Censure ? Vous avez dit censure ?

15 Sep, 2025 | 0 commentaires

Introduction

Chers lecteurs, je vais vous faire une confidence « surprenante » : mon petit doigt gauche me parle !!!

Il faut vous préciser que je suis gaucher et fier de l’être, comme :  Léonard de Vinci, Nikola Tesla, Ludwig van Beethoven… je suis attentif à ce que fait ma main gauche et, plus particulièrement, son auriculaire.

Comme tous les parents le savent… un petit doigt, ça parle. Ça chuchote même à l’oreille des parents, les bêtises que font parfois les enfants sages. Figurez-vous que mon petit doigt gauche ne cesse de me rapporter, à sa manière, ce qu’il retient des péripéties du monde.  Comme vous allez le constater, il est même doté d’une certaine clairsentience.

Je le surnomme affectueusement « Madri », en rrroulant le R, comme nous le faisons, ici en Espagne. Un peut comme les Sarthois (mon épouse est sarthoise, mais, curieusement, elle ne rrroule pas les R) !

Un document fort instructif est révélé au public

Coucou, les amis, c’est Madri 😀. Je m’informe aux meilleures sources, que je croise, afin d’éviter de transmettre des choses erronées à Hubert. Dans mes diverses investigations, je constate qu’il est plus difficile qu’il y a seulement quelques années, de recueillir certaines informations.

Les différents pouvoirs en place jugeant des faits « sensible », ils propagent alors, un « brouillard d’informations », qui est destiné à rendre confus et peu visible, ce qu’ils veulent nous cacher.

Dans d’autres occasions, c’est l’utilisation de la censure, partielle ou totale, de ce qu’ils veulent cacher à la connaissance du plus grand nombre. Notre cher « ami Pierrot », non pas celui qui est si souvent sollicité à propos d’une plume, mais Pierre LAROUSSE, nous définit ainsi la censure :

  • « Examen préalable fait par l’autorité compétente sur les publications, émissions et spectacles destinés au public et qui aboutit à autoriser ou interdire leur diffusion totale ou partielle. (En France, les films doivent comporter un visa de censure, le visa d’exploitation, délivré par le ministre de la Culture après avis d’une commission.) ».

L’imaginiez-vous ? Cette censure, qui s’étend de plus en plus dans cette époque troublée, est pratiquée de manière très organisée et structurée, notamment en France. C’est, une fois de plus, l’excellent France-Soir qui nous informe à ce sujet.

Son patron, Xavier AZALBERT, a récemment reçu Pascal CLÉROTTE, coauteur, avec Thomas FAZI, d’un rapport de 58 pages. Son titre, explosif, nous donne immédiatement envie de le lire : « Comment la France a inventé le complexe industriel de censure ».

Ce document est autant passionnant qu’instructif à lire. Lorsque je l’ai exposé à Hubert, celui-ci m’a aussitôt prié de vous le résumer afin de le partager avec le plus grand nombre de personnes.

Comme tout petit doigt qui se respecte, je suis animé d’un caractère plutôt indépendant, mais… je considère que les demandes d’Hubert ont, pour moi, un caractère de quasi-obligation. Préparez-vous, c’est du lourd… du très lourd !

Des révélations dérangeantes

Les fameux « Tweeter Files » révélés par Elon MUSK, lorsqu’il a racheté ce réseau social, ne sont pas propres et limités aux États-Unis d’Amérique. Le document de «l’ami Pascal» nous compte une tout autre histoire.

Dans celui-ci, il nous présente la France comme « le berceau du complexe industriel de censure » le plus efficace d’Europe. Nous avons posé : « les bases du cadre institutionnel et réglementaire sophistiqué qui désormais sévit dans toute l’Europe, notamment à travers le Digital Services Act (DSA) ».

Ce système se distingue par son approche indirecte, utilisant des : « pressions sociales, médiatiques, administratives et judiciaires exercées sur les citoyens et les plateformes », plutôt que des perquisitions directes, interdites par la loi, en matière de liberté d’expression.

Le rapport souligne que : « la censure voulue par Emmanuel Macron n’est que l’aboutissement d’un processus enclenché par son prédécesseur, le socialiste François Hollande ».

Il explique, en détail, comment des ONG, bien que prétendument indépendantes : « agissent comme des procureurs privés » pour : « imposer de manière oblique une censure préalable du contenu généré par les utilisateurs sur les plateformes ».

Elles sont « accréditées par l’État » et peuvent : « enclencher l’action publique » dans les affaires de liberté d’expression, contournant ainsi l’interdiction faite à l’État de censurer.

Le rapport nous explique l’origine historique de ce partenariat « État-ONG », qui remonte à la loi n° 72-546 du 1er juillet 1972, relative à la lutte contre le racisme. Il nous montre, preuves à l’appui, comment le dispositif a continuellement été « perfectionné » depuis, au détriment de notre liberté d’expression.

Conclusion

Ce document, que vous devez absolument lire en son entier, est direct, précis et largement documenté. Il nous prouve que la France est désormais, un acteur clé dans l’exportation de ce modèle de censure, à l’échelle européenne.

Voilà un « Cocorico » dont nous nous serions bien passés ! En effet tout cela soulève des préoccupations légitimes, quant à la liberté d’expression, non seulement en Europe, mais aussi, potentiellement, pour les citoyens américains.

 

À bientôt pour de nouvelles confidences de mon petit doigt gauche. D’ici là, prenez grand soin de vous. Je vous aime et vous salue.

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