Introduction
Chers lecteurs, je vais vous faire une confidence « surprenante » : mon petit doigt gauche me parle !!!
Il faut vous préciser que je suis gaucher et fier de l’être, comme : Léonard de Vinci, Nikola Tesla, Ludwig van Beethoven…
Comme tous les parents le savent… un petit doigt, ça parle. Ça chuchote même à l’oreille des parents, les bêtises que font parfois les enfants sages.
Figurez-vous que mon petit doigt gauche ne cesse de me rapporter, à sa manière, ce qu’il retient des péripéties du monde. Comme vous allez le constater, il est même doté d’une certaine clairsentience. Dernier détail, je l’appelle affectueusement Madri.
Coucou, les amis, c’est Madri 😀. Je me réjouis de voir que vous allez bien. Il est vrai que je le souhaite si ardemment et avec tant d’amour, qu’il ne peut en être autrement 😍.
Solidarité européenne
Les hommes politiques européens ne cesseront jamais de nous étonner. Prenons un exemple, dans le cadre de l’Europe de la défense. Je vous résume son histoire en quatre étapes.
De 1945 à 1989 : les différentes nations d’Europe s’accordent sur la nécessité d’alliances et de rapprochements afin qu’une autre guerre n’ait plus lieu sur le territoire européen.
De 1989 à 2003 : la signature du traité de Maastricht, le 7 février 1992, voit la naissance de l’Union européenne qui renforce la paix entre ses membres. Il institue une politique étrangère et de sécurité commune.
De 2003 à 2016 : l’Europe déploie plus d’une vingtaine de missions de maintien ou de rétablissement de la paix dans le monde. Le 12 décembre 2003, les États membres adoptent une stratégie européenne de sécurité commune (PESC) autonome et complémentaire de l’OTAN :
De 2016 à 2022 : le 23 juin 2016, la Grande-Bretagne quitte l’Union européenne. Celle-ci veut alors consolider son autonomie stratégique. Ses intérêts communs sont définis dans le « livre blanc de la défense européenne » qui fixe le cap des dix prochaines années.
À cette époque, peu d’États membres consacrent plus de 2% de leur produit intérieur brut (PIB), aux crédits militaires, contrairement aux engagements pris au sommet de l’OTAN du 5 septembre 2014.
Un mois après le déclenchement de l’opération militaire spéciale (OMS) par la Fédération de Russie sur le territoire ukrainien, les gouvernements des États membres adoptent la « Boussole stratégique ».
Dans ce cadre, l’Union européenne : « élaborera de nouvelles mesures d’incitation pour que les États membres s’engagent dans le développement collaboratif des capacités et investissent conjointement dans des moyens stratégiques et des capacités de nouvelle génération ».
Pas pour les Belges
Espérons que ce « développement collaboratif » inspirera, à l’avenir, le ministre de la Défense belge. En effet, en 2018, il a commandé pas moins de 34 avions de chasse F 35 aux États-Unis d’Amérique, repoussant l’offre de la France, avec ses Rafales.
Le temps a passé et les trois premiers avions américains ont été livrés au mois d’octobre dernier. Depuis, l’armée de l’air belge est bien embêtée. Vous êtes bien loin d’imaginer la cause de ses soucis.
Au moment de réaliser les premiers entrainements de cet avion de la dernière génération, il s’est avéré que les tests de furtivité et les exercices complexes exploitant les capacités des appareils ne pouvaient être effectués… par manque de place !!!
En effet, l’espace aérien de la Belgique, figure parmi les plus restreints et les plus encombrés d’Europe. Il est fortement contraint par les couloirs du trafic civil et par sa géographie. Ce manque d’espace représente un risque pour la formation des pilotes. De plus, il limite la capacité du pays à exploiter pleinement son nouvel avion de combat.
Conclusion
L’expression «avoir les yeux plus gros que le ventre» prend ici, tout son sens. C’est une fois que les premiers avions sont livrés que l’on s’aperçoit que, pour les faire manœuvrer pleinement, il est nécessaire de négocier avec l’Italie, la Norvège et les Pays-Bas, pour utiliser leur espace aérien !
La Belgique a investi dans l’un des chasseurs les plus avancés au monde, mais son déploiement effectif dépend désormais de la capacité du pays à dépasser ses limites géographiques !
Pourquoi les décideurs belges n’ont-ils pas consulté leur petit doigt gauche, avant de lancer la commande de ces appareils ? C’est du simple bon sens, non ?
À bientôt pour de nouvelles confidences de mon petit doigt gauche. Entre-temps, prenez grand soin de votre corps et de votre esprit.
Gardez précieusement en mémoire que la personne la plus importante de votre vie, c’est vous. Ce n’est pas ce qu’en pensent les autres.
Aimez-vous et faites-vous confiance, car … vous le valez bien ! Je vous aime et vous salue.
Le temps du constat est dépassé. Il est urgent de passer à l’action.
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ils auraient du acheter le Pilatus , petit avion suisse polyvalent