Laizinjeccions : on peut débattre de tout, sauf des chiffres !

1 Déc, 2025 | 0 commentaires

Introduction

Chers lecteurs, je vais vous faire une confidence « surprenante » : mon petit doigt gauche me parle !!!

Il faut vous préciser que je suis gaucher et fier de l’être, comme :  Léonard de Vinci, Nikola Tesla, Ludwig van Beethoven…

Comme tous les parents le savent… un petit doigt, ça parle. Ça chuchote même à l’oreille des parents, les bêtises que font parfois les enfants sages.

Figurez-vous que mon petit doigt gauche ne cesse de me rapporter, à sa manière, ce qu’il retient des péripéties du monde.  Comme vous allez le constater, il est même doté d’une certaine clairsentience. Dernier détail, je l’appelle affectueusement Madri.

 

Coucou, les amis, c’est Madri 😀. Je me réjouis de voir que vous allez bien. Il est vrai que je le souhaite si ardemment et avec tant d’amour, qu’il ne peut en être autrement 😍.

Un principe

Vous n’imaginez pas à quel point la mémoire d’un petit doigt gauche est exceptionnelle. Elle me permet, aujourd’hui, de vous rappeler cette publicité gouvernementale (mensongère), qui était diffusée, ad nauseam, sur toutes les chaines de télévision, en 2021 : « On peut débattre de tout, sauf des chiffres ! ».

Du temps a passé et les priorités macroniennes ne sont plus les mêmes. Reste que la question de l’efficacité des « Z’injections salvatrices », de même que leurs graves effets secondaires, sont à mettre en lumière… au cas où !

Le recul de quatre années et de récentes études scientifiques nous permettent d’avoir des chiffres qui pourront alimenter de saines réflexions.

Des chiffres

L’association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB), que les lecteurs des écrits d’Hubert connaissent bien, vient de publier une étude fort instructive. Elle répond à cette question : « Existerait-il une corrélation entre mortalité et injection anti-Covid ? ».

Les données de l’étude sont extraites des bases officielles européennes, téléchargeables librement, à partir des liens suivants :

Elles concernent pas moins de 28 pays européens : Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Malte, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Suède.

Sont examinées par les auteurs :

  • Les données hebdomadaires de mortalité, toutes causes confondues ;
  • Les injections pratiquées pendant 200 semaines, à partir de fin décembre 2020 ;
    • Elles sont stratifiées selon 10 classes d’âge distinctes, par sexe et sur 7 doses ».

L’ensemble de ces données permet d’explorer les associations entre les taux de mortalité, toutes causes confondues, et les injections, au sein et entre les classes d’âge, ainsi que les délais entre l’injection et le décès.

Les auteurs de l’étude précisent, c’est très important :

  • « ne pas être en situation de conflit d’intérêt particulier. Ce travail n’a fait l’objet d’aucune rémunération, quelle qu’elle soit.
  • Les données utilisées pour cette étude font référence aux décès toutes causes confondues. Nous sommes donc dans l’impossibilité d’établir un lien entre les injections et les dommages générés, qui aux vues de l’histoire, sont généralement beaucoup plus nombreux dans pratiquement tous les domaines ».

Les résultats sont nets et sans équivoque :

  • « Pour la grande majorité des mortalités hebdomadaires, le nombre de corrélations positives surpasse très largement le nombre de corrélations négatives.
  • Cela confirme la létalité de ces injections et un risque beaucoup plus élevé que le bénéfice.
  • Ce résultat, confirmé pour les décès/injections à une même classe d’âge, l’est aussi pour les décès d’une classe d’âge et les injections à une autre classe d’âge.
  • Cela confirme que les effets de halo, effets indirects, ont conduit à un nombre de décès plus important que l’effet direct, principalement pour les tranches d’âge les plus âgées ».

Ce fameux « effet de halo » est caractérisé par : « les effets délétères indésirables des injections sur les personnes en contact avec les personnes injectées ».

Conclusion

Une autre étude, publiée le 26 septembre dernier, est relative à l’association entre les cancers et la vaccination contre le « Coronaentourloupus. Elle a été effectuée sur une cohorte sud-coréenne de 8 407 849 personnes, entre 2021 et 2023, à partir de la base de données de l’assurance maladie nationale coréenne.

Là encore, les résultats sont nets :

  • « Nos données ont montré des associations entre la vaccination contre la COVID-19 et une augmentation du risque de six types de cancer.
  • Compte tenu des associations observées entre la vaccination contre la COVID-19 et l’incidence du cancer selon l’âge, le sexe et le type de vaccin, d’autres recherches sont nécessaires pour déterminer si des stratégies de vaccination spécifiques peuvent être optimales pour les populations ayant besoin de vaccination contre la COVID-19 ».

Bref, ces chiffres, conséquents, méritent que l’on invite, sans tarder, nos dirigeants à débatte du fond : l’utilité et l’efficacité de ces injections, ne trouvez-vous pas ?

 

À bientôt pour de nouvelles confidences de mon petit doigt gauche. Entre-temps, prenez grand soin de votre corps et de votre esprit.

Gardez précieusement en mémoire que la personne la plus importante de votre vie, c’est vous. Ce n’est pas ce qu’en pensent les autres.

Aimez-vous et faites-vous confiance, car … vous le valez bien ! Je vous aime et vous salue.

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