Introduction :

Les dirigeants des principaux pays « occidentaux » gouvernent par la peur et la manipulation des peuples. C’est un fait. Cette entreprise de démolition est parfaitement planifiée et organisée. Il revient à chacun de nous de s’informer et se réinformer, afin de comprendre ce qui se passe réellement.

La crise majeure qui se développe sous nos yeux, alors que beaucoup de personnes ne la voient pas encore, va engendrer de nombreux et irrémédiables dégâts (ruines personnelles,  professionnelles, faillites d’états …). Elle est également porteuse d’opportunités, qui peuvent changer le cours de votre vie.

Faut-il encore les percevoir, les comprendre et les exploiter. Toutes ces possibilités sont dans la lettre confidentielle : « Les rendez-vous d’Hubert ». Bénéficiez de l’accès exclusif à des solutions pratiques. Rejoignez, dès maintenant, les personnes qui en profitent déjà.

« Mieux vaut prendre le changement par la main, avant qu’il ne nous prenne par la gorge »
(Winston Churchill)

 

Analyse d’un machin européen :

Comment ? Vous ne connaissez pas le plan de relance pour l’Europe « Next Generation EU » ?

  • « C’est bien plus qu’un plan de relance. Il s’agit d’une occasion unique de sortir plus forts de la pandémie, de transformer nos économies et de créer des possibilités et des emplois pour l’Europe dans laquelle nous voulons vivre. Nous avons tout ce qui est nécessaire pour y parvenir. Nous avons la vision, nous avons le plan et nous avons convenu d’investir 806,9 milliards d’euros ensemble».

Au cœur de « Next Generation EU » … il y a un « plan de l’Union pour sortir plus forte et plus résiliente de la crise actuelle ». Il est matérialisé par « un instrument temporaire » poétiquement nommé : « La facilité pour la reprise et la résilience » (FRR). Grâce à cet instrument :

  • « La Commission lève des fonds en empruntant sur les marchés des capitaux (émission d’obligations au nom de l’UE). Ces fonds sont ensuite mis à la disposition de ses États membres pour mettre en œuvre des réformes et des investissements ambitieux qui :
    • rendent leurs économies et leurs sociétés plus durables, plus résilientes et mieux préparées aux transitions écologique et numérique, conformément aux priorités de l’Union;
    • s’attaquent aux défis recensés dans les recommandations par pays formulées dans le cadre du Semestre européen pour la coordination des politiques économiques et sociales».

Vous l’avez compris, derrière cet alléchant programme publicitaire, c’est un machin supplémentaire, qui nous enfonce un peut plus chaque jour, dans un monde régit par l’omniprésente administration européenne. Rien de tel pour noyer le poisson et déresponsabiliser, aussi bien les citoyens que nous sommes, que les fonctionnaires chargés de faire fonctionner ces dispositifs.

Comme il n’est pas question de gaspiller un seul centime d’Euro de nos sous… la Cour des comptes européenne (CCE) a déjà publié plusieurs rapports sur la FRR. Notamment sur l’évaluation des plans de relance nationaux, le système de contrôle et la gestion de la dette. La semaine dernière, elle a publié le rapport spécial n° 26/2023 consacré au « cadre de suivi de la performance de la FRR ».

Pôôôvres français franchouillards francophones que nous sommes. Ce rapport n’existe… qu’en anglais, alors que le français est une des langues officielles de l’Union européenne. Vous avez dit bizarre ? Comme c’est étrange !

Dis donc, l’ami Hubert, tu ne nous ferais pas une crise d’anglophobie aiguë ? Que nenni, chers lecteurs, que nenni. Je partage ce que répète inlassablement Valérie BUGAULT (diplômée complotiste), que les fidèles lecteurs de mes écrits connaissent bien. À l’échelon bruxellois, pratiquement tout est rédigé dans l’esprit juridique anglo-saxon. Il est très différent de notre droit latin et est particulièrement défavorable à l’individu, face aux trusts et compagnies en tout genre.

Pour résumer cet audit, la Cour des comptes recommande à la commission :

« De garantir un cadre complet de suivi et d’évaluation des performances. Améliorer la qualité des données sur les indicateurs communs. Améliorer la transparence et la qualité des données présentées dans le tableau de bord et garantir des rapports plus informatifs et cohérents, alignés sur toutes les exigences légales ».

Autrement dit : peu mieux faire en matière de suivi, de qualité des données, de cohérence et … de respect de « toutes les exigences légales ». Ça fait beaucoup à améliorer, non ?

Souvenons-nous, le moment venu des élections, que l’Europe n’est pas seulement là pour avoir la même monnaie nous permettant de payer aisément nos repas en vacances. Elle est certes, utile, mais elle doit surtout être SIM PLI FIÉE !

« Il n’y a que deux pouvoirs dans le monde… l’épée et l’esprit.
À long terme, l’épée est toujours vaincue par l’esprit »
(Napoléon Bonaparte)

Chers lecteurs, europhiles ou europhobes, je vous aime et vous salue.