Dans mon billet du 14 juin dernier, je vous faisais part du fait qu’une récente loi de l’état de Washington rendait possible la « transformation » du corps d’un défunt en compost. Toujours à propos de la mort, avec la vision australienne de la chose… Voici « le Sarco » !!!

Non, non. Ne croyez pas que les Australiens veulent euthanasier notre « cher Nicolas ». Ce serait dommage pour lui, alors qu’il espère, semble-t-il, refaire un tour du côté de…l’Élysée…

Mourir, lui ? Jamais. Il aime trop la vie. De plus, c’est un homme de « passions ».

Le « Sarco », c’est tout simplement « un appareil euthanasique qui utilise l’azote liquide afin de diminuer progressivement la quantité d’oxygène, afin de procurer une mort paisible en l’espace de quelques minutes ». Le concepteur de cet « appareil » est le docteur Plilip Nitschke, fondateur et directeur de la société australienne « Exit international ». Fondée en 1997, elle « est unique dans le mouvement du droit de mourir au niveau mondial en ce sens qu’il représente une approche des droits de l’homme (non médicale) du droit d’une personne à déterminer le moment et la manière de sa mort ». Quel programme.

La description est « très alléchante »   :

  • L’élégance du design suggère l’occasion de voyager vers une « nouvelle destination ».
  • Les personnes atteintes d’un handicap important ne sont pas désavantagées. L’activation par le mouvement des yeux ou la commande vocale est prévue.
  • Le but de Sarco est d’éliminer tout besoin d’assistance. Ceci garantit que toute utilisation du Sarco est légale.

C’est peut être « l’occasion »… Pour ceux qui ne veulent pas vivre plus longtemps le délabrement de notre société actuelle. Vous n’y croyez pas ? Profitez de votre prochain voyage à Venise pour voir (ou essayer ?) le Sarco qui est exposé au Palazzo Michiel, dans le cadre de « la biennale design 2019 de Venise »… Vous avez jusqu’au 24 novembre 2019.

J’allais oublier « un détail »… L’entrée est gratuite ? ? ?.