Quand le génie du verbe se croit un assassin.

19 Nov, 2022 | 0 commentaires

µ Le rire de la semaine :

Nous allons passer aujourd’hui quelques très courts trop courts moments, en compagnie de Raymond DEVOS. Ce prince du maniement des mots de notre belle langue française… était un Belge !!!

Il est né le 9 novembre 1922, à Mouscron en Belgique. À 2 ans il déménage avec ses parents à Tourcoing, pour tenter l’aventure dans l’industrie textile.

À la suite de la faillite de l’entreprise, la famille « monte à Paris ». Raymond travaille alors comme coursier, libraire, crémier aux Halles, etc. Pendant la guerre, il est déporté en Allemagne, au service du travail obligatoire (STO). Il aime présenter des spectacles à ses compagnons d’infortune.

À la fin de la guerre, il prend des cours de théâtre puis se produit et part en tournée. Il se fait remarquer par Maurice CHEVALIER qui le fait passer en première partie de son spectacle. C’est le début de la consécration pour Monsieur Raymond DEVOS.

Après une carrière bien remplie (théâtre, cinéma, écriture), il nous quitte le 15 juin 2006 à Saint-Rémy-lès-Chevreuse, à la suite d’une crise d’œdème aigu du poumon.

Commençons ce bon moment en compagnie de « L’ami Raymond » avec le premier de ses textes, qui le fait connaitre du grand public : « Sens interdit ». Il est suivi de « qui tuer ? ». Terminons avec « où court-il ? ». Ils sont tous d’une criante actualité, ne trouvez-vous pas ?

« L’humour est le plus court chemin d’un homme à un autre »

(Georges Wolinski )

Chers lecteurs, merci de partager avec moi ce moment de détente. Je vous aime et vous salue.

Mots clés : Humour

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