En période de crise, c’est bien connu, les jeux d’argent et de hasard, sont particulièrement pratiqués… pour la plus grande satisfaction de leurs promoteurs.
Les plus anciens d’entre nous se souviennent de la « loterie nationale », créée en 1933 pour venir en aide aux « gueules cassées », victime de la Première Guerre mondiale.
Elle devient société anonyme en 1976, son capital étant alors détenu à 72% par l’état, à 20% par les émetteurs de billets fondateurs (l’association des gueules cassées), à 5% pour les salariés et 3% pour les courtiers. En 1991, elle prend le nom de « Française des jeux » (FDJ).
Le 21 novembre 2019, la FDJ est introduite en bourse. Elle compte, aujourd’hui, plus de 400 000 actionnaires individuels. Les « gueules cassées » sont actionnaires à hauteur de 9%.
Ce n’est pas moins de 82 jeux que la FDJ propose aujourd’hui au public. En 2023, elle annonce avoir fait gagner un millionnaire tous les deux jours !
Les grands gagnants sont accompagnés par la FDJ. En effet, se retrouver du jour au lendemain millionnaire, ne se gère pas forcément de manière simple.
Être gagnant à la loterie, peut parfois procurer des joies… en série, comme nous le conte l’humoriste belge Renaud RUTTEN.
«Les gens qui ne rient jamais ne sont pas des gens sérieux»
(Alphonse Allais)
Chers lecteurs, puisse ce moment de détente, être le prélude à une fin de semaine agréable. Je vous aime et vous salue.
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