Introduction :

Chers lecteurs, nous vivons une époque formidable ☺. En effet, depuis l’épisode « Corona manipulus », nous sommes à même de voir et de comprendre ce qui se passe réellement, au niveau mondial, pour ce qui est du projet de société des mondialistes apatrides.

Faut-il, pour cela, avoir le courage de remettre en cause nos « certitudes » et notre « confort », façonnés par des décennies de manipulations. L’humanité, dans son ensemble, est victime du « syndrome de la grenouille ». Le sachant, il est plus facile de prendre conscience de l’Être que nous sommes vraiment et de nos réels pouvoirs, afin d’agir pour notre bien et celui de l’humanité. C’est l’ambition de mes différents écrits, de vous y aider.

 

On peut discuter de tout, sauf des chiffres :

Parmi les informations communiquées par la banque de France, que je suis « comme le lait sur le feu », figurent les placements financiers des sociétés d’assurance.

Celles relatives au premier trimestre 2023 viennent d’être publiées. Dès la lecture du titre (en gras), nous sommes rassurés :

  • « L’encours de placements des assureurs progresse de 53 milliards au premier trimestre 2023 ».

C’est tout juste s’il est nécessaire de lire les deux pages du communiqué. Mes réflexes de « complotiste » m’incitent à poursuivre la lecture, jusqu’à la fin du premier paragraphe :

  • «  À fin mars 2023, l’encours de placements financiers des assureurs s’établit à 2 422 Mds €, en hausse de + 53 Mds € au premier trimestre 2023. La hausse provient principalement d’une revalorisation positive des placements (+ 39 mds) et, dans une moindre mesure, de flux nets de placements positifs (+ 14 Mds)».

Manifestement, tout va bien dans le monde de l’assurance, comme le confirme « L’argus de l’assurance ». Mais… j’ai des doutes !

Dis-donc, l’ami Hubert, ne te laisserais-tu point aller à une poussée de « négativisme compulsif » ? Que nenni, chers lecteurs, que nenni. Il me semble avoir en mémoire un montant d’encours plus important.

Pratiquant avec application le quatrième accord Toltèque, que les abonnés aux « Rendez-vous d’Hubert » connaissent bien : « Fais toujours de ton mieux », je décide d’en avoir le cœur net !!!

Me saisissant à deux mains, de ma souris et de mon clavier, j’entame alors une séquence de frénétiques recherches parmi mes nombreuses sources et archives.

Une fois en possession de toutes les données nécessaires, je me lance dans l’élaboration de deux tableaux pour comparer les performances des placements des assureurs, avec les résultats de la bourse de Paris, plus précisément, le CAC 40.

Je commence ces tableaux au 1er janvier 2019, donc avant le « Corona-manipulus ». Les voici, sans plus tarder :

Ils m’inspirent ces quelques remarques  :

  • L’encours des assureurs, autrement dit, la réserve qui sert à honorer leurs engagements vis-à-vis des assurés, a eu son point culminant au 4è trimestre 2021. Depuis, il ne cesse de « fondre »… c’est certainement un effet du réchauffement climatique ☺.
  • Sur la même période, année après année, le CAC 40 a toujours été plus performant, à part la période de « Corona-confinibus» !!!
  • Sur un an glissant (T1 de 2022 à T1 de 2023), les placements des assureurs enregistrent une perte de 10,33%. Rassurez-vous, en langage politiquement corrrrect, il s’agit d’une « valorisation négative » de 10,33% !!!
  • Il est ici utile de rappeler que ces placements financiers (biens virtuels) représentent 83,5% de la totalité de leurs placements. L’immobilier (biens réels) en représente, seulement 5,6% !!!
  • Voilà de quoi pondérer, ne pensez-vous pas ? l’annonce triomphante du communiqué : « L’encours de placements des assureurs progresse de 53 milliards au premier trimestre 2023» ☹.

Je soumets modestement ces quelques chiffres à ceux d’entre vous qui honorent encore « Saint Assureur », afin qu’ils l’implorent de « faire un miracle », faute de quoi… « ite missa est » ou, en bon français, la messe est dite !!!

 

Chers lecteurs, rassurez-vous en vous « désassurant » (évidemment, uniquement pour ce qui est de l’assurance vie, pas de l’assurance décès, ni de l’assurance dommages). Je vous aime et vous salue.