Introduction :

Chers lecteurs, nous vivons une époque formidable ☺. En effet, depuis l’épisode « Corona manipulus », nous sommes à même de voir et de comprendre ce qui se passe réellement, au niveau mondial, pour ce qui est du projet de société des mondialistes apatrides.

Faut-il, pour cela, avoir le courage de remettre en cause nos « certitudes » et notre « confort », façonnés par des décennies de manipulations. L’humanité, dans son ensemble, est victime du « syndrome de la grenouille ». Le sachant, il est plus facile de prendre conscience de l’Être que nous sommes vraiment et de nos réels pouvoirs, afin d’agir pour notre bien et celui de l’humanité. C’est l’ambition de mes différents écrits, de vous y aider, y compris, avec de l’humour ☺.

 

Le plus beau moment de la journée de commémoration de notre fête nationale est la parade militaire, sur les Champs-Élysées.

Certains parmi vous le savent, les sapeurs-pompiers de Paris sont des militaires, précisément, de l’arme du génie. Les marins-pompiers de Marseille sont aussi des militaires, de l’arme de ma marine. Pour être complet sur le sujet, dans les moyennes et grandes villes de France, les sapeurs-pompiers sont des fonctionnaires territoriaux et dans les plus petites communes, ils sont des volontaires.

Les sapeurs-pompiers de Paris ont l’insigne honneur de défiler deux fois sur les Champs-Élysées, lors de la parade du 14 juillet : une première fois, parmi les troupes à pied et une seconde fois, comme dernière unité du défilé des troupes motorisées.

Dans mon Andalousie d’adoption, le 14 juillet est un jour « normal ». En conséquence, je travaille comme les autres jours ouvrés. Cela étant, j’ai toujours à cœur de suivre à la télévision, le défilé sur les Champs-Élysées et plus particulièrement, le moment où passent mes frères d’armes. Nostalgie, quand tu nous tiens .

Les plus anciens d’entre nous se souviennent certainement de l’immense artiste comique, Fernand RAYNAUD et de ses inénarrables histoires drôles. Il m’était donc tout à fait évident de partager avec vous, sa vision toute personnelle, du « défilé ».

« L’humour a non seulement quelque chose de libérateur, mais encore quelque chose de sublime et d’élevé »
(Sigmund Freud)

Chers lecteurs, je vous aime et vous salue.