Que valent vraiment nos billets de banque ?

7 Oct, 2021 | 0 commentaires

Introduction

Si nous sommes pris par les « élites » pour les « idiots » que nous sommes devenus, c’est à nous seuls qu’il appartient de ne pas le rester.

Chers nouveaux lecteurs, permettez-moi, en quelques lignes, de « planter le décor ». Pour les plus anciens, vous pouvez passer directement au sujet du jour.

Les évènements que nous subissons et que nous allons encore subir sont annoncés sur ce blog, depuis 2012. Je n’utilise pas de boule de cristal, mais je collecte et recoupe énormément d’informations. Cela me permet d’extraire les plus pertinentes. Ce recul m’amène à formuler des anticipations cohérentes.

Accéder à une masse d’informations souvent payantes, les vérifier, les trier, prends beaucoup de temps. Dans la vie, il n’y a pas de repas gratuit. Mon travail de lanceur d’alertes à un coût et donc un prix. J’offre gratuitement à un large public, un grand nombre de billets qui traitent de l’écume des choses. Pour m’aider à poursuivre ce travail, je ne demande pas de dons et n’ouvre pas de « cagnotte ».

Si vous êtes prêts à regarder en face une réalité, parfois dérangeante, mais toujours porteuse d’espoir, abonnez-vous aux « Rendez-vous d’Hubert ». En plus de bénéficier de solutions pratiques pour affronter sereinement la période compliquée qui est devant nous, ce sera votre manière de m’aider concrètement à améliorer la qualité de mon travail.

 

Sujet du jour : La réelle valeur de l’or physique.

µ Vous je ne sais pas, mais moi je ne comprends plus rien à l’économie et encore moins aux discours des « économistes de plateau télé ». Je suis, tout comme vous chers lecteurs, une personne qui constate simplement qu’avec un billet de 50 euros… de semaine en semaine, les produits chez les commerçants sont de moins en moins nombreux dans mon sac.

Pour ce qui est du prix de l’énergie, je crains que les augmentations récentes ne soient rien à côté de celles qui sont devant nous. Le « bouclier tarifaire » de notre si sympathique premier ministre pourrait être interprété par des mauvaises langues, comme une manœuvre en vue la prochaine élection présidentielle.

Taisez-vous, complotistes. Pourquoi voulez-vous que notre cher « Jupiter premier » se présente à nouveau au suffrage universel ? Il a déjà pris tellement de décisions impopulaires (attendez-vous à d’autres, encore pires) qu’il sait très bien qu’il n’a aucune chance d’être réélu !!!

Allo, allo ? Oui Madrilou, je t’écoute comment ? Tu me dis « qu’il va y aller » ? Et même qu’il s’y emploie de plus en plus activement ? Ah bon ! décidément, je ne comprends rien à la politique !!!

Je vais donc revenir à l’économie ou, même si je suis un peu perdu, « c’est moins pire » que pour la politique ou, apparemment, je me trompe complètement ☹. Je soumets à votre analyse, chers lecteurs, juste deux graphiques :

Le premier représente la valeur en l’or d’un dollar qui, je vous le rappelle, est quand même encore (plus pour très longtemps) la monnaie du monde.

Le second graphique, tout aussi parlant me semble-t-il, est celui de la « progression » de l’indice phare de la bourse américaine, le Nasdaq.

Ces deux graphiques ont pour origine l’année 1971, celle où le président américain de l’époque (Richard NIXON) a supprimé la convertibilité (un peu théorique) du dollar en or. C’était précisément le 15 août 1971.

Dans le premier, nous constatons que le dollar a perdu 98% en termes réels. Pour ce qui est du Nasdaq, il est à 59 points en 1976 … 1900 en 2009 et 14 600 aujourd’hui. Il a doublé entre 2020 et 2021 !!!

Bien que d’un naturel optimiste, je trouve cela beaucoup plus inquiétant que réjouissant. Et vous, qu’en pensez-vous ?

À ceux qui disent « l’or est cher », je ne cesse de répéter que ce n’est pas « l’or qui monte », mais le pouvoir d’achat de toutes les monnaies fiduciaires qui baisse. Ceux qui ont suivi mes conseils d’achat d’or physique en 2007 (lingot à 15 000 €) ont aujourd’hui un lingot qui vaut 48 700€. Un futur multiple d’au moins cinq ne m’apparait pas déraisonnable, car la réelle crise mondiale n’est pas sanitaire, mais bien monétaire et elle est devant nous. Ouvrez les yeux, je vous en prie !

« Que sert à l’homme de gagner l’univers s’il n’a pas de culotte pour passer l’hiver ? »

(Proverbe québécois)

Chers lecteurs, croyants ou incroyants (dans l’or), je vous aime et vous salue.

Mots clés : Dollar, Nasdaq, Or physique

0 commentaires

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

LETTRE D’INFORMATION


DERNIERS BILLETS MIS EN LIGNE


Certificats d’économie d’énergie : vous avez dit économie ?

Certificats d’économie d’énergie : vous avez dit économie ?

Le dispositif des certificats d’économies d’énergie (CEE), créé en 2005 pour inciter à la maîtrise de la consommation énergétique, est dénoncé comme complexe, opaque et coûteux. La Cour des comptes juge ses résultats difficiles à mesurer et entachés d’un fort effet d’aubaine. Financé hors budget de l’État, son coût — environ 5,3 milliards d’euros par an — est répercuté sur les factures des ménages et des entreprises. Ce mécanisme ferait ainsi peser directement sur les consommateurs le financement de la politique énergétique.

Laizinjeccions : on peut débattre de tout, sauf des chiffres !

Laizinjeccions : on peut débattre de tout, sauf des chiffres !

Une étude de l’AIMSIB analysant les données officielles de 28 pays européens pour explorer les corrélations entre mortalité toutes causes confondues et injections anti-Covid. Les auteurs y affirment que les corrélations positives…

Banques et assurances françaises ? Tout va bien !

Banques et assurances françaises ? Tout va bien !

Le système bancaire français reste globalement solide fin 2024, malgré une légère hausse du risque de crédit, surtout pour les PME et la consommation. Les assureurs affichent une collecte en hausse et un marché en croissance, mais leur ratio de solvabilité recule et leurs placements, très majoritairement en valeurs mobilières, interrogent sur leur résilience réelle.

Le changement climatique n’est pas catastrophique. Si c’est Bill qui le dit !

Le changement climatique n’est pas catastrophique. Si c’est Bill qui le dit !

évolution des discours sur le changement climatique : certains dirigeants comme António Guterres appellent toujours à agir, tandis que d’autres figures – Ted Nordhaus, Bill Gates ou certains rapports scientifiques récents – nuancent ou revoient leurs positions sur l’impact du CO₂ et les scénarios catastrophistes. Le texte s’interroge enfin sur les enjeux économiques liés aux marchés du carbone et appelle à passer à l’action.

SOCIAL