Introduction

Si nous sommes pris par les « élites » pour les « idiots » que nous sommes devenus, c’est à nous seuls qu’il appartient de ne pas le rester.

Chers nouveaux lecteurs, permettez-moi, en quelques lignes, de « planter le décor ». Pour les plus anciens, vous pouvez passer directement au sujet du jour.

Les évènements que nous subissons et que nous allons encore subir sont annoncés sur ce blog, depuis 2012. Je n’utilise pas de boule de cristal, mais je collecte et recoupe énormément d’informations. Cela me permet d’extraire les plus pertinentes. Ce recul m’amène à formuler des anticipations cohérentes.

Accéder à une masse d’informations souvent payantes, les vérifier, les trier, prends beaucoup de temps. Dans la vie, il n’y a pas de repas gratuit. Mon travail de lanceur d’alertes à un coût et donc un prix. J’offre gratuitement à un large public, un grand nombre de billets qui traitent de l’écume des choses. Pour m’aider à poursuivre ce travail, je ne demande pas de dons et n’ouvre pas de « cagnotte ».

Si vous êtes prêts à regarder en face une réalité, parfois dérangeante, mais toujours porteuse d’espoir, abonnez-vous aux « Rendez-vous d’Hubert ». En plus de bénéficier de solutions pratiques pour affronter sereinement la période compliquée qui est devant nous, ce sera votre manière de m’aider concrètement à améliorer la qualité de mon travail.

 

Sujet du jour : Quelques réflexions d’ordre spiritualo-maritime.

Il n’échappe à aucun d’entre nous que la période actuelle est pour le moins… mouvementée. Tout s’accélère et plus rien ne semble avoir de sens. Le monde tangue, tel un bateau ivre. Une bonne partie des populations « suit le mouvement », se disant qu’après la tempête, vient le beau temps. Que tout cela finira par s’arranger et que les choses reviendront « à la normale ».

Et si ce « Corona-interrogatus » était survenu pour nous obliger à réfléchir sur ce que nous faisons de notre vie ? De fait, cette pseudo crise sanitaire a, de manière pour le moins inattendue, mis à l’arrêt le fonctionnement habituel de nos sociétés autant que modifié notre manière de voir les choses.

Pensez-vous sincèrement qu’un phénomène d’une pareille ampleur soit le fait du « hasard » ? Je vous invite aujourd’hui, à mettre de côté la question : « qui a déclenché tout ça ? », car elle est secondaire.

Depuis des temps immémoriaux, l’humain ne cesse d’affirmer sa prééminence, détruisant et massacrant consciencieusement une partie du monde animal et végétal, oubliant « avec aisance et décontraction », qu’ils contribuent à l’équilibre de la planète. Sans eux, nous n’existerions pas alors que sans nous, ils continueront d’être. Comme si cela n’était pas suffisant, une partie infime d’entre nous, ne cesse de vouloir dominer, par tous moyens, le reste des humains.

Qu’est-ce aujourd’hui, une vie « normale » ? La venue au monde dans une famille « choisie » qui ne va avoir de cesse, espérant le plus souvent « faire notre bonheur », de nous formater pour être compatible avec les règles de bon fonctionnement de la « société ». S’en suit une « éducation » qui a pour objet de nous éloigner du monde et de l’humain en créant un esprit de compétition permanent.

Le « doux rêveur » est écarté au profit du « fort en thème ». Chacun pour soi, il faut être meilleur que les autres, supérieur à tous et tout !!! Certains ne peuvent ou refusent de suivre cette voie et se retrouvent marginalisés. Les autres continuent cette âpre compétition pour grappiller quelques miettes de pouvoir sur leurs camarades moins « chanceux ».

En résulte : une bonne situation, une belle maison pour abriter dignement le conjoint idéal et les enfants au devenir exceptionnel. Il est vrai que parfois souvent, cette trajectoire exemplaire est émaillée de quelques accidents de parcours (dépression, alcool, drogue, divorce, parfois suicide), mais « la réussite » vaut bien de s’exposer à quelques risques !!! De toute façon, étant le meilleurs, tous ces déboires ne toucheront que les autres !!!

Plus ou moins usé par ces péripéties, arrive le temps des regrets (j’aurais pu faire autrement, si j’avais su…) et par conséquent, l’irrésistible besoin de « bien armer » les enfants pour qu’ils aient une vie meilleure. La boucle est bouclée !!!

« Métro, boulot, dodo » ou bien « belle voiture, boulot, soirées festives, dodo », notre court passage sur terre se résume-t-il à cela ? L’épisode « Coronacambolesque » nous amène fort opportunément à constater que NON.

Chers lecteurs, prenons le temps de lire des livres faits de papier, d’écrire avec un stylo plume, de davantage parler (en face à face et non par SMS) avec des voisins, des collègues, des commerçants. Prenons le temps de contempler les fleurs, les arbres, la nature, les animaux. Les remercier tous « d’être là » car ils font partie de la vie, de notre vie.

Prenons le temps (le plus souvent possible) de nous isoler et dialoguer avec notre être intérieur (celui que nous sommes vraiment) pour nous rendre compte à quel point nous sommes de belles personnes. Prenons le temps de nous aimer davantage avant de vouloir aimer et aider les autres. Prenons le temps de nous faire plus confiance. Disons et redisons à ceux qui nous sont chers, à quel point nous les aimons, sans attendre qu’ils disparaissent. Prenons simplement le temps de VIVRE☺☺☺.

Alors sur quel bateau allons-nous embarquer ? Celui du monde actuel, qui se meurt ou celui du monde de demain, avec ses incertitudes, mais aussi ses merveilleuses perspectives ?

 

Coucou c’est Madri. Bonjour les amis ☺☺☺. Ce qu’Hubert oublie de vous dire écrire, c’est que dans ses « rendez-vous », il nous comte une merveilleuse histoire : celle de l’évolution de l’humanité… pardon, « d’Humanitu ».

Deux navires voguent de conserve. Au fil du temps, quel va être la décision des passagers du COROTANIC ? Continuer de supporter la dégradation de la vie à bord ou bien enjamber le bastingage et enfin VIVRE, sur le SÉQUOISSA ? Nous en sommes déjà au huitième acte.

 

Merci, cher Madrilou, de faire la promotion de mes écrits. Je sais pourquoi je t’aime tant☺.

« Nous ne sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle.

Nous sommes des êtres spirituels vivant une expérience humaine »

(Pierre Teilhard de Chardin)

Chers lecteurs, quelque soi le bateau que vous déciderez de choisir, je vous aime et vous salue.