Introduction
Si nous sommes pris par les « élites » pour les « idiots » que nous sommes devenus, c’est à nous seuls qu’il appartient de ne pas le rester.
Chers nouveaux lecteurs, permettez-moi, en quelques lignes, de « planter le décor ». Pour les plus anciens, vous pouvez passer directement au sujet du jour.
Les évènements que nous subissons et que nous allons encore subir sont annoncés sur ce blog, depuis 2012. Je n’utilise pas de boule de cristal, mais je collecte et recoupe énormément d’informations. Cela me permet d’extraire les plus pertinentes. Ce recul m’amène à formuler des anticipations cohérentes.
Accéder à une masse d’informations souvent payantes, les vérifier, les trier, prends beaucoup de temps. Dans la vie, il n’y a pas de repas gratuit. Mon travail de lanceur d’alertes à un coût et donc un prix. J’offre gratuitement à un large public, un grand nombre de billets qui traitent de l’écume des choses. Pour m’aider à poursuivre ce travail, je ne demande pas de dons et n’ouvre pas de « cagnotte ».
Si vous êtes prêts à regarder en face une réalité, parfois dérangeante, mais toujours porteuse d’espoir, abonnez-vous aux « Rendez-vous d’Hubert ». En plus de bénéficier de solutions pratiques pour affronter sereinement la période compliquée qui est devant nous, ce sera votre manière de m’aider concrètement à améliorer la qualité de mon travail.
Sujet du jour : En matière d’assurance, les promesses n’engagent que ceux qui les croient.
Dans un communiqué sur son site le 4 courant, la fédération française de l’assurance (FFA) nous livre une information capitale qui aurait pu nous échapper en cette période ou le « Corona-manipulus » rivalise avec les « injections bienfaisantes » pour nous occuper l’esprit. Comment se peut-il que cette fabuleuse nouvelle n’ait pas été relayée par les « merdias de grand chemin » ? Pour vous montrer à quel point je vous aime et pour réparer cette « injustice médiatique », je vous livre cette information capitale :
« Épargner responsable grâce à mon assurance vie… c’est possible ! »
Afin de nous aider à bien comprendre l’intérêt de le faire, une brochure de onze pages nous explique que :
« l’épargne responsable, c’est placer son argent pour l’avenir tout en ayant un impact positif sur la société.
C’est appliquer les principes du développement durable à son épargne ».
Le « développement durable », c’est beau, ça « sonne bien » et cela donne envie de placer ses économies dans cet enthousiasmant projet. Mais au fait, c’est quoi le « développement durable » ?
Coucou les amis. Bonjour, c’est Madri ☺☺☺. Je vois qu’Hubert à besoin de mes lumières. Je vais vous en faire profiter en même temps que lui. Pour l’INSEE : « Le développement durable est « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». C’est très clair. Me souvenant qu’un beau dessin vaut mieux qu’un long discours, je vous joins celui de Wikipédia relatif au développement durable :
Merci, cher Madrilou, je vois que tu es toujours aussi réactif. Tu as fini de me convaincre. Je vais toutes affaires cessantes, prendre rendez-vous avec le conseiller financier de ma banque.
Comment ? Tu me dis : « pas tout de suite » ? Pourtant dans la brochure de la FFA, il est écrit :
« La prise en compte de critères environnementaux, sociaux et de gouvernance ne compromet pas la performance potentielle, qui demeure comparable à celle d’un produit financier de même type (actions, obligations, titres monétaires, etc.) à niveau de risque équivalent ».
Je ne comprends pas ta réticence !!! Comment ? Tu insistes en précisant qu’il est nécessaire de se poser la question de la capacité des assureurs à honorer leurs « belles promesses » ? Tu me dis que j’ai « la mémoire courte » ??? Là tu exagères !!!
« Bon sang, mais c’est bien sûr »… j’oubliais que dans le numéro des « Rendez-vous d’Hubert » mis en ligne aujourd’hui, je montre pourquoi il faut relativiser la capacité des assureurs à tenir leurs engagements. J’explique aussi ce qu’il faut penser de la garantie décès, face aux nouveaux risques induits par les effets secondaires des « injections anti-Covid ». Merci, cher Madrilou, encore une fois, tu as raison.
« L’homme de peu colore toujours de belles apparences les fautes qu’il a commises »
Chers lecteurs, crédules ou pas, je vous aime et vous salue.
