Introduction :

L’ignorance, la peur et la manipulation sont les piliers sur lesquels s’appuient les dirigeants des principaux pays « occidentaux », pour asservir les peuples. Face à cette entreprise de démolition très bien organisée, c’est à chacun de nous qu’il revient de s’informer et se réinformer, afin de comprendre ce qui se passe réellement.

Agissons en responsable et diffusons cette information aux personnes qui sont encore dans la peur et le désarroi. Mes différents écrits participent à cette action. Je vous recommande de ne pas croire un seul mot de tout ce qui est écrit dans mes documents ou dit dans mes vidéos. VÉ RI FIEZ LE.

Pour vous y aider,  je vous donne l’accès à mes sources. Vous êtes ainsi en mesure d’avoir une opinion, éventuellement différente de la mienne, et bâtir ainsi, VOTRE vérité. La seule qui a valeur à mes yeux.

« Sois le changement que tu veux voir dans ce monde »
(Gandhi)

 

Courte vision d’un monde schizophrénique.

Mon billet du 27 septembre dernier a été repris par le site « Profession Gendarme », que je vous recommande chaudement de lire, tant ses informations sont utiles.

Parmi les commentaires, celui de « June » que je trouve, hélas, particulièrement représentatif du « monde d’aujourd’hui ». Le voici, sans autres commentaires :

Les étudiants diversifiés sont réunis dans l’amphi.
Un professeur de droit, auteur respecté d’essais à succès, entre en classe.
– Que pensez-vous des 49.3, des 11 vaccins, des chars donnés à l’Ukraine, des trans instituteurs en maternelle ? demande-t-il à Nelson.
– Je suis contre.
– Sortez de ma classe à jamais ! assène froidement le prof de droit.
Nelson dit de son petit air défiant, particulièrement exaspérant :
– Non, pourquoi ? Mes droits, etc.
Les étudiants sont effarés, scandalisés. 20% d’entre eux font honte à Nelson et, en écho au prof, lui ordonnent de dégager. Comme il persiste à rester assis, ils se mettent à dix pour l’expulser. Comme il se défend, ils le rouent de coups par-derrière. Deux ou trois étudiants (amis de Nelson) tentent de s’interposer et se font frapper à leur tour.
Quand Nelson, se dégageant, finit par coller un bon coup de poing sur l’oreille d’un des fayots cogneurs, le prof de droit surdiplômé fait appel à cinq appariteurs musclés qui emmènent Nelson et ses trois amis, ne sachant qu’en faire, vers des geôles de la république.
– Je vais porter plainte ! dit l’enseignant, se frôlant le nez de l’index. La loi, ce n’est pas fait pour ce genre d’individu !

40% des étudiants, la bouche ouverte, les yeux écarquillés restent choqués par l’attitude de Nelson et de ses amis. Trois filles pleurent, deux s’évanouissent, ce qui ne les empêche pas de hurler à la mort à quel point elles souffrent de cette attitude. Elles s’associeront à la plainte du prof de droit, jurent-elles.
– Ce Nelson et les deux autres ! dit l’une. Ils m’ont fait peur !
– C’est du viol ! dit l’autre. J’exige cent mille euros de dommages et intérêts ! Ils m’ont sortie de mon safe space !
– Nelson a critiqué mes choix de sexualité ! appuie une pâmée, fragilisée depuis les piquouses, se réveillant.
– Justice ! Les souvenirs me remontent de l’estomac ! réclame une quatrième blessée dont les sentiments crient de rage.

Les étudiants braquent leurs portables sur les victimes qui se mouchent. L’un des étudiants appelle le SAMU. Le lendemain, la presse unanime annonce qu’une procédure pour agression sexuelle est en cours contre Nelson et ses amis. Une des blessées se souvient qu’au collège, il y a dix ans, Nelson avait dragué lourdement d’un regard appuyé ses cheveux épars et son décolleté généreux.
Certains étudiants toutefois sont plus agacés par l’attitude des filles (mais qu’est-ce qui prouve qu’elles sont des femmes ?) et du prof que par celle de Nelson. L’un d’eux se décide timidement, s’adressant au prof :
– Il a payé ses droits à l’administration de la fac, dit-il. On n’a pas le droit de le virer comme ça, juste parce qu’il a des opinions. Il n’avait rien demandé, après tout.
– Votre nom, s’il vous plaît ? répond le prof, fusillant l’étudiant bavard d’un regard menaçant.
– Mon nom ?!… balbutie l’étudiant, douché, qui décline son identité.
– Parfait !
Le prof sort son stylo Mont-Blanc et fait un rond sur un carnet.
L’étudiant aura un beau zéro. Ce sont ses parents qui ne seront pas contents, avec ce que leur coûte le studio et les frais de bouche de leur gentil garçon ! Il ne sera ni avocat, ni juge, ni huissier, ni même gratte-papier. Il est sur liste.
Les autres étudiants ont bien intégré la leçon. Ils baissent le nez sur leurs notes en écriture inclusive. Ils pensent aux trois bières qu’ils prendront en sortant, parce que ça calme et permet de se retrouver entre semblables, pour ne pas penser en chœur.

 « Dans un tel monde vit ta vie simplement, c’est déjà assez fou »
(proverbe tibétain)

Chers lecteurs, prenez soin de vous. Je vous aime et vous salue.