Gardons espoir, des pouvoirs reculent

15 Mai, 2019 | 0 commentaires

Chers amis lecteurs, vous connaissez maintenant depuis longtemps l’analyse que je fais de la situation présente et mes prévisions pour le futur. Pour faire court, je pense que prochainement, très prochainement, le système financier mondial actuel verra une profonde transformation dont le dollar sera le grand perdant. Après la « remise à zéro », je pense que « le monde de demain » sera très différent de ce que nous vivons aujourd’hui. Il sera d’autant plus « beau » pour le plus grand nombre, que les initiatives pour « ne plus subir » et reprendre le contrôle de nos vies seront nombreuses, face aux « noirs desseins » de l’oligarchie mondialiste que je vous décris dans pas moins de 20 billets.

Je suis très optimiste quand je constate une accélération des initiatives « citoyennes » qui donnent des résultats positifs, à l’exemple des mouvements de boycott organisés par des groupes de consommateurs que je vous ai relatés dans ces six billets. Ou plus modestement d’un groupe de libraires qui œuvrent au renouveau de leur activité. De même, pour ce qui est de la lutte contre le changement climatique relaté dans ceux-ci. Plus significatif à mes yeux, les « mouvements d’actionnaires » qui se rebellent contre les dirigeants de grands groupes.

Oser « s’attaquer à la finance » ne relève plus d’une « vraie-fausse » déclaration politique d’un ex-candidat à la présidence de la république. C’est aujourd’hui une réalité de nombreux actionnaires.

Quand c’étaient les « fonds activistes » qui « dictaient leur loi » comme je vous le relatais dans ce billet du 26 avril 2018, nous étions dans la « finance d’hier ».

Aujourd’hui, ce sont les actionnaires d’un des grands groupes internationaux, BAYER, qui rejettent les décisions des dirigeants comme je vous en ai fait part le 2 mai dernier. Pire, ou plutôt mieux… Ce sont encore les Z’actionnaires de la banque UBS qui refusent de donner quitus à l’équipe dirigeante du groupe bancaire Suisse. Oui, les rapports de force sont en cours de modification profonde et c’est « bon pour nous ». Observons ensemble si cette tendance se confirme.

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