Rien ne va plus : Après la pêche au gros, c’est la chasse aux gros !

2 Oct, 2025 | 1 commentaire

Introduction

Chers lecteurs, je vais vous faire une confidence « surprenante » : mon petit doigt gauche me parle !!!

Il faut vous préciser que je suis gaucher et fier de l’être, comme :  Léonard de Vinci, Nikola Tesla, Ludwig van Beethoven… je suis attentif à ce que fait ma main gauche et, plus particulièrement, son auriculaire.

Comme tous les parents le savent… un petit doigt, ça parle. Ça chuchote même à l’oreille des parents, les bêtises que font parfois les enfants sages. Figurez-vous que mon petit doigt gauche ne cesse de me rapporter, à sa manière, ce qu’il retient des péripéties du monde.  Comme vous allez le constater, il est même doté d’une certaine clairsentience.

Je le surnomme affectueusement « Madri », en rrroulant le R, comme nous le faisons, ici en Espagne. Un peut comme les Sarthois (mon épouse est sarthoise, mais, curieusement, elle ne rrroule pas les R) !

Les origines

Coucou, les amis, c’est Madri 😀. Certaines distractions, que pratique une partie d’entre vous, ne cessent de m’étonner. Parmi celles-ci, la pêche sportive en mer, appelée « pêche au gros », est la plus connue.

La pêche aux gros, ou « big game fishing », est la pêche aux gros poissons de mer : espadons, mais aussi requins, thons, etc.

Cette activité ne date pas d’aujourd’hui. C’est en Californie, le 1er juin 1898, que fut capturé, à la canne et au moulinet, le premier « tout-gros » de l’histoire.

L’armée américaine

Le mythe de l’invincibilité de l’armée américaine n’est plus qu’un lointain souvenir. Pour le constater, il suffit d’entendre le témoignage du lieutenant-colonel à la retraite karen KATAUSKI.

Elle a un doctorat en politique mondiale de l’Université catholique d’Amérique ainsi qu’une maîtrise en gouvernement de Harvard. Après vingt années de service dans l’armée américaine, elle sait de quoi elle parle lorsqu’elle la critique.

L’armée US manque de recrues et la corruption au sein du complexe militaro-industriel sont si importantes que, même avec le plus grand budget militaire de l’histoire, le pays peut à peine maintenir sa présence mondiale.

Je souris en me souvenant du titre d’un billet de « l’ami Hubert » le 12 novembre 2018 : « L’armée américaine ? à poil, je vous dis, à poil !!! » 😀.

La guerre en Ukraine vient de remettre en avant l’intérêt de disposer de « gros bataillons » pour vaincre dans une guerre de haute intensité entre états industrialisés.

Un ancien officier US, Stanislav KRAPIVNIK, décrit l’état et les capacités de l’Armée : « Si des troupes américaines étaient déployées en Ukraine pour soutenir Kiev dans son conflit avec la Russie, elles finiraient par être « anéanties ».

En février de cette année, Le porte-avions de classe Nimitz USS Harry S. Truman est entré en collision avec le vraquier Besiktas-M, au large des côtes égyptiennes.

La chasse aux gros

C’est dans ces conditions que Pete HEGSETH, le nouveau « ministre de la Guerre », a pris des décisions chocs.  À commencer par la nouvelle appellation de son ministère. De « la défense », il vient de devenir « de la guerre ».

Il a récemment déclaré :

  • « Les fils et les filles d’Amérique qui servent dans notre armée méritent les meilleurs dirigeants qui les commandent, et c’est pourquoi nous devons réformer le système de promotion au DOD (département of defense), comment nous obtenons ces dirigeants ».

Lors d’une réunion de généraux et d’amiraux de haut rang, à la base des Marines de Quantico, il en a « rajouté une couche » :

  • « Fini les drapeaux arc-en-ciel et la propagande transgenre imposés à nos soldats, qui s’entraînent pour gagner des guerres et sont prêts au sacrifice ultime.
  • Franchement, c’est fatigant de voir des troupes obèses dans les formations de combat et, franchement, dans n’importe quelle formation.
  • Il est inacceptable de voir des généraux et des amiraux obèses dans les couloirs du Pentagone et diriger le monde entier. C’est une image négative, et cela ne nous ressemble pas ! ».

Conclusion

Le secrétaire à la guerre, alias « l’ami Pete », a décidé de prendre « le taureau par les cornes » et de lancer la « chasse au gros » dans l’armée américaine ! De mémoire de petit doigt gauche, nous n’avions jamais vu cela !

 

À bientôt pour de nouvelles confidences de mon petit doigt gauche. D’ici là, prenez grand soin de vous. Je vous aime et vous salue.

Sans boussole, on marche au hasard.
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Mots clés : Armée américaine

1 Commentaire

  1. Amiot

    Cher Hubert,

    Mon gros doigt pointe la fourchette des gros barracudas du chénat et de Batignon

    https://www.ge-rh.expert/senat-repas-gastronomiques-ne-coutent-1645-euros-personne/
    la soupe est bonne.

    Jupiter 1er n’est pas en reste avec sa clique de Maltringués.

    https://contribuablesassocies.org/2024/08/22/depenses-de-l-elysee-le-president-macron-fait-exploser-l-addition/

    Plus quelques fêtes spirituelles Dragcouines hihihi

    nettement moins drôle pour les sans dents qui font tourner la France.

    https://entreprendre.service-public.gouv.fr/vosdroits/F31212

    Pour être déductibles de l’impôt sur le revenu dû l’année suivant l’engagement des frais, ceux-ci doivent remplir les 3 conditions suivantes :

    Constituer des dépenses nécessitées par l’exercice de la profession (déplacement professionnel chez un client ou repas d’affaires par exemple), et non par des convenances personnelles (les frais de l’époux ou du partenaire de Pacs sont exclus)
    Être justifiés par la distance entre le lieu d’exercice et le domicile
    Être effectivement engagés (sous réserve d’une pièce justificative, notamment facture d’un restaurant ou d’un traiteur)

    Bon appétit les gros.
    Hubert on vous aime.

    Réponse

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