INTRODUCTION 

Notre quotidien se déroule, avec ses hauts et ses bas. Notre monde s’écroule et beaucoup ne le voient pas. En prenant du recul, une fois cela comprit, s’ouvre pour chacun de nous, les perspectives d’une nouvelle vie. Loin du tourbillon médiatico-politique, retrouvons qui nous sommes vraiment.

Comprenons le sens de notre vie. Ici et maintenant, exploitons-le pleinement. Rayonnons notre puissance d’amour, pour surmonter cette période difficile. Nous pourrons ainsi aider, tous ceux qui doutent et s’interrogent encore. C’est la somme de nos actions individuelles, qui fera le bonheur collectif.

« Sois le changement que tu veux voir dans ce monde »
(Gandhi)

 

QUAND LES MOTS ET LES GESTES « SONNENT » JUSTE

Fanatiques de rugby ou pas, nous sommes toujours impressionnés de voir la rituelle  « mise en condition » de l’équipe de Nouvelle-Zélande, juste avant la partie : le haka.

Depuis plus de mille ans, il est ancré dans les traditions de la culture maorie, peuple autochtone de la Nouvelle-Zélande.

Le Haka était initialement pratiqué par les Maoris pour diverses occasions, comme des cérémonies de bienvenue pour les invités de haut rang, des mariages, des funérailles et des rassemblements tribaux.

Chaque tribu avait son propre Haka, avec des gestes et des paroles spécifiques transmis de génération en génération. Ces danses sont une forme d’expression artistique et culturelle, mettant en valeur la fierté, la bravoure et l’identité tribale.

Il a eu un rôle marquant lors des guerres menées par les tribus maories. Redoutables guerriers, ils se servaient du Haka, pour défier leurs ennemis et de psychologiquement les déstabiliser.

Aujourd’hui, le Haka est devenu une partie intégrante de l’identité néo-zélandaise. Il est exécuté dans divers contextes, notamment dans le sport, lors de représentations culturelles et lors d’événements nationaux et internationaux.

Sa représentation la plus célèbre est certainement celle des All Blacks, l’équipe nationale de rugby de Nouvelle-Zélande, avant chaque match.

Beaucoup d’entre nous, et plus particulièrement notre monde politique, en son entier, ne cessent de répéter : « il faut que » ou encore « il n’y a qu’à ».

En octobre dernier, Hana-Rawhiti MAIPI-CLARKE, est devenue à 21 ans, la plus jeune élue de l’histoire du Parlement néo-zélandais. Regardez son haka, lors du discours inaugural au parlement. Nul doute que cette jeune femme va exercer son mandat avec une totale implication.

Nous vivons une période de notre histoire, particulièrement troublée. Ne serait-il pas temps de dire « faisons » et encore mieux, que chacun de nous commence à agir ?

Revenons, à nos racines, à nos traditions. Soyons fiers de qui nous sommes, en tant que peuple, à l’image des Maoris. Merci à eux, de la leçon de vie qu’ils nous donnent.

Comme vous pouvez le voir, l’équipe de Nouvelle-Zélande de rugby en fauteuil roulant, les Weel Blacks, débute elle aussi, ses rencontres avec son haka.

Pour percevoir réellement ce que le haka exprime et représente, regardez celui exécuté par les invités des mariés, lors de leur noce. Vivez avec la mariée, sa profonde émotion. Vivez avec le marié, la totale communion avec ses amis.

Nous aussi, exprimons notre « ras le bol » du grand théâtre de la vie actuelle, avec nos tripes et sans langue de bois. Puis agissons, chacun à notre niveau, pour changer ce monde. Réveillons et exprimons les forces créatrices qui sont en nous.

« La seule chose qu’on est sûr de ne pas réussir est celle qu’on ne tente pas »
(Paul-Émile Victor)

Chers lecteurs, prenez soin de vous. Je vous aime et vous salue.

 

ET MES SOUS DANS TOUT ÇA ?

 Vous avez pris conscience de la gravité de la situation et vous tenez à préserver votre patrimoine matériel et spirituel, du chao qui arrive.
Les rendez-vous d’Hubert vous permettent de bénéficier de mon expérience, pour anticiper et exploiter au mieux, l’évolution de la situation.
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