Le rire de la semaine :

Non, non… vous ne vous êtes pas trompé de jour. Nous ne sommes pas un mercredi, avec sa rubrique « Les mercredis musicaux d’Hubert ». Cela étant précisé, il m’a paru indispensable d’aborder aujourd’hui vendredi, un sujet particulièrement sérieux… celui des orchestres symphoniques et plus particulièrement, celui de son chef d’orchestre.

Les artistes font toujours face au public. Mais… dans un orchestre symphonique, alors que les musiciens « voient » les spectateurs venus les écouter, la personne qui le dirige… tourne le dos au public !!!

Serait-ce par peur ? Par timidité ? Par manque du sens de l’orientation ? Que nenni, chers lecteurs, que nenni. C’est tout simplement pour qu’il puisse s’assurer en permanence que tous les musiciens respectent « le code de l’orchestre » !!!

Qui d’entre vous s’est posé la question : « Pourquoi le chef d’un orchestre symphonique, a sur son pupitre, un « livre » beaucoup plus épais que celui des musiciens en face de lui ? ». C’est tout simplement du fait qu’il a l’obligation d’avoir en permanence sous les yeux… la totalité du « Code de l’orchestre » ☺.

Bien qu’il l’ait appris par cœur, pour obtenir son « permis de conduire un orchestre »… en professionnel consciencieux, devant un orchestre symphonique, il a « son code », toujours sous les yeux, au cas où !!!

Jean POIRET, dans le rôle du journaliste, va demander, pour notre plus grand plaisir, à son complice Michel SERRAULT, alias le chef d’orchestre symphonique Albert PETITLAGROLAICHE, pourquoi il est primordial de parfaitement maitriser le « permis de conduire un orchestre », pour faire une grande carrière.

 

Chers lecteurs, puisse ce moment de détente, être le prélude à une fin de semaine agréable. Je vous aime et vous salue.