Introduction

Je vous offre l’ensemble de mes billets, pour élargir l’étendue de vos réflexions et ainsi augmenter le « champ des possibles », notamment, sur le plan de votre patrimoine.

Le fait de citer divers auteurs, parfois (souvent) politiquement incorrects et généralement peu ou pas cités par les « grands médias », ne signifie pas pour autant que j’approuve la vision qu’ils développent.

Étant parfaitement conscient que les avis et positions que j’exprime dans mes billets sont l’expression de ma vérité, je vous donne l’accès à mes diverses sources d’informations, afin que vous soyez en mesure d’avoir une appréciation éventuellement différente de la mienne et ainsi construire VOTRE vérité. La seule qui vaille à mes yeux.

 

DES FAITS

Mon propos n’est pas de vous faire peur, mais de vous préparer, car c’est en sachant les choses qu’on peut mieux les gérer.

 

CE QUE L’ON VOIT…OU QUE L’ON NE VEUT PAS VOIR

Tous les militaires le savent bien : voir sans être vu est primordial sur le champ de bataille, d’où la multiplication des techniques de camouflage. Regardez bien l’image qui illustre ce billet….Ne distinguez-vous pas, à gauche de la cabane, entre l’arbre fourchu et le bidon vert, des comploteurs qui scrutent votre comportement suspect ???

La théorie du complot, les complotistes, les conspirationnistes… Dès que l’on aborde le sujet de la « gouvernance mondiale », des « néocons » ou de « l’état profond », l’accusation de souscrire à la théorie du complot sonne la fin de la discussion, avant même que des échanges constructifs autant qu’instructifs, n’aient pu débuter. Le centre national de ressources textuelles et lexicales (CNRTL) nous donne les définitions suivantes du complot :

« Dessein secret, concerté entre plusieurs personnes, avec l’intention de nuire à l’autorité d’un personnage public ou d’une institution, éventuellement d’attenter à sa vie ou à sa sûreté »

Par extension « Projet quelconque concerté secrètement entre deux ou plusieurs personnes ».

Dans ces deux définitions, la notion de secret est prééminente. Or, pour ce qui est de la gouvernance mondiale, de l’état profond et des néocons, il n’y a que peu ou pas de secret… à qui prends la peine de chercher, de recouper, bref, d’être curieux. Premier réflexe de « l’internaute moyen », consulter WIKIPEDIA, la célèbre encyclopédie en ligne. Nous avons alors droit au « service minimum » : « L’État profond est une expression apparue au cours des années 1990[réf. nécessaire] et désignant, d’abord aux États-Unis, l’instance au sein de l’État et de son administration qui est véritablement et secrètement décisionnelle sur le long-terme, par-delà les changements des institutions représentatives de surface comme le gouvernement et les partis politiques1. État profond désigne plus généralement, soit le noyau de l’oligarchie ou de la classe dominante, soit l’instance représentant les intérêts des lobbies (Finance, Armement, Pétrole…), au sein d’un État bureaucratique, c’est la composante la plus restreinte, la plus agissante et la plus secrète de l’establishment (traduit en français par « établissement »).

Si le cadre général est bien posé, il me donne envie « d’aller plus loin », l’envie de consulter d’autres sources que celles des « grands merdias » qui se contentent de « servir la soupe » de leurs bailleurs de fonds. Même si, comme moi, vous ne maitrisez pas la langue de William SHAKESPEARE, beaucoup de documents en langue anglaise, qu’ils soient d’origine américaine, canadienne, russe, belge… sont traduits et accessibles en français sur Internet. Il faut et il suffit d’y passer du temps. Le fameux temps que nous font « gagner » les dernières innnnovations technologiques !!

Dans mon billet du 4 mars 2017, je vous relatais l’intéressante analyse réalisée par Jure George VUJIC, Directeur de l’Institut de géopolitique et de recherches stratégiques de Zagreb, au sujet de « l’état profond ». Je vous invite à le relire.

Fidèle à mon principe : « je suis pour vous une « béquille passagère », mais en aucun cas, un « fauteuil roulant électrique », je vais maintenant, en me gardant de toute analyse de fonds, vous proposer une lecture « différente » et disons-le tout net….Politiquement, totalement « sacrilège »,  relative à cette gouvernance mondiale qui est actuellement « à la manœuvre » dans le monde entier et qui entend façonner notre futur à son unique profit.

À propos des « néocons », je vous propose cette série de billets (1, 2, 3 et 4) rédigés par deux auteurs américains, Paul FITZGERALD et Elizabeth GOULD qui nous en content l’histoire, de leur naissance à leur prise de pouvoir sur les États-Unis. Vous pourrez juger, par de nombreux exemples sourcés, comment l’impérialisme américain conduit le monde à une totale soumission. Vous verrez les mécanismes de manipulation des masses à l’œuvre avec des racines….Très surprenantes. Le rôle des agences de renseignements dans l’entretien permanent de l’état de guerre (chaude et/ou froide) tout autour du globe. Vous comprendrez pourquoi, aujourd’hui, la chasse aux « fausses informations » est ouverte et pourquoi « il faut brider la liberté d’expression sur le Net ». C’est édifiant et remet en cause notre « lecture habituelle » des faits dont nous sommes largement gavés, après leur passage « obligé » au « filtre de la bien-pensance ».

 

Plus récemment, à l’occasion de notre dernière élection présidentielle, dans le 2ème de mes trois billets consacrés à cet évènement,  je vous citais aussi le livre du Docteur en sciences politiques et ancien diplomate canadien, Peter Dale SCOTT : « L’état profond américain », avec un sous-titre particulièrement évocateur «La finance, le pétrole et la guerre perpétuelle ». Toujours dans ce billet, je poursuivais « Bien sûr, tout parallélisme avec une récente élection française ne serait que le fruit de mon incorrrrrigible imagination, ou du hasard, ou bien…….Rendez-vous dans quelques mois sur ce blog ». Dans mon billet du 27 de ce même mois de mai 2017, j’écrivais que les grands patrons de banques françaises faisaient partie de NOTRE état profond et concluais ainsi : « Je reviendrais très prochainement sur cette « curieuse entité » et en quoi elle influence tous les pans de notre vie et donc, de nos patrimoines ». Huit mois se sont écoulés, il est donc temps de tenir mes promesses.

Je sais que cela vous manquait. Il est temps de parler (ou plutôt d’écrire) sur notre « ex-banquier, président » et sur son action. Si la France est considérée comme « la fille ainée de l’église », elle est aussi, sans conteste, la servante la plus zélée des intérêts de nos « Z’amis Z’américains ». Il faut dire que nos « hautes Z’élites politiques », tous bords confondus, sont grandement redevables au « pouvoir de l’ombre ». Mais ceci est un autre sujet, que j’aborderais dans un prochain billet. Patience, je tiens toujours mes promesses.

Le raisonnement est simple. Internet est « un danger » pour l’état profond, puisqu’il permet à « beaucoup trop de personnes » d’exprimer des idées « non conformes », voire hautement critiques, avec une audience potentiellement mondiale, quasi instantanée. Il faut donc prendre son contrôle, d’où, les récentes décisions relatives à « la neutralité du Net ». De quoi s’agit-il ? La neutralité du Net, aussi appelée neutralité du réseau, est un principe qui garantit l’égalité de traitement de tous les flux de données qui circulent sur Internet. Ce principe s’applique, quel que soit la source, la destination ou le contenu de l’information transmise sur le réseau. Aux USA, c’est la commission fédérale des communications (FCC) qui régule le secteur des télécommunications. Cette administration publique à abrogé le 14 décembre dernier la neutralité du Net, au prétexte qu’elle « freine l’investissement et l’innovation ». Cela signifie que cette autorité fédérale autorise les fournisseurs d’accès internet (FAI) à moduler la vitesse de débit Internet à leur guise. Dès lors, il m’apparait comme possible, probable, certain, que ces opérateurs feront payer plus cher pour un débit plus rapide, ou bien bloqueront certains services leur faisant « concurrence » ou ne respectent pas LEURS critères relatifs à « ce qui doit circuler » comme information. Je ne suis apparemment pas le seul à penser de la sorte.

En ce qui concerne la France, c’est l’autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) qui est l’homologue de la FCC américaine. La loi n° 2016-1321 du 7 octobre 2016, pour une république numérique, est la transposition du règlement européen n° 2015/2120 du 25 novembre 2015. Elle définit les mesures relatives à l’accès à un internet ouvert. Elle donne à l’ARCEP la mission de protéger la neutralité de l’internet (code des postes et des communications électroniques Article L 33-1).

Ce doit être l’effet du « plus pur des hasards » mais, lors de la présentation des vœux du président MACRON à la presse, début de cette semaine, le 3 janvier 2018 précisément….. Soit 21 jours après l’annonce de « nos Z’amis Z’américains »…. Quelques propos ont retenu mon attention :

  • Plusieurs fois, il a dit que « toutes les paroles ne se valent pas». (la1ère à 10mn 52’’)
  • Concernant les blogs et sites privés « coupables » de propager de fausses nouvelles « une stratégie financée pour entretenir le doute » (11mn 12’’)
  • Reprenant à son compte pour la France, l’argumentaire de la campagne « anti Russe » développée par le parti démocrate américain « une campagne présidentielle influencée » (14mn 50’’)
  • L’annonce de l’élaboration prochaine d’un texte de loi pour « encadrer » la diffusion des nouvelles : « en période électorale, les contenus des plateformes Internet n’auront plus tout à fait les mêmes règles». Le texte prévoira « de supprimer les contenus, déréférencer, fermer le compte, bloquer l’accès au site » (16mn)
  • Reprenant là encore, une « propagande américaine » digne du Maccarthysme le plus dur, « lutter contre toute tentative de déstabilisation par des services de télévision contrôlée ou influencée par des états étrangers » (17mn 18’’)
  • Plus halllllucinant encore, il est question de journalistes plus méritants que d’autres « de récompenser celles et ceux qui produisent, font œuvre de vérification et d’invention » (23mn 18’’)

Notre président peut « se revendiquer gaulliste », car ce qu’il nous annonce là, est quasiment l’égal du contrôle de l’information du pays, sous la présidence du Général de Gaulle, avec le ministère de l’information. Censure ? vous avez dit censure ???

Il est clair qu’en évoquant « toute tentative de déstabilisation par des services de télévision contrôlée ou influencée par des états étrangers », notre président visait RT. Anciennement dénommée Russia Today, RT est une chaîne de télévision d’information internationale en continu, financée par l’État russe. Elle a été lancée le 10 décembre 2005 par l’agence de presse RIA Novosti, qui l’abrite dans ses locaux moscovites. Jusqu’alors, seulement accessible sur Internet et via la Freebox, à compter du 18 décembre dernier, elle a commencé à émettre depuis ses studios de Boulogne-Billancourt, en banlieue parisienne. Autre « média russe », le site SPUTNIK France, accessible sur Internet. Pour faire plus simple, ces deux médias présentent « la vision russe » de l’actualité internationale.

Mais au nom de quoi n’aurions-nous pas droit à une vision « différente » des choses de ce monde ? Qui donc pourrait être gêné par une « contre-information ? Serions-nous trop demeurés pour ne pas être capables de faire la part des choses ? À quels intérêts, la pluralité de l’information nuirait-elle ? État profond ? Vous avez dit état profond ? C’est le moment de vous faire une opinion, alimentée par une base de sources plus diverses.

 

NE SOYEZ PLUS DES PIGEONS, DEVENEZ SEREIN

En quoi tout cela me concerne ? De toute manière, je ne peux rien faire à mon niveau. Et mes sous dans tout ça ?…… « Sois le changement que tu veux voir dans ce monde » (GANDHI).

Quels rapports entre les comploteurs, les néocons, l’état profond, la gouvernance mondiale et ma vie de tous les jours, ou mon patrimoine ? Ils sont on ne peut plus directs. En effet, pour continuer « à régner », tout ce « beau monde » a besoin de notre ignorance et de notre docilité. Soyez bien conscient que nos libertés individuelles ainsi que notre ruine financière sont « en marche »….Elles Z ‘aussi !!! Ne soyez plus victime du syndrome de la grenouille comme je vous en informais pour la première fois dans mon billet du 28 janvier 2017. Soyez curieux, informez-vous le plus largement possible en utilisant un maximum de sources diverses et contradictoires, pendant que c’est encore facile et non réprimé. Il y va de votre survie : intellectuelle d’abord, financière ensuite. Vous voyez bien que tout cela est lié.

Chers lecteurs, prenez bien soin de vous. Je vous aime et vous salue.