Dans mon billet du 1er avril dernier, ce n’était pas un poisson, je vous faisais part de la naissance de la branche française du mouvement international « Extinction Rebellion » appelant à la désobéissance civique non violente contre l’inaction des gouvernements pour ce qui est de la lutte contre le réchauffement climatique et plus globalement, l’extinction de l’humanité ».

Je vous précisais : « Ce mouvement est né en Grande-Bretagne en 2018 à l’initiative d’universitaires notamment, inspiré par la stratégie de lutte pour les droits civiques aux États-Unis dans les années 60 ».

À force de pression sur le gouvernement de Grande-Bretagne, le mouvement « Extinction Rebellion » a fini par l’emporter.

En effet, « Un vote historique s’est tenu le 1er mai au Parlement britannique : les députés ont déclaré « l’urgence écologique et climatique ». Le Royaume-Uni devient ainsi le premier pays à décréter une urgence pour le climat et l’environnement. « Le moment est venu de prendre des mesures concrètes pour lutter contre le changement climatique » a Twitté Jeremy Corbyn du parti travailliste, à l’origine de la motion.

Ce mouvement est à mettre en parallèle avec les diverses mises en causes des gouvernements que je vous ai relatés dans mon billet du 9 octobre 2018. Plus récemment, dans celui du 28 février 2019, je vous relatais d’autres initiatives citoyennes qui n’hésitaient pas à mettre en cause les états en matière d’inaction face aux changements climatiques.

J’ai le sentiment que mouvement des « gilets jaunes » est l’arbre quoi cache la forêt du « réveil de la conscience des peuples ». Affaires Z’à suivre.