La parole est à Théodore RAPEUTE
Monsieur RAPEUTE est l’un de nos plus anciens chantegrivois. Bien que ce médecin ait depuis longtemps dépassé l’âge de la retraite, ses conseils sont toujours écoutés et suivis. Il faut dire que « l’ami Thé » prodigue encore et toujours de sages recommandations de mode de vie. Digne descendant d’Asclépios, il a, tout au long de sa carrière, pratiqué une médecine holistique.
Une bibliographie passionnante
Vous et moi savons parfaitement que ce n’est pas parce que les médias grand public ne parlent pas d’une chose qu’elle n’existe pas. Malheureusement, beaucoup de personnes n’ont pas encore compris cela.
Tous ces relais de la propagande gouvernementale maitrisent parfaitement l’art de la manipulation. Seuls quelques-uns résistent, à l’exemple de France-Soir qui nous apprend une bien intéressante chose :
Dans le silence médiatique qui sied en partielle circonstance… rien de moins que la mise en ligne d’une véritable bibliothèque des risques des « Z’injections » si généreusement administrées ces quelques dernières années.
Ce sont plus de 700 études revues par les pairs, mises à jour au1er juillet 2025, qui sont directement accessibles. Certes, tout cela est très technique, mais de grandes lignes apparaissent clairement. Commentaires choisis, à l’usage de mes confrères, mais pas qu’à eux :
- « Ces études indiquent que la protéine spike cause des dommages vasculaires, neurologiques, cardiaques et immunologiques […] les ingrédients des vaccins se dispersent dans tout le corps, s’accumulant dans des organes vitaux […] ces éléments persistent dans l’organisme pendant des années, contrairement aux affirmations initiales ».
Cette compilation représente un effort remarquable pour centraliser des données critiques, répondant directement aux objections des autorités sanitaires, qui invoquaient souvent un manque d’études de référence, préférant s’appuyer sur les données des fabricants !
Cette publication marque un tournant dans le débat sur la sécurité des vaccins à ARNm. Elle appelle à un dialogue immédiat et équilibré, afin d’intégrer ces nouvelles données aux preuves d’efficacité contre les formes graves de « Coronamaléficius » et, ainsi, avoir une balance bénéfice-risque réelle et indépendante.
Cette abondante bibliographie nous ramène à la question des traitements précoces, délibérément écartés ou discrédités lors de la plandémie. On se souvient qu’ils ont été vigoureusement discrédités et violemment combattus et écartés, comme « l’hydroxy…. et l’ivermec… », au profit des « Z’injections salvatrices », comme unique solution viable.
Le professeur Christian PERRONNE souligne que ce choix gouvernemental a, de fait, entrainé une perte de chance significative pour beaucoup de patients. La connaissance de ces nouvelles études, promet quelques bras de fer avec les assureurs.
À propos d’assurance
Là aussi, il y a du nouveau. Trois récentes décisions de justice permettent de redonner espoir, en matière de couvertures de pertes d’exploitation, suites aux fermetures administratives imposées par les autorités, lors de la plandémie.
Dans la décision n° 23-20.289 F-B du 13 mars 2025, la 2è chambre civile de la Cour de cassation donne droit à la garantie contre les pertes d’exploitation à un hôtelier, en faisant une lecture moins stricte du contrat, notamment en ce qui concerne une relation de cause à effet.
Les décisions F-B n° 24-11.06 et F-B n° 23-20.093, du 28 mai 2025, de la même chambre, en date du 28 mai 2025, dans lesquelles, la Cour de cassation interprète, là encore, plus souplement une clause des conditions générales.
Conclusion
Quoi qu’il en soit, au moment de signer un contrat d’assurance, une attitude s’impose : lire et relire atttttentivement les conditions générales de ce contrat. En effet, c’est le cadre qui va déterminer, réellement, le traitement du sinistre, le jour où il survient.
Gardez toujours à l’esprit que l’assureur a rédigé le contrat de manière à avoir à indemniser le moins possible de sinistres. C’est sa survie économique qui est en jeu !
À bientôt pour de nouvelles chroniques chantegrivoises.
D’ici là, prenez bien soin de vous. Je vous aime et vous salue.
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