclare « le dollar est notre monnaie et votre problème ». Sur les 20 milliards de dollars d’or détenus à New York en 1957, il en reste moins de 10 milliards en 1971. Nixon doit procéder à une dévaluation de 7,9% du dollar en décembre ».

Ce fait entérine le passage du système « Gold Exchange Standard » à celui de « changes flottants », c’est-à-dire que les différentes monnaies mondiales s’apprécient ou se déprécient sans instrument de mesure commun de référence. Ce système est toujours en vigueur actuellement.

Cela signifie qu’à partir du 15 août 1971, la valeur du dollar, monnaie d’échange de référence internationale, ne repose que sur la crédibilité accordée par tous ses utilisateurs. La « Kolosssale supercherie » réside dans le fait qu’en réalité, le dollar n’est pas une monnaie, c’est une dette. Une créance sur les États-Unis d’Amérique, sur leurs richesses actuelles, sur leurs richesses et leurs productions futures. Vous comprenez mieux maintenant pourquoi « La voix de l’Amérique » est omniprésente mondialement et dans tous les secteurs (médiatiques bien sûr, mais aussi économique et culturel). Il est vital pour les USA d’entretenir, voire de fortifier, une inébranlable confiance dans le dollar.

Voilà une information qu’il est intéressant de garder précieusement en mémoire… Par exemple, quand votre conseiller financier préféré vous propose d’investir sur le dollar. Bien sûr, il vous dit que « tout va bien » pour les USA et que son économie est florissante. Je vous invite à lire ou relire quelques « faits contrariants » que je relève régulièrement à ce sujet, pour élargir le champ de vos informations. Notamment dans mon billet du 23 mai 2017, de même celui du 11 mai 2018, ou encore du  27 février 2019 et dernièrement celui du 23 mars 2019. Il ne s’agit pas de ma part d’un « Anti-américanisme », le plus souvent qualifié de « primaire », mais simplement de ré équilibrer la connaissance de faits, même surtout si ceux-ci sont politiquement moins consensuels et combattus par les pouvoirs en place.

Nous avons vu précédemment que la conférence de Bretton Woods a créé le fonds monétaire international (FMI). Celui-ci : « encourage la stabilité financière et la coopération monétaire internationale, et s’efforce aussi de faciliter le commerce international, d’œuvrer en faveur d’un emploi élevé et d’une croissance économique durable, et de faire reculer la pauvreté dans le monde ». Si si, c’est certainement vrai puisque c’est écrit sur son site !!!

Ce que nous apprend sur lui le Wikipédia est toujours très politiquement correct : « Le FMI a ainsi pour fonction d’assurer la stabilité du système monétaire international (SMI) et la gestion des crises monétaires et financières. Pour cela, il fournit des crédits aux pays qui connaissent des difficultés financières mettant en péril l’organisation gouvernementale du pays, la stabilité de son système financier (banques, marchés financiers) ou les flux d’échanges de commerce international avec les autres pays. Lors d’une crise financière, pour éviter qu’un pays ne fasse « défaut » (c’est-à-dire que ce pays ne peut plus rembourser ses créanciers, voire ne plus payer ses dépenses courantes), le FMI lui prête de l’argent le temps que la confiance des agents économiques revienne. Le FMI conditionne l’obtention de prêts à la mise en place de certaines réformes économiques visant en principe à réguler la gestion des finances publiques (ingérence financière) et à établir une croissance économique équilibrée à long terme ». Re !!!

Notre « Wiki préféré » précise quand même au passage que : « Lors des négociations de Bretton Woods, le représentant britannique, l’économiste John Maynard Keynes, souhaitait la création d’une institution bien plus importante, une véritable Banque centrale mondiale destinée à émettre une monnaie internationale, le « Bancor ». Cette proposition fut rejetée. Elle aurait signifié pour les États-Unis une perte de souveraineté vis-à-vis d’une institution internationale et les aurait empêchés de profiter de la position dominante du dollar américain à l’époque ».

Allez demander au peuple grec combien ils ont apprécié l’intervention du FMI. Mieux, Pire, c’est le FMI lui-même qui reconnait dans un rapport de 72 pages réalisé par son « bureau indépendant d’évaluation » (IEO) en date du 28 juillet 2016, que : « le FMI a agi sous la pression des intérêts de certains pays de la zone euro, contre ses propres intérêts et a cherché pour cela à court-circuiter le conseil d’administration. Cette procédure a clairement conduit à des erreurs d’appréciations majeures de la situation, notamment en Grèce ».

Pour accomplir ses « nobles missions » d’aide aux pays en difficulté financière, le FMI dispose d’une « quote-part » versée par les pays membres (189 aujourd’hui). Depuis 1969, le FMI a créé de toute pièce une « monnaie » particulière qui lui est spécifique : le droit de tirage spécial (DTS). Cette unité de compte est constituée d’un panier de « monnaies majeures » largement utilisées pour le commerce international et les marchés financiers. Voici deux points qui me semblent importants à garder en mémoire :

  • La valeur du DTS a été fixée à 0,888671 gramme d’or fin à son origine en 1969, ce qui correspondait alors à un dollar. Après l’effondrement du système de Bretton Woods, en 1973, la valeur du DTS a été déterminée par rapport à un panier de monnaies qui est réévalué tous les cinq ans.
  • Considérant que la quantité mondiale d’or physique est relativement fixe (la quantité d’or produite compense peu ou prou la quantité consommée par la bijouterie et les ouvrages artistiques) et qu’au niveau mondial les économies de tous les membres du FMI prospèrent, il est nécessaire d’ajuster la proportion des différentes « monnaies majeures» composant le DTS.

STOOOOP. C’est l’heure de « la récré » ? ? ?.

Pardonnez-moi chers lecteurs de vous avoir « embarqué » dans un exposé de plus de 1 300 mots, certes intéressants, mais pas spécialement « sexy », en omettant de vous donner préalablement mon « mode de fonctionnement », avant d’effleurer, sans discontinuer, mais avec autant de délicatesse que d’obstination, la plus grande partie des touches de mon clavier qui… en rosi de plaisir !!!

Oui, pardonnez-moi, car j’aurais dû vous indiquer la plus importante de mes « règles du jeu », comme je le fais lors du premier cours de chacune des classes que des Z’étudiants ont la faiblesse de venir régulièrement fréquenter : « Prévenez-moi lorsque c’est l’heure de la pause, car sinon, même en retirant la pile, j’aurais beaucoup de mal à m’arrêter » !!!

DRIIIIING… LA PAUSE EST « FINITE » comme aurait pu le dire « l’ami Coluche ». Reprenons.

Ces fameux DTS représentent déjà un embryon de la future monnaie mondiale voulue par l’oligarchie mondialiste. Je vous invite à lire ou relire mon billet du 3 mars 2018 dans lequel je développe « l’étrange annonce » faite dans le journal « The Economist » du 9 janvier 1988 d’une nouvelle monnaie mondiale dénommée « Phénix » et dont la mise en circulation est prévue pour… 2018 !!!

Je reprends ici quelques passages significatifs de cet article titré « Soyez prêt pour une monnaie mondiale…. En 2018 » :

  • Dans trente ans à partir d’aujourd’hui, les Américains, les Japonais, les Européens, et les gens dans de nombreux autres pays riches, et certains relativement pauvres vont probablement payer pour leurs achats dans la même devise. Les prix seront cotés non pas en dollars, yens ou Deutsch marks, mais dans, disons, le phénix,
  • De toutes ces façons, les frontières économiques nationales se dissolvent lentement.
  • Cela signifie une grande perte de souveraineté économique, mais les tendances qui rendent le phénix si attrayant éliminent la souveraineté tout de suite et dans tous les cas,
  • Le phénix serait probablement introduit comme un cocktail de monnaies nationales, comme le droit de tirage spécial l’est aujourd’hui

Et enfin la conclusion de l’article, dans laquelle à mon sens, tout est dit : « Nous prévoyons le phénix pour environ 2018, et saluons sa venue ».

Aujourd’hui, alors que rien de tout cela n’est arrivé, certaines personnes sont légitimement en droit de penser : « Cher Hubert, tu nous stresses avec tes écrits angoissants. Toutes ces balivernes n’ont aucun sens. Cette crise, tout comme les précédentes, va sa résorber et demain nous l’aurons oublié ». Allez, je suis bon prince et donne des arguments supplémentaires aux potentiels « Hubero sceptique ».

Dans mon billet du 23 décembre 2017 titré « Mes anticipations pour 2018 », une de celles relatives à la Chine évoquait les DTS. Je vous la rappelle in extenso : « Le yuan a intégré le 1er octobre 2016 le cercle très fermé des principales monnaies de réserve internationale, au sein des droits de tirage spéciaux (DTS). C’est l’unité de compte du FMI. Avec un poids de10,92% de l’ensemble des 5 devises du DTS, le Yuan en est la 3ème composante, devant le yen et la Livre. Cette première marche étant franchie, la chine a l’ambition d’être plus présente comme monnaie de référence mondiale. Il faut garder à l’esprit que depuis 2015, la Chine achète son gaz à la Russie en la payant… en yuan. Cette monnaie de fait (pétro-yuan), a pour objectif de concurrencer les autres échanges mondiaux de pétrole payés en dollar (pétro-dollar). Je pense que 2018 verra un développement important des transactions mondiales de pétrole payées en « pétro-yuan ». Je pronostique surtout que celui-ci deviendra « pétro-yuan-rouble » ou un nom plus « chantant » et qu’il remplacera le pétro-dollar à brève échéance ».

Mea culpa. Le terme de « pétro dollar » est toujours employé contrairement à « pétro yuan ». Même si les paiements de pétrole se font de plus en plus en yuan, la sémantique officielle (celle des merdias) a du mal à le reconnaitre. Cela étant clarifié, abordons maintenant chers amis lecteurs, la « recomposition » des DTS que je cite dans cette anticipation.

Revenons aux deux points que je vous demandais de garder en mémoire… Vous ne vous en souvenez plus ? C’était juste avant la récré… Voyez à quel point je vous aime tous, même les moins attentifs… Il fallait vous souvenir de la relation entre les DTS et l’or physique ainsi que de la notion d’ajustement des monnaies composant le DTS. Maintenant que vous êtes tous prêts pour la suite, je continue.

À compter du 1er octobre 2016, le Yuan, aussi appelé Renminbi (元人民币), qui signifie « monnaie du peuple » est officiellement entré comme la 5è devise du panier du DTS. Mieux, alors qu’étant la dernière monnaie « entrée au club », elle prend la 3è place en importance.

La répartition étant : Dollar américain à hauteur de 41,73%, Euro à 30,93%, Yuan chinois à 10,92%, Yen japonais à 8,33% et la Livre sterling à 8,09%. Il est réconfortant de voir que les dirigeants chinois connaissent bien les œuvres de notre cher Pierre Corneille  et sont capables des mêmes prouesses que le Cid Campeador !!! Rappel pour les lecteurs sujets aux pertes de mémoire : « Mes pareils à deux fois ne se font point connaitre, et pour leurs coups d’essai veulent un coup de maître ».

On ne peut pas reprocher aux dirigeants chinois « d’avancer masqué », car, le 23 mars 2009, tirant déjà des enseignements de la crise qui n’en est qu’à ses débuts, Zhou Xiaochuan, gouverneur de la banque centrale de chine expose publiquement un « essai » relatif à la réforme du système monétaire international dans lequel :

  • Il énonce les principes de ce que devrait être, selon lui, une monnaie de réserve internationale.
    • « une monnaie de réserve internationale devrait d’abord être ancrée à une référence stable et émise selon un ensemble de règles claires, donc pour assurer un approvisionnement ordonné ; deuxièmement, son offre devrait être suffisamment souple pour permettre un ajustement en temps voulu en fonction de l’évolution de la demande ; troisièmement, ces ajustements devraient être déconnectés des conditions économiques et des intérêts souverains de tout pays unique ».
  • Il condamne implicitement le principe en place du « dollar roi ».
    • « L’acceptation des monnaies nationales basées sur le crédit comme principales monnaies de réserve internationales, comme c’est le cas dans le système actuel, est un cas particulier rare dans l’histoire ».
    • « Les pays émetteurs de monnaies de réserve sont constamment confrontés au dilemme entre la réalisation de leurs objectifs de politique monétaire intérieure et la satisfaction de la demande de monnaies de réserve des autres pays. D’une part, les autorités monétaires ne peuvent pas simplement se concentrer sur des objectifs nationaux sans s’acquitter de leurs responsabilités internationales ; d’autre part, elles ne peuvent poursuivre en même temps des objectifs nationaux et internationaux différents ».
    • « Lorsque la monnaie d’un pays n’est plus utilisée comme étalon pour le commerce mondial et comme référence pour les autres monnaies, la politique de change du pays serait beaucoup plus efficace pour corriger les déséquilibres économiques. Cela réduira considérablement les risques d’une crise future et améliorera la capacité de gestion des crises ».
  • Il regrette que la proposition du Bancor faite par Keynes à Bretton Woods, n’ai pas été acceptée par les « vainqueurs américains ».
    • « Dès les années 1940, Keynes avait proposé d’introduire une unité monétaire internationale appelée « Bancor », basée sur la valeur de 30 marchandises représentatives. Malheureusement, la proposition n’a pas été acceptée. L’effondrement du système de Bretton Woods, qui reposait sur l’approche blanche, indique que l’approche keynésienne était peut-être plus prévoyante ».

Notez au passage, la notion de « la valeur de 30 marchandises représentatives », j’y reviendrais un peu plus loin.

  • Il fait alors quelques propositions pour la « monnaie de réserve super-souveraine » que je traduis par « future monnaie mondiale ».
    • « Le DTS a les caractéristiques et le potentiel pour agir comme une monnaie de réserve super-souveraine ».
    • « Le DTS, qui n’est maintenant utilisé qu’entre les gouvernements et les institutions internationales, pourrait devenir un moyen de paiement largement accepté dans les transactions commerciales et financières internationales. Promouvoir activement l’utilisation du DTS dans le commerce international, l’établissement des prix des produits de base, les investissements et la tenue de la comptabilité des entreprises ».

Retenez bien cette notion de « la tenue de la comptabilité des entreprises ». Je reviendrais dans un prochain billet sur la nature essentielle de l’entreprise, de sa forme et de sa comptabilité dans le monde actuel.

  • Voilà, à mon sens, le passage le plus « intéressant » :
    • « Le panier de monnaies servant de base à l’évaluation des DTS devrait être élargi pour inclure les monnaies de toutes les grandes économies, et le PIB pourrait également être inclus comme pondération. L’allocation du DTS peut être déplacée d’un système purement fondé sur le calcul vers un système adossé à des actifs réels, tel qu’un fonds de réserve, pour renforcer encore la confiance du marché dans sa valeur».

Vous avez bien lu : « des actifs réels ». Pensez-vous vraiment que la frénésie d’achat d’or physique de la Chine et de la Russie depuis quelques années relève du hasard ? Le « coup d’essai » de l’entrée dans les DTS me semble préfigurer « le coup de maître » de la future monnaie mondiale qui, quel que soit son futur nom, sera un panier des monnaies les plus représentatives. Les dirigeants chinois ont compris depuis longtemps que pour « peser » dans cette négociation, il faut « en avoir sous le pied »… De l’or physique, bien sûr !

Pouf pouf. « redescendons » à des considérations plus personnelles relatives à votre fortune… Pardon, à votre patrimoine. Seuls les abonnés au CPH savent qui est « Dame Fortuna ». C’est bien connu, « L’exemple venant d’en haut », ne croyez-vous pas qu’il serait judicieux d’avoir une partie de vos avoirs personnels… disons écrivons… en Yuan ? Comment ? Vous préférez toujours faire confiance à « l’inébranlable puissance américaine » et son « éternel dollar » ? Peut-être avez-vous raison, mais…

Chers amis, vous connaissez maintenant depuis longtemps une de mes « marques de fabrique » : des faits uniquement des faits. N’oubliez pas, chers lecteurs, que les « grands merdias » ne nous relatent QUE les faits qui sont favorables à ceux qui les possèdent. C’est leur règle du jeu. Je vous ai apporté dans la première partie de ce billet, quelques éléments FAC TUELS relatifs à la « bonne santé » des USA. En voici un autre, et… Un dernier « pour la route »… J’oubliais, le bonus. Vous savez bien qu’aujourd’hui, il faut toujours offrir un bonus. Celui-ci tend à confirmer mon pronostique sur qui de « la City » ou de « Wall Street » gagnera  « la  luuu te finaaa le » ? ? ?.

Je vous donne rendez-vous le 15 juin pour revenir sur la BRI et nous commencerons alors à y voir plus clair sur ce qui nous attend.

Profitez, chers lecteurs des rayons de soleil que je vous envoie directement de ma chère Andalousie. En effet, comme prévu, nous venons, mon épouse et moi, de « rentrer à la casa ». Dites et redites à vos proches à quel point vous êtes heureux de les avoirs à vos côtés. Prenez bien soin de vous. Je vous aime et vous salue.