Quand un robot disjoncte !

17 Jan, 2025 | 0 commentaires

LE MOMENT DÉTENTE DE LA SEMAINE 

L’irruption des robots dans notre vie soulève toujours la même question : cette innovation technologique va-t-elle être utilisée pour le bien de l’homme ou pour augmenter le pouvoir d’une minorité ?

Nous avons suffisamment de recul pour reconnaitre que, notamment dans l’industrie automobile, les robots ont remplacé l’homme pour les tâches les plus pénibles.

Les robots qui peuvent se faufiler dans des endroits peu ou pas accessibles à l’homme pour investiguer, sans mettre le personnel humain en danger, sont aussi fort utiles.

Je pense notamment (nostalgie, quand tu nous tiens) aux « robots-pompiers ». Cocorico ! Nous sommes en pointe dans ce domaine particulier.

En France, le robot Colossus, développé par la société Shark Robotics a déjà prouvé son efficacité, notamment, lors de l’incendie de Notre-Dame de Paris en 2019.

Parmi les robots, une catégorie particulière est celle des « humanoïdes ». Les racines de la robotique humanoïde remontent aux années 1960, avec le scientifique américain Joseph ENGELBERGER.

Les robots humanoïdes d’aujourd’hui sont équipés de technologies sophistiquées, telles que des caméras, des capteurs, des algorithmes d’apprentissage profond, des réseaux neuronaux et des capacités de traitement du langage naturel.

L’alliance de la robotique et de l’intelligence artificielle s’apprête à bouleverser les fondements de notre économie. Une révolution qui transformera radicalement nos modes de production, mais qui n’aura pas lieu sans qu’on se pose cette question fondamentale : quelle place restera-t-il à l’Homme dans un monde automatisé ?

Le Centre national d’Innovation en Robotique de Pékin est le créateur du premier robot humanoïde électrique, de taille normale, au monde : le « Tiangong ».

Retenez que la Chine, qui est, avec nos lunettes atlantistes, un « ennemi dangereux pour nos économies » a récemment mis le Tiangong en mode « open source » !

Cela signifie : laisser en libre accès le code source des composants de ce produit. Une initiative qui devrait faciliter le développement des robots humanoïdes et accélérer leur intégration dans la vie humaine.

Connaissez-vous Pierre Casimir Le BRAS ? Il est vrai qu’il est plus connu par son nom de scène : Gustave PARKING. Il est né le 29 décembre 1955 à Bayonne, dans les Pyrénées-Atlantiques.

C’est un artiste complet : humoriste, clown, poète et grand spécialiste des jeux de mots. À la suite du divorce de ses parents, il se retrouve seul à ses 17 ans. Il poursuit des études de linguistique à l’université de Rennes, ainsi que des études théâtrales.

En 1981, il choisit le pseudonyme de « Gustave Parking » en référence à tous les lieux où il a été amené à se produire. Il a 27 ans quand le ministère français de la Coopération lui finance une tournée à travers dix-huit pays africains.

Homme de scène et de télé, auteur de recueils, animateur radio, « l’ami Gustave » s’illustre sur tous les tableaux. Il reçoit en 2000 le grand prix du jury au festival d’humour de Saint-Gervais.

En 2001, il découvre qu’il est atteint d’une maladie rare, l’hémochromatose, c’est-à-dire d’un excès de fer dans le sang. Il en parle avec dérision :

  • « Ce n’est pas parce que j’ai un taux de fer supérieur à la normale, que je sonne dans les aéroports ».

En 2005, Gustave Parking s’installe avec sa famille à Trois-Rivières, en Guadeloupe, pour assouvir ses autres passions : la navigation et la peinture.

Vous allez maintenant pouvoir apprécier son humour si particulier dans son numéro intitulé … le robot !

« L’humour ne peut exister que là où les gens discernent encore la frontière
entre ce qui est important et ce qui ne l’est pas »
(Milan Kundera)

Chers lecteurs, puisse ce moment de détente, être le prélude à une fin de semaine agréable.

Je vous aime et vous salue.

Mots clés : Humour

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